La Côte d’Ivoire a adhéré à l’UNESCO le 27 octobre 1960. Le pays dépend du bureau de l’Organisation d’Accra (Ghana).
Le pays a quatre Chaires UNESCO (communication, sciences humaines interculturelles, culture de la paix, ainsi que femmes et gestion de l’eau).
L’UNESCO travaille étroitement avec la Côte d’Ivoire pour accompagner les efforts de reconstruction, en particulier dans l’éducation. Les activités se concentrent sur la reconstruction des systèmes d’enseignement ; le renforcement des capacités en matière d’éducation préventive et de lutte contre le VIH et le sida ; et la formation des enseignants en éducation à la paix et à la citoyenneté.
La Conférence générale de l’UNESCO, en octobre 2007, a plaidé en faveur d’une aide post-conflit pour la Côte d’Ivoire.
La culture a stimulé le processus de paix. « Le Gbofe d’Afounkaha : la musique des trompettes traversières » a été proclamé Chef-d’œuvre du patrimoine oral et immatériel en 2001. En 2007, Abidjan a accueilli le Marché des arts du spectacle africain (MASA) avec le soutien de l’UNESCO. Une vitrine indispensable pour les talents régionaux, qui avait été suspendu pendant trois ans.