La Nouvelle-Zélande a adhéré à l’UNESCO le 4 novembre 1946. Elle dépend du bureau de l’UNESCO d’Apia, dans l’île de Samoa.
La coopération de l’UNESCO la plus visible avec la Nouvelle-Zélande, au cours de ces dernières années, a été faite dans le domaine du patrimoine culturel. En juin 2007, le pays a accueilli la 31e session du Comité du patrimoine mondial, présidé par le Néo-zélandais, Tumu te Heuheu.
En octobre 2004, un atelier de travail, intitulé « Patrimoine mondial – Pacifique 2009 », a eu lieu à Tongariro. Il a permis l’élaboration d’un plan d’action pour le programme. Le version Pacifique du kit « Le patrimoine mondial entre les mains des jeunes », préparé par la Commission nationale néo-zélandaise avec le soutien de l’UNESCO, a également été lancé à l’occasion de cet atelier de travail.
Le Réseau du Système des Ecoles associées (RéSEAU) compte environ 69 écoles en Nouvelle-Zélande. En août 2003, le Congrès international du 50e anniversaire du RéSEAU sur le thème « Navigateurs pour la paix » a eu lieu à Auckland. Près de 200 participants venant de 95 pays ont adopté une nouvelle stratégie pour le RéSEAU ainsi qu’un nouveau plan d’action (2004-2009), afin de renforcer le rôle du réseau dans la promotion d’une éducation de qualité.
La mise en œuvre du Programme intitulé « L’hydrologie au service de l’environnement, de la vie et de la formulation des politiques » (HELP) en Nouvelle-Zélande illustre aussi le succès de la collaboration entre le pays et l’UNESCO. Les activités du programme, qui visent à améliorer la gestion des ressources en eau, ont été menées sur le bassin de Motueka, situé près de Nelson, à la pointe septentrionale de l’île du Sud.
En 2006, Laurence Zwimpfer de Nouvelle-Zélande a été élu président du Conseil intergouvernemental du Programme Information pour tous de l’UNESCO (PIPT), lequel promeut l’accès universel à l’information et à la connaissance pour le développement.