Le Plan d’action de Marrakech sur les médias dans la société de l’information est désormais disponible
23-12-2004 (Paris)
Les organisateurs de la Conférence de Marrakech sur “le rôle et la place des médias dans la société de l’information en Afrique et dans les pays arabes » viennent de publier le Plan d’action basé sur les contributions fournies par les divers groupes de travail durant la conférence, qui s’est tenue du 22 au 24 novembre à Marrakech.
Le Plan d’action définit les actions relatives à (1) la liberté, l’indépendance et le pluralisme des médias (2) la place des médias traditionnels dans la société de l’information (3) la réduction de la fracture numérique dans les médias (4) les professionnelles des médias (5) la culture, le multilinguisme et les médias dans la société de l’information et (6) la gouvernance d’Internet.
Le Plan d’action appelle les états arabes et africains à procéder sans délai à une réforme générale des lois qui limitent le droit à la liberté d’expression et d’opinion. Il demande aux états qui ne l’ont pas encore fait de ratifier le Pacte international relatif aux droits civils et politiques de 1966 et d’inscrire les principes et valeurs de la liberté d’expression et du droit à l’information dans leurs constitutions.
Cette conférence internationale de suivi de la première phase du Sommet mondial sur la société de l’information (SMSI), d’une durée de trois jours, a été organisée par le Ministère de la Communication du Royaume du Maroc, en collaboration avec le Réseau international des chaires UNESCO en communication (ORBICOM), avec l’appui de l’Office fédéral de la communication (OFCOM) suisse, et l’UNESCO.
Parmi plus de 270 participants, la Conférence de Marrakech a accueilli des professionnels d’organisations internationales et régionales des médias, des représentants d’ONG concernées ainsi que des experts des médias attachés aux milieux académiques et à l’industrie des médias.
Le Plan d’action appelle les états arabes et africains à procéder sans délai à une réforme générale des lois qui limitent le droit à la liberté d’expression et d’opinion. Il demande aux états qui ne l’ont pas encore fait de ratifier le Pacte international relatif aux droits civils et politiques de 1966 et d’inscrire les principes et valeurs de la liberté d’expression et du droit à l’information dans leurs constitutions.
Cette conférence internationale de suivi de la première phase du Sommet mondial sur la société de l’information (SMSI), d’une durée de trois jours, a été organisée par le Ministère de la Communication du Royaume du Maroc, en collaboration avec le Réseau international des chaires UNESCO en communication (ORBICOM), avec l’appui de l’Office fédéral de la communication (OFCOM) suisse, et l’UNESCO.
Parmi plus de 270 participants, la Conférence de Marrakech a accueilli des professionnels d’organisations internationales et régionales des médias, des représentants d’ONG concernées ainsi que des experts des médias attachés aux milieux académiques et à l’industrie des médias.
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