YAOUNDE
Culture
- © Palais Bamoun - Cameroun
- Trône Royal
Les pays couverts par le bureau de Yaoundé ont une riche diversité culturelle.
La valorisation des patrimoines culturels tant matériels qu’immatériels dans ces pays traduisent la diversité des cultures et des représentations participe d’une démarche visant à renforcer le dialogue et la compréhension entre les peuples.
S’appuyant sur les particularismes, elle doit informer des aspects universels qui s’expriment selon des rites variés et des modalités diverses et c’est en cela qu’elle rapproche au lieu d’exclure.
Les retards pris dans la réalisation des inventaires du patrimoine culturel physique devront être comblés: chaque pays a désormais sa liste indicative des biens culturels et naturels susceptibles d’être inscrits sur la Liste du Patrimoine Mondial.
Concernant la convention du patrimoine culturel immatériel, sur les trois pays couverts par le bureau de Yaoundé, seul la RCA l’a déjà ratifiée, les autres ne l’ont pas encore fait.
En outre, aucun des pays n’a un inventaire de son patrimoine culturel immatériel et seuls les pygmées Aka de Centrafrique ont été déclarés par l’UNESCO chef d’œuvre du patrimoine oral et immatériel de l’humanité en novembre 2003.
En matière de politique culturelle, la RCA est l’un des pays au Sud du Sahara qui n’avait pas depuis l’indépendance jusqu’à très récemment en 2005, défini et élaboré de façon claire un document de base devant guider l’orientation de sa politique de développement en matière des arts et de la culture.
Actuellement, ce pays a un document de plan d’action accompagné des stratégies de mise en œuvre de la politique culturelle.
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