La Zambie a rejoint l’UNESCO le 9 novembre 1964. Le pays dépend du bureau de l’UNESCO d’Harare, au Zimbabwe.
En éducation, la Zambie participe à EDUSIDA pour la prévention du VIH et du sida et à l’Initiative de l’UNESCO pour la formation des enseignants en Afrique subsaharienne (TTISSA) qui vise à restructurer les politiques nationales.
La Liste du patrimoine mondial inclut le célèbre site naturel du pays, Mosi-oa-Tunya/Chutes Victoria. La danse rituelle, le Gule Wankulu (également pratiquée au Mozambique et au Malawi) et la mascarade Makishi ont été proclamés Chefs-d’œuvre du patrimoine oral et immatériel de l’humanité, en 2005. La Zambie participe également au projet « Le patrimoine de la libération africaine », qui préserve la mémoire des mouvements d’indépendance.
En 2007, la Zambie a été élue au Conseil exécutif de l’UNESCO (jusqu’en 2011), au Conseil intergouvernemental du Programme international pour le développement de la communication (PIDC) et au Comité intergouvernemental de bioéthique.
Le journal privé zambien, le Mining Mirror, a reçu, en 2007, une subvention de 20 000 dollars américains de l’UNESCO pour le renforcement des capacités.