L’événement était organisé par l’UNESCO, le Centre asiatique d’information sur les recherches en communication de masse (AMIC) et l’International Service for the Acquisition of Agri-biotech Applications (ISAAA).

Du 11 au 13 octobre, les participants ont assisté à des briefings et des points de vue de scientifiques, de décideurs et de représentants industriels sur la biotechnologie et la modification génétique. Ces sessions se sont terminées par une brève visite des équipements en biotechnologie de l’ICRISAT, comprenant entre autre la visite d’un champ actuellement pourvu de plants de Pois d' Angole génétiquement modifiés.

Un important composant de l’atelier portait sur l’écriture scientifique, basée sur une nouvelle unité créée au sein même du kit UNESCO de formation aux multimédia (MMTK). Selon Dilip D’Souza, un des participants à l’atelier, « Il s’est révélé être un exercice de grande valeur et particulièrement intéressant, puisqu’il a encouragé un débat très animé sur l’éthique du journalisme, en particulier lorsque l’on couvre un sujet aussi controversé et complexe que la biotechnologie ».

Les participants ont tous trouvés cet atelier était utile et qu’il représentait une révélation d’une certaine manière.Il ne s’adressait pas uniquement aux journalistes, mais également aux scientifiques capable d’apprécier le travail des journalistes et leurs intérêts. Cet événement a été l’occasion d’échanger des points de vue. Frankenfoods dit « je pense qu’il est juste de dire que le résultat a été que la couverture des questions de biotechnologie va beaucoup progresser et de manière favorable ».

Cet atelier faisait partie intégrante d’un projet de l’UNESCO sur la formation des journalistes à l’écriture et au reportage sur des questions concernant le développement durable, la production et la diffusion de modules de ressources des média et encourager les partenariats et réseaux multi-dépositaires dans ce but.