Un consultant en médias prône des services de radiodiffusion novateurs
27-06-2006 (Paris)
Les radiodiffuseurs doivent s’inspirer des idées d’autres médias, comme les moteurs de recherche, le magnétoscope numérique TiVo, l’iPod et la radiodiffusion mobile, s’ils veulent rester à la page et attirer le consommateur.
Le consultant en médias Jonathan Marks, de Critical Distance, explique qu’il est grand temps que les radiodiffuseurs prennent conscience de l’offre de contenu à la demande dont ils disposent et qu’ils mettent en place l’infrastructure appropriée pour profiter de la manne publicitaire générée par les entreprises technologiques.
« Les entreprises technologiques ont les moyens de financer les coûts exorbitants de publicité pour lancer les nouvelles technologies. Mais cela ne servirait à rien sans le contenu. Par conséquent, les émissions d’expression et de musique ont encore un bel avenir devant elles », ajoute-t-il.
Selon M. Marks, les radiodiffuseurs doivent identifier les attentes et les besoins du public, ainsi que les produits et services pour lesquels ils sont prêts à payer.
« Les gens vont payer pour des services qui leur apportent de la valeur et qui leur permettent de gagner du temps. Ils ne dépenseront pas de l’argent pour des services qu’ils jugent restrictifs et inutiles », explique-t-il.
M. Marks a fait ces déclarations à la conférence annuelle RadioAsia à Singapore Expo, qui était organisée par l’ABU, l’AMIC et Singapore Exhibition Services.
La manifestation était parrainée par l’Autorité de développement des médias de Singapour, la fondation Friedrich-Ebert-Stiftung, l’UNESCO, la Deutsche Welle, Nokia, l’AMP Radio Networks de Malaisie, CRA-Australia, Nielsen Media Research et The Broadcast Partner.
M. Marks a également précisé que les organisations telles l’Union de radiodiffusion pour l’Asie et le Pacifique (ABU) et l’Union européenne de radio-télévision (UER) avaient un rôle majeur à jouer pour coordonner les métadonnées de leurs membres et s’assurer que les moteurs de recherche comme Google, Blinkx et Technorati puissent y accéder.
« L’ABU et l’UER ont consacré des heures et des heures à la coordination des fréquences lors des conférences internationales. Résultat ? Une meilleure qualité d’écoute pour les membres qui émettent dans des parties surchargées du spectre radio. »
« La coordination des métadonnées est tout aussi nécessaire. Il est essentiel que toutes ces informations puissent être trouvées par les moteurs de recherche. Pour certains de ces programmes, le Web pourrait être une première forme de distribution à la demande », a ajouté M. Marks.
Source : ABU Weekly News Digest, 23 juin 2006
« Les entreprises technologiques ont les moyens de financer les coûts exorbitants de publicité pour lancer les nouvelles technologies. Mais cela ne servirait à rien sans le contenu. Par conséquent, les émissions d’expression et de musique ont encore un bel avenir devant elles », ajoute-t-il.
Selon M. Marks, les radiodiffuseurs doivent identifier les attentes et les besoins du public, ainsi que les produits et services pour lesquels ils sont prêts à payer.
« Les gens vont payer pour des services qui leur apportent de la valeur et qui leur permettent de gagner du temps. Ils ne dépenseront pas de l’argent pour des services qu’ils jugent restrictifs et inutiles », explique-t-il.
M. Marks a fait ces déclarations à la conférence annuelle RadioAsia à Singapore Expo, qui était organisée par l’ABU, l’AMIC et Singapore Exhibition Services.
La manifestation était parrainée par l’Autorité de développement des médias de Singapour, la fondation Friedrich-Ebert-Stiftung, l’UNESCO, la Deutsche Welle, Nokia, l’AMP Radio Networks de Malaisie, CRA-Australia, Nielsen Media Research et The Broadcast Partner.
M. Marks a également précisé que les organisations telles l’Union de radiodiffusion pour l’Asie et le Pacifique (ABU) et l’Union européenne de radio-télévision (UER) avaient un rôle majeur à jouer pour coordonner les métadonnées de leurs membres et s’assurer que les moteurs de recherche comme Google, Blinkx et Technorati puissent y accéder.
« L’ABU et l’UER ont consacré des heures et des heures à la coordination des fréquences lors des conférences internationales. Résultat ? Une meilleure qualité d’écoute pour les membres qui émettent dans des parties surchargées du spectre radio. »
« La coordination des métadonnées est tout aussi nécessaire. Il est essentiel que toutes ces informations puissent être trouvées par les moteurs de recherche. Pour certains de ces programmes, le Web pourrait être une première forme de distribution à la demande », a ajouté M. Marks.
Source : ABU Weekly News Digest, 23 juin 2006
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