Environnement
et développement dans les régions côtières et les petites îles |
Rapport sur les progrès accomplis 2
ANNEXE I
LISTE DES PROJETS PILOTES ET DES CHAIRES UNIVERSITAIRES VERS DES MODES DE VIE DURABLES DANS LES REGIONS COTIERES ET LES PETITES ILES
1. Liste des projets pilotes
AFRIQUE – EST/SUD
Stratégies de développement/conservation pour une gestion intégrée des régions côtières, Maputaland, Afrique du Sud et Mozambique.
Communication et éducation pour le développement durable des régions côtières, Afrique sub-saharienne et îles de l’océan Indien.
AFRIQUE – NORD/MEDITERRANEE ORIENTALE
Archéologie sous-marine et développement durable des régions côtières, Alexandrie, Egypte.
Développement urbain et ressources en eau dans les petites villes côtières historiques, Essaouira, Maroc ; Mahdia, Tunisie ; Saida, Liban.
AFRIQUE – OUEST/CENTRALE
Préserver la qualité de l'environnement naturel et humain dans les communautés côtières peri-urbaines, Dakar, Sénégal.
Contrôle des inondations en zone urbaine, Lagos, Nigeria.
AMERIQUE – SUD/CENTRALE
L’estuaire du Rio de la Plata et le développement durable, Uruguay, Argentine.
ASIE – SUD
Dimensions environnementales, sociales et culturelles de l’industrie de démantèlement de navires, Alang-Sosia, Gujarat, Inde.
ASIE - SUD EST
Réduire l’impact d’une mégacité littorale sur les écosystèmes insulaires, Djakarta et les îles Seribu, Indonésie.
Gestion des ressources côtières et écotourisme : une approche intersectorielle à la localisation du développement durable, Baie d’Ulugan, Palawan, Philippines.
Une place pour les autochtones dans les aires protégées, Iles Surin, Mer d’Andaman, Thaïlande.
(PETITES) ILES CARAIBES
Gestion des ressources des plages et planification face aux changements du trait du côte, îles Caraïbes orientales.
Programme sur la productivité marine côtière des Caraïbes (CARICOMP) : Soutenir les bénéfices liés à la biodiversité du littoral et les services d'écosystèmes.
Améliorer la gestion des ressources côtières et des pêcheries par la participation des parties prenantes, les connaissances locales et l’éducation environnementale, Côte des Arcadins, Haïti.
Planifier pour la population et les implantations humaines, sud de la province de la Havane, Cuba.
EUROPE
Partenariats des gouvernements locaux pour le développement durable des régions côtières, Kurzeme nord, Lettonie.
Développement urbain et ressources en eau dans les petites villes côtières historiques, Omisalj, Croatie ; Kotor, Monténégro, Yougoslavie.
Développement durable des régions côtières en Mer Blanche – région de la Mer de Barents, Nord de la Russie.
(PETITES) ILES DU PACIFIQUE
Développement rationnel dans les villages urbains de Motu Koita, Port Moresby, Papouasie-Nouvelle-Guinée.
Promotion des pratiques éclairées autochtones : savoirs médicinaux et poissons d’eau douce, zone culturelle de Moripi, province du Golf, Papouasie-Nouvelle-Guinée.
Promotion des pratiques éclairées autochtones : production alimentaire, Iles Trobriand, Papouasie-Nouvelle-Guinée.
Education pour des modes de vie villageois durables villages de Saanapu et Sataoa, île d’Upolu, Samoa.
2. Liste des Chaires UNESCO en développement durable des régions côtières et UNITWIN
CHAIRES ETABLIES
PROJETS DE CHAIRES EN COURS
Université d’Alexandrie, Alexandrie, Egypte
Université de l’océan Indien, La Réunion, océan Indien
Université de Papouasie-Nouvelle-Guinée, Port Moresby, Papouasie-Nouvelle-Guinée
Université de Lettonie, Riga, Lettonie
JUMELAGE UNIVERSITAIRE, RESEAU DE PRATIQUES ECLAIREES POUR UN DEVELOPPEMENT HUMAIN DURABLE DANS LES REGIONS COTIERES (WiCoP), ASIE ET PACIFIQUE, EN COURS
Université de Bhavnagar, Bhavnagar (Gujarat), Inde
Université de Chulalongkorn, Bangkok, Thaïlande
Université d’Indonésie, Djakarta, Indonésie
Université de Papouasie-Nouvelle-Guinée, Port Moresby, Papouasie-Nouvelle-Guinée
Université des Philippines, Quezon City, Philippines (coordinatrice)
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ANNEXE II
LISTE REVISEE DES CARACTERISTIQUES DES PRATIQUES ECLAIREES ET LEURS DEFINITIONS
Bénéfice à long terme : les bénéfices de l’activité seront encore évidents dans ‘x’ années à partir d’aujourd’hui et ils améliorent la qualité de l’environnement.
Développement des moyens et renforcement institutionnel : l’activité apporte une amélioration dans la capacité de gestion et dans l’éducation des groupes de parties prenantes ainsi qu’une connaissance et une aide à la protection de l’environnement local côtier/marin.
Durabilité : l’activité adhère au principe de durabilité (la durée pendant laquelle les résultats se maintiendront, et le développement continuera une fois le projet/programme achevé).
Transférabilité : les aspects de l’activité qui peuvent s’appliquer à d’autres sites, à l’intérieur et/ou à l’extérieur du pays.
Interdisciplinaire et intersectoriel : l’activité intègre complètement toutes les disciplines pertinentes et tous les secteurs de la société.
Processus de participation : la participation, dans la transparence, de toutes les parties prenantes ainsi que l’implication des individus, est intrinsèque au processus.
Etablir un consensus : l’activité doit être bénéfique à une majorité de groupes de parties prenantes, tout en gardant à l’esprit que, dans certains cas, les groupes moins privilégiés pourraient avoir besoin d’être traités en cas spéciaux.
Un processus de communication réel et efficace : un processus de communication multi-directionnel faisant intervenir le dialogue, la consultation et la discussion est nécessaire pour réussir à sensibiliser.
Respect de la culture : le processus met en valeur les contextes locaux traditionnels et culturels tout en remettant en cause leur validité du point de vue environnemental.
Questions liées aux genres (féminin/masculin) : le processus prend en compte les nombreux aspects liées aux questions de sensibilité homme/femme et autres.
Renforcer les identités locales : l’activité donne un sens d’appartenance et d’indépendance à différents niveaux.
Politique nationale légale : l’activité adhère aux politiques gouvernementales actuelles en matière d'environnement, d'économie, de droit et de domaine social.
Dimension régionale : l’activité devrait refléter la perspective économique, sociale et environnementale régionale.
Droits de l’homme : l’activité devrait garantir la liberté d’exercer les droits fondamentaux de l’homme.
Documentation : l’activité et les leçons tirées ont fait l’objet de documents.
Evaluation : l’activité a été testée pour déterminer à quel point la GIC a été réalisée et/ou les caractéristiques des pratiques éclairées utilisées.