S. Exc Mme Vigdís Finnbogadóttir a assisté au Débat sur le thème de la Protection des Langues Autochtones en Danger de disparition.
23-12-2008 4:30 am S. Exc. Mme Vigdís Finnbogadótir, Ambassadrice de bonne volonté de l’UNESCO pour la préservation des langues et ancienne présidente de l’Islande a assisté le 7 octobre 2008 au Débat intitulé « La protection des langues autochtones en danger, et le rôle des Langues dans la promotion de l’Education pour Tous dans le contexte du Développement Durable » qui s’est déroulé au siège de l’UNESCO dans le cadre de la 180ième session du Conseil exécutif. Le discours d’ouverture a été prononcé par le Président du Conseil exécutif, S. Exc. l’Ambassadeur du Bénin M. Olabiyi Babalola Joseph Yaï. Le but de cette discussion était d’examiner plusieurs thématiques en relation avec les langues et la culture comme la dimension linguistique du développement durable, l’efficacité de l’éducation multilingue et les coûts et avantages respectifs du monolinguisme et du multilinguisme. M. Koïchiro Matsuura, Directeur général de l’UNESCO et M. Yaï ont procédé à la clôture du débat
Par ailleurs, le 2 octobre 2008, Mme Finnbogadótir a participé à la remise du Prix Félix Houphouët-Boigny, en tant que membre du jury dont le lauréat fût le président de Finlande, M. Martti Ahtisaarim. Ce prix est décerné en l’honneur de celles et ceux qui ont contribué de façon significative à promouvoir, rechercher, sauvegarder ou maintenir la paix.
Elle-même est nominée pour le « Ladies First International Prize », la cérémonie aura lieu le 19 novembre 2008 à Paris. Les membres de ce Club sont choisis pour leur tolérance, leur humanisme et leurs compétences professionnelles. Ce prix, décerné pour la première fois cette année, le sera pour « honorer les accomplissements exceptionnels d’une femme, symbole d’espoir et d’exemple pour la jeunesse ».
Le discours d’ouverture a été prononcé par le Président du Conseil exécutif, S. Exc. l’Ambassadeur du Bénin M. Olabiyi Babalola Joseph Yaï. Le but de cette discussion était d’examiner plusieurs thématiques en relation avec les langues et la culture comme la dimension linguistique du développement durable, l’efficacité de l’éducation multilingue et les coûts et avantages respectifs du monolinguisme et du multilinguisme. M. Koïchiro Matsuura, Directeur général de l’UNESCO et M. Yaï ont procédé à la clôture du débat