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La Directrice générale condamne le meurtre du journaliste de radio Mohammad Nasir Mudasir en Afghanistan

20 Décembre 2016

La Directrice générale de l’UNESCO, Irina Bokova, a demandé aujourd’hui l’ouverture d’une enquête sur le meurtre du directeur d’une station de radio dans le district de Mohammad Agha, dans la partie sud de Kaboul.

« Je condamne le meurtre de Mohammad Nasir Mudasir », a déclaré la Directrice générale. « J’appelle les autorités à ouvrir une enquête sur ce crime et traduire ses auteurs en justice. Aucune société ne peut se permettre de laisser la violence réduire les médias au silence et priver les citoyens de l’information dont ils ont besoin ».

Mohammad Nasir Mudasir, qui dirigeait la radio Paigham Meli Logar et en était le rédacteur en chef, a été abattu par des inconnus sur le chemin entre son bureau et son domicile le 15 décembre.

La Directrice générale publie des communiqués sur le meurtre des professionnels des médias conformément à la résolution 29 adoptée par les Etats membres de l’UNESCO au cours de la Conférence générale de 1997 intitulée « Condamnation de la violence contre les journalistes ». Une liste complète des journalistes assassinés ayant fait l’objet d’une condamnation par l’UNESCO est disponible en ligne.

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Contact médias : Sylvie Coudray, s.coudray@unesco.org, +33 (0) 1 45 68 42 12

L’UNESCO est l’agence des Nations Unies dont la mission consiste à défendre la liberté d’expression et la liberté de la presse. En vertu de l’Article premier de son Acte constitutif, l’Organisation est tenue « d’assurer le respect universel de la justice, de la loi, des droits de l’homme et des libertés fondamentales pour tous, sans distinction de race, de sexe, de langue, ou de religion, que la Charte des Nations Unies reconnaît à tous les peuples ». À cette fin, elle « favorise la connaissance et la compréhension mutuelle des nations en prêtant son concours aux organes d’information des masses ; elle recommande, à cet effet, tels accords internationaux qu’elle juge utiles pour faciliter la libre circulation des idées, par le mot et par l’image »