Le Directeur général se félicite de la libération du journaliste Raul, Rivero, lauréat du Prix mondial de la Liberté de la prese UNESCO/Guillermo Cano
02-12-2004 (Paris)
Le Directeur général de l’UNESCO, Koïchiro Matsuura, s’est félicité aujourd’hui de la libération du journaliste cubain, Raúl Rivero Castañeda, détenu depuis 18 mois.
«C’est pour moi une grande joie que d’apprendre la libération de Raúl Rivero Castañeda. Cette nouvelle réjouira de nombreuses personnes de par le monde. Mes pensées vont bien sûr à sa femme Blanca Reyes, à sa famille et à ses amis. J’espère que Raúl Rivero va rapidement recouvrer sa santé et pourra ainsi profiter pleinement de sa liberté retrouvée», a déclaré le Directeur général.
«Je me félicite que le gouvernement de Cuba ait décidé de libérer le lauréat 2004 du Prix mondial de la liberté de la presse UNESCO/Guillermo Cano. C’est un signe d’espoir pour tous les journalistes emprisonnés dans le monde», a ajouté Koïchiro Matsuura.
«Je me réjouis à l’idée de lui remettre personnellement le Prix que l’UNESCO lui a décerné in absentia plus tôt cette année», a conclu le Directeur général.
Né en 1945, Raúl Rivero est un journaliste et poète reconnu. En avril 2003, il a été condamné à vingt ans de prison, tandis que 25 autres journalistes étaient condamnés à des peines allant de quatorze à vingt-sept ans de prison. L’état de santé de Raúl Rivero, qui souffrirait de problèmes circulatoires, avait donné lieu à des inquiétudes.
(Communiqué de presse n°2004-113)
«Je me félicite que le gouvernement de Cuba ait décidé de libérer le lauréat 2004 du Prix mondial de la liberté de la presse UNESCO/Guillermo Cano. C’est un signe d’espoir pour tous les journalistes emprisonnés dans le monde», a ajouté Koïchiro Matsuura.
«Je me réjouis à l’idée de lui remettre personnellement le Prix que l’UNESCO lui a décerné in absentia plus tôt cette année», a conclu le Directeur général.
Né en 1945, Raúl Rivero est un journaliste et poète reconnu. En avril 2003, il a été condamné à vingt ans de prison, tandis que 25 autres journalistes étaient condamnés à des peines allant de quatorze à vingt-sept ans de prison. L’état de santé de Raúl Rivero, qui souffrirait de problèmes circulatoires, avait donné lieu à des inquiétudes.
(Communiqué de presse n°2004-113)
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