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Angkor

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Angkor, proposed by Cambodia as a best practice, is interesting as a case study for the following aspects: international coordination committee, community based development, Angkor Participatory Natural Resources and Livelihood, community learning centres, eco-village, system staff rewards, interpretation centres, long-term vision.

Summary provided by State Party

Comme le Cambodge venait de sortir de la guerre civile, c'était, donc une lourde mission pour l'Autorité Nationale APSARA à prendre la responsabilité sur le parc d'Angkor avec la superficie totale de 40100 hectares où il y avait 120 000 habitants vivant dans ce parc. L'Autorité Nationale APSARA a formulé et mis en oeuvre des plans stratégiques qui se composaient de deux phases principales. Phase I (1992-2004): dans cette phase, «Un plan de gestion de dix ans" a été développé pour mobiliser les ressources humaines, et renforcer la coopération internationale pour sauvegarder le parc d'Angkor. Grace aux ces efforts, le site d‟Angkor a été retiré de la liste du Patrimoine Mondial en péril au mois de juillet 2004 à Suzhou (Chine).

Phase II (2004-présent et futur): En plus de la phase I, l'Autorité Nationale APSARA a étendu ses efforts pour le développement de la région d'Angkor dans une vision à long terme. D‟une part, l'effort est de protéger, conserver et mettre en valeur le Parc patrimonial d‟Angkor et en assurer la pérennité, d'autre part, le but est d'attirer davantage les touristes pour accroître les recettes, et de mieux servir les habitants vivant avec le patrimoine. Pour assurer la durabilité de la région d'Angkor, l'Autorité Nationale APSARA premièrement accorde plus d'attention au développement des ressources humaines. Deuxièmement, la structure interne a été réformée afin de renforcer la gestion efficace et d'améliorer la prestation des services publics en établissant le Centre de services d‟APSARA (comme mécanisme de service d‟un guichet unique).

Troisièmement, l'Autorité Nationale APSARA possède suffisamment de ressources et elle est dotée d‟un mécanisme de coordination appropriée (CIC-Angkor et l'UNESCO) et d‟un mécanisme de consultation (consultation avec les autorités et communautés locales) pour surveiller, contrôler et assurer que toutes les activités, constructions et projets entrepris par la population locale, le secteur privé et les partenaires internationaux n'aient pas d'impact négatif sur le site du patrimoine.

Plus important encore et de construire une relation harmonieuse avec les communautés locales vivant avec le patrimoine, l'Autorité Nationale APSARA offre des opportunités pour les communautés locales à s‟impliquer dans l‟élaboration et la mise en oeuvre de plans de développement local.

Toutes ces stratégies ont finalement produit des retombées économiques aux communautés locales à travers l'augmentation significative du nombre des touristes dans la région d'Angkor d'année en année. Enfin, les leçons tirées pourraient être partagées avec les autres États-parties par les meilleures pratiques de gestion du patrimoine comme suit:

  • Avoir un fort engagement politique et le leadership du Gouvernement Royal du Cambodge pour assurer le plan stratégique et le cadre juridique qui doit être mis en oeuvre avec efficacité.
  • Une vision à long terme liée étroitement avec recherche, étude, enquête et réflexion avant la mise en oeuvre de tout projet (Conservation et le Développement).
  • La CIC-Angkor et l'UNESCO jouent un rôle important dans la coordination des partenaires internationaux en transférant une expertise scientifique et professionnelle (Groupe d'experts ad hoc) au personnel local (absorption de la capacité locale).
  • Le maintien du Centre de ressources d'information permet de stocker et enregistrer toutes les informations importantes, des documents, des résultats de recherche et d‟autres documents pertinents au profit d'autres chercheurs et les jeunes générations.
  • Le renforcement de la responsabilité (accountability), de la transparence et de l'efficience dans la gestion financière.
  • L'introduction de réformes structurelles (de l'Autorité Nationale APSARA) répond aux défis actuels et aux besoins des communautés locales, et
  • Engager une plus grande implication des communautés locales dans le processus de prise de décision et la mise en oeuvre du plan de développement local.

One-off Initiative for the recognition of best practices

The World Heritage Capacity Building Strategy, adopted by the World Heritage Committee in 2011, responds to the identified needs of a diverse and growing audience for capacity building for World Heritage conservation and management activities. Development of resource materials such as best practice case studies and communication tools are among the activities foreseen by the strategy to improve these capacities.

An example of an innovative capacity building initiative is the recently concluded Recognition of Best Practice in World Heritage Management. This initiative, requested by the World Heritage Committee and carried out within the framework of the 40th anniversary of the World Heritage Convention in 2012, solicited applications from World Heritage properties which had demonstrated new and creative ways of managing their sites. Twenty-three submissions were received and evaluated by a 10-member international selection committee which included the representatives of the Convention’s Advisory Bodies, ICCROM, ICOMOS and IUCN. The Historic Town of Vigan in the Philippines was chosen as a best practice achieved with relatively limited resources, a good integration of the local community in many aspects of the sustainable conservation and management of the property and with an interesting multi-faceted approach to the protection of the site.

Management practices recognized as being successful and sustainable can include everything from involving local people in site management, to creating innovative policies and regulating tourism. There are sites that include students from local schools in the management of the site (Slovenia), train local inhabitants as tour guides (Peru), or even put up nylon fences to protect villagers from straying tigers from the Sundarbans National Park (India). Sharing these practices helps other sites find solutions that work.

This initiative provides incentives for States Parties and site managers to reflect on their management practices and explore improvement possibilities.