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La Directrice générale condamne le meurtre du documentariste José Feliciano Yactayo Rodríguez au Pérou

15 Mars 2017

Irina Bokova, la Directrice générale de l’UNESCO a condamné aujourd’hui le meurtre du journaliste et documentariste, José Feliciano Yactayo Rodríguez, dont le corps a été retrouvé le 27 février près de Lima, la capitale du Pérou.

 « Je condamne le meurtre de José Feliciano Yactayo Rodríguez » a affirmé la Directrice générale. « J’appelle les autorités à enquêter sur ce meurtre et à traduire les responsables en justice. Nous ne devons pas laisser la violence réduire au silence ceux qui relatent ou décrivent les enjeux de société, et le crime ne doit pas nous priver du fruit de leur travail ».

Le corps de José Feliciano Yactayo Rodríguez a été retrouvé dans la région rurale d’Andahuasi près de Lima, le 27 février 2017, quelques jours après sa disparition. Après une carrière à la télévision, Yactayo Rodríguez fut producteur et réalisateur de documentaires.

La Directrice générale publie des communiqués sur le meurtre des professionnels des médias conformément à la résolution 29 adoptée par les Etats membres de l’UNESCO au cours de la Conférence générale de 1997 intitulée « Condamnation de la violence contre les journalistes ». Une liste complète des journalistes assassinés ayant fait l’objet d’une condamnation par l’UNESCO est disponible en ligne.

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Contact médias : Sylvie Coudray, s.coudray@unesco.org, +33 (0)1 45 68 42 12

L’UNESCO est l’agence des Nations Unies dont la mission consiste à défendre la liberté d’expression et la liberté de la presse. En vertu de l’Article premier de son Acte constitutif, l’Organisation est tenue « d’assurer le respect universel de la justice, de la loi, des droits de l’homme et des libertés fondamentales pour tous, sans distinction de race, de sexe, de langue, ou de religion, que la Charte des Nations Unies reconnaît à tous les peuples ». À cette fin, elle « favorise la connaissance et la compréhension mutuelle des nations en prêtant son concours aux organes d’information des masses ; elle recommande, à cet effet, tels accords internationaux qu’elle juge utiles pour faciliter la libre circulation des idées, par le mot et par l’image ».