La Mauritanie a rejoint l’UNESCO le 10 janvier 1962, et dépend du bureau de l’UNESCO de Rabat, avec l’Algérie, la Jamahiriya arabe libyenne, le Maroc et la Tunisie.
En 2001, la Mauritanie a lancé un plan national de 10 ans pour réformer le système éducatif. Dans le cadre de l’Education pour tous, elle participe à l’Initiative de mise en œuvre accélérée (IMOA) et à l’Initiative de l’UNESCO pour l’alphabétisation : savoir pour pouvoir (LIFE). En 2007, au cours d’une visite du Directeur Général de l’UNESCO, Koïchiro Matsuura, un accord supplémentaire a été signé pour soutenir l’éducation dans ce pays.
Actif dans la protection du patrimoine, le pays a un site culturel – les anciens ksour de Ouadane, Chinguetti, Tichitt et Oualata – et un site naturel – le parc national du banc d’Arguin – inscrits sur la liste du patrimoine mondial. Pour promouvoir le patrimoine immatériel, la Mauritanie a lancé, en 2007, son système de « trésors humains vivants ».
L’UNESCO a développé une collaboration étroite avec les institutions mauritaniennes concernées par les énergies renouvelables, en particulier l’agence nationale ADER (Agence de développement de l’électrification rurale).
La Mauritanie participe au Réseau d’informations et de données sur l’océan pour l’Afrique, et a fondé un Centre national de données et d’informations océanographiques.