Afrique et États arabes

Algérie

• © UNESCO/Pierre A. Pittet
• Sécheresse talah, flore spontanée

Le pays dépend du bureau multipays de l’UNESCO de Rabat, au Maroc.

L’Algérie porte un intérêt marqué aux sciences de la terre, stimulé par sa topographie variée, sa vulnérabilité aux séisme et la proximité de la Méditerranée. Elle dépend fortement de ses ressources en eau souterraines qui fournissent environ 60% de ses prélèvements d’eau.

Ci-dessous, vous pouvez consulter les activités mises en œuvre actuellement dans le pays dans le cadre du Secteur des Sciences exactes et naturelles de l’UNESCO.

Eau douce
- Programme de l’eau pour l’Afrique (WPA)
- Régimes d’écoulement déterminés à partir de séries de données internationales expérimentales et de réseaux dans les Alpes et la Méditerranée (AMHY FRIEND)

Gens, biodiversité et écologie
- Projet Changement global et régions de montagne (GLOCHAMORE)
- Réserves de Biosphères (WNBRs)

Océans
- Système mondial d’observation de l’océan (GOOS)
- Réseau de données et d’information océanographiques pour l’Afrique (ODINAFRICA)

Sciences de la terre
- Réseau panafricain pour un système d’information géologique (PANGIS)
- Géodynamique du système du rift Est africain / Caractéristiques géophysiques et évolution de la branche Sud-Ouest du rift Est africain (PICG, projet 482/489)
- Les limites du craton Ouest africain (PICG, projet 485)
- Paléogéographie et paléoclimat de l’Ordovicien (PICG, projet 503)
- Vulnérabilité côtière liée aux variations du niveau de la mer (PICG, projet 515)
- Le Corridor Mer Noire / Méditerranée pendant les 30 000 dernières années : variation du niveau de la mer et adaptation humaine (PICG , projet 521)

Prévention de catastrophes naturelles
- Programme de réduction des pertes causées par les tremblements de terre en Méditerranée orientale (RELEMR)
- Programme d’évaluation et de mitigation des risques sismiques dans la région arabe (PAMERAR)