L’Assemblée générale des Nations Unies a adopté le 21 décembre 2001 une résolution (A/RES/56/183) approuvant l’organisation du Sommet mondial sur la société de l’information (SMSI) sous le patronage du Secrétaire générale de l’ONU, M. Kofi Annan, l’Union internationale des télécommunications assurant le rôle de chef de file dans les préparatifs aux côtés des organisations de l’ONU intéressées et des pays hôtes.
L’origine du Sommet remonte à la résolution 73 de la Conférence de plénipotentiaires de l’Union internationale des télécommunications (UIT), qui s’est traduite par des consultations entre les agences des Nations Unies aboutissant à un accord sur la nécessité d’organiser un Sommet mondial sur la société de l’information. Le Conseil, organe directeur de l’UIT, a approuvé à sa session de 2001 la tenue du Sommet mondial sur la société de l’information en deux phases : la première à Genève, du 10 au 12 décembre 2003, et la seconde à Tunis en 2005.
Le Sommet a abordé les nombreuses questions relatives à la société de l’information et avancé vers une conception commune de cette transformation sociétale. Le Sommet a adopté une Déclaration de principes et un Plan d’action pour favoriser le développement de la société de l’information et contribuer à réduire la fracture numérique. Cette rencontre unique, qui réunissait des représentants de haut niveau des gouvernements, du secteur privé, de la société civile et des ONG, a permis à la communauté mondiale de débattre et de donner forme à la société de l’information.
Le Sommet a abordé les nombreuses questions relatives à la société de l’information et avancé vers une conception commune de cette transformation sociétale. Le Sommet a adopté une Déclaration de principes et un Plan d’action pour favoriser le développement de la société de l’information et contribuer à réduire la fracture numérique. Cette rencontre unique, qui réunissait des représentants de haut niveau des gouvernements, du secteur privé, de la société civile et des ONG, a permis à la communauté mondiale de débattre et de donner forme à la société de l’information.