Une correspondante d’IPS Afrique en reportage à la COP16 à Cancún
10-12-2010 (Cancún)
Rosebell Kagumire
“Il est important que les voix et les intérêts africains soient représentés aux sommets mondiaux sur le changement climatique” explique Rosebell Kagumire, une journaliste ougandaise qui couvre la seizième édition de la Conférence des Parties à la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (COP) pour l’agence de presse Inter Press Service (IPS) Afrique.
Rosebell Kagumire participe à la COP16 (Cancún, Mexique, 29 novembre-10 décembre 2010) grâce à une bourse accordée par l’UNESCO dans le cadre du programme sur les médias et le changement climatique.
Dans un entretien avec Tarja Turtia de l’UNESCO, Mme Kagumire se dit très émue d’avoir été parrainée par l’UNESCO pour faire partie des journalistes africains chargés de couvrir le sommet mondial sur le changement climatique. Elle explique que la bourse lui a permis de couvrir l’événement d’un point de vue africain, en privilégiant les questions qui préoccupent les Africains, comme la foresterie et l’agriculture.
Elle est enchantée que la société civile africaine soit représentée à Cancún, notamment par des communautés indigènes du Libéria et du Burundi, qui ont pu parler des répercussions du changement climatique sur leurs communautés et leur mode de vie.
Elle remarque que l’Afrique est en passe de devenir un négociateur incontournable dans les sommets de la COP, en présentant une position commune sur des questions telles que les mécanismes de financement global pour soutenir les mesures prises par l’Afrique pour s’adapter au changement climatique.
Un clip audio de l’entretien avec Rosebell Kagumire est disponible ici.
Dans un entretien avec Tarja Turtia de l’UNESCO, Mme Kagumire se dit très émue d’avoir été parrainée par l’UNESCO pour faire partie des journalistes africains chargés de couvrir le sommet mondial sur le changement climatique. Elle explique que la bourse lui a permis de couvrir l’événement d’un point de vue africain, en privilégiant les questions qui préoccupent les Africains, comme la foresterie et l’agriculture.
Elle est enchantée que la société civile africaine soit représentée à Cancún, notamment par des communautés indigènes du Libéria et du Burundi, qui ont pu parler des répercussions du changement climatique sur leurs communautés et leur mode de vie.
Elle remarque que l’Afrique est en passe de devenir un négociateur incontournable dans les sommets de la COP, en présentant une position commune sur des questions telles que les mécanismes de financement global pour soutenir les mesures prises par l’Afrique pour s’adapter au changement climatique.
Un clip audio de l’entretien avec Rosebell Kagumire est disponible ici.
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