Des scientifiques communiquent sur le changement climatique en Asie centrale
16-07-2009 (Almaty)
Des participants tadjiks
apprennent à communiquer
sur le changement climatique
© UNESCO
Des scientifiques, des professeurs d’université et des militants de l’environnement ont appris à communiquer sur les questions liées au changement climatique au cours de deux ateliers organisés avec le soutien de l’UNESCO. Les ateliers d’Almaty (1er-3 juillet) et de Douchanbe (6-8 juillet) avaient pour objet de renforcer les compétences des spécialistes pour expliquer les recherches sur le changement climatique aux responsables politiques et au grand public.
Les ateliers étaient organisés par le Bureau de l’UNESCO à Almaty en coopération avec le Centre régional de l’environnement pour l’Asie centrale (CAREC) et Internews Network – Tadjikistan. Les 20 participants venus du Kazakhstan, du Kirghizistan et du Tadjikistan ont pu acquérir une expérience pratique pour faire des exposés devant des petits groupes, mener des interviews, répondre aux questions dans des conférences de presse et rédiger des communiqués de presse et des feuilles d’information. Les stratégies de communication, la segmentation du public et les questions de déontologie entre scientifiques et journalistes ont également été abordées.
L’Asie centrale est confrontée à de sérieux problèmes environnementaux : de la fonte des glaciers et l’épuisement des ressources en eau à la déforestation, l’érosion des sols et la réduction des terres agricoles en passant par la pollution urbaine. Pour l’UNESCO, une bonne communication sur ces questions auprès des politiques, des responsables de l’industrie et des autres décideurs est fondamentale pour orienter les politiques publiques et la législation. La communication dans les médias accroît l’intérêt du public et permet de maintenir le problème du changement climatique à l’ordre du jour.
“Les scientifiques doivent faire un effort pour communiquer sur le changement climatique auprès de tous les publics ”, explique le formateur David Mould, professeur en études et arts médiatiques à l’Université de l’Ohio (Etats-Unis). “C’est le seul moyen pour s’assurer que les gouvernements n’agissent pas n’importe comment mais établissent leurs politiques et projets sur la base de preuves scientifiques sérieuses.”
Les participants étaient des spécialistes dans différents domaines comme l’hydrologie, les sciences de l’environnement, la climatologie et la biodiversité. “Bien que la formation n’ait duré que trois jours, le programme était intensif, intéressant et pratique”, témoigne Ellina Zyskova, professeur à l’Université slave kirghizo-russe de Bichkek au Kirghizistan. “C’est très intéressant de communiquer avec des spécialistes de différentes disciplines, de connaître et de partager leurs recherches, qui portent directement ou indirectement sur le changement climatique, aussi bien au niveau mondial que dans le contexte de l’Asie centrale.”
L’Asie centrale est confrontée à de sérieux problèmes environnementaux : de la fonte des glaciers et l’épuisement des ressources en eau à la déforestation, l’érosion des sols et la réduction des terres agricoles en passant par la pollution urbaine. Pour l’UNESCO, une bonne communication sur ces questions auprès des politiques, des responsables de l’industrie et des autres décideurs est fondamentale pour orienter les politiques publiques et la législation. La communication dans les médias accroît l’intérêt du public et permet de maintenir le problème du changement climatique à l’ordre du jour.
“Les scientifiques doivent faire un effort pour communiquer sur le changement climatique auprès de tous les publics ”, explique le formateur David Mould, professeur en études et arts médiatiques à l’Université de l’Ohio (Etats-Unis). “C’est le seul moyen pour s’assurer que les gouvernements n’agissent pas n’importe comment mais établissent leurs politiques et projets sur la base de preuves scientifiques sérieuses.”
Les participants étaient des spécialistes dans différents domaines comme l’hydrologie, les sciences de l’environnement, la climatologie et la biodiversité. “Bien que la formation n’ait duré que trois jours, le programme était intensif, intéressant et pratique”, témoigne Ellina Zyskova, professeur à l’Université slave kirghizo-russe de Bichkek au Kirghizistan. “C’est très intéressant de communiquer avec des spécialistes de différentes disciplines, de connaître et de partager leurs recherches, qui portent directement ou indirectement sur le changement climatique, aussi bien au niveau mondial que dans le contexte de l’Asie centrale.”
Présentation de questions sur le changement climatique lors d’un atelier© UNESCO
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Contact(s)
- Sergey Karpov, Bureau de l’UNESCO à Almaty
- UNESCO
Source
- Bureau de l’UNESCO à Almaty
Bureau hors Siège