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La Directrice générale demande une enquête sur le meurtre du journaliste Cecilio Pineda Birto au Mexique

07 Mars 2017

La Directrice générale de l’UNESCO, Irina Bokova, a demandé aujourd’hui aux autorités mexicaines de mettre tout en oeuvre pour faire la lumière sur le meurtre de Cecilio Pineda Birto, journaliste de presse écrite et sur les réseaux sociaux, perpétré le 2 mars à Altamirano, dans l’Etat de Guerrero.

« Je condamne le meurtre de Cecilio Pineda Birto », a déclaré la Directrice générale. « Les actes de violence à l’encontre des professionnels des médias menacent la liberté d’expression des journalistes et le droit à la liberté d’information de chacun. J’appelle les autorités à ne ménager aucun effort pour traduire les auteurs du meurtre de Cecilio Pineda Birto en justice ».

Cecilio Pineda Birto travaillait pour plusieurs médias dont les quotidiens El Universal et La Jornada de Guerrero. Il couvrait également l’actualité locale et les affaire criminelles sur un réseau social très suivi pour lequel il avait reçu plusieurs menaces. Il a été abattu par deux assaillants non identifiés.

La Directrice générale publie des communiqués sur le meurtre des professionnels des médias conformément à la résolution 29 adoptée par les Etats membres de l’UNESCO au cours de la Conférence générale de 1997 intitulée « Condamnation de la violence contre les journalistes ». Une liste complète des journalistes assassinés ayant fait l’objet d’une condamnation par l’UNESCO est disponible en ligne.

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Contact médias: Sylvie Coudray, s.coudray(at)unesco.org, +33 (0)1 45 68 42 12

L’UNESCO est l’agence des Nations Unies dont la mission consiste à défendre la liberté d’expression et la liberté de la presse. En vertu de l’Article premier de son Acte constitutif, l’Organisation est tenue « d’assurer le respect universel de la justice, de la loi, des droits de l’homme et des libertés fondamentales pour tous, sans distinction de race, de sexe, de langue, ou de religion, que la Charte des Nations Unies reconnaît à tous les peuples ». À cette fin, elle « favorise la connaissance et la compréhension mutuelle des nations en prêtant son concours aux organes d’information des masses ; elle recommande, à cet effet, tels accords internationaux qu’elle juge utiles pour faciliter la libre circulation des idées, par le mot et par l’image ».