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La Directrice générale dénonce la mort des journalistes Dilshan Ibash et Hawker Faisal Mohammed en Syrie

20 Octobre 2017

La Directrice générale de l’UNESCO, Irina Bokova, a dénoncé aujourd’hui la mort des journalistes Dilshan Ibash et Hawker Faisal Mohammed en Syrie survenue respectivement les 12 et 13 octobre.

« Je condamne l’attaque qui a couté la vie aux journalistes Dilshan Ibash et Hawker Faisal Mohammed ainsi qu’à de nombreux civils », a déclaré la Directrice générale. « J’en appelle à tous pour protéger la sécurité des journalistes, leur droit à mener à bien leur mission et le droit de la société à être informée, ce qui peut être vital dans les situations de conflit ».

Dilshan Ibash a été tué dans l’explosion d’une voiture piégée à Abu Fas, dans l’est de la Syrie. Blessé grièvement à la tête lors de l’explosion, Hawker Faisal Mohammed a succombé à ses blessures à l’hôpital quelques jours après. Les deux victimes travaillaient pour l’agence de presse Hawar. Un grand nombre de civils, dont beaucoup de personnes déplacées, ont été tués à la suite de cette attaque, et plusieurs autres blessés.

La Directrice générale publie des communiqués sur le meurtre des professionnels des médias conformément à la résolution 29 adoptée par les Etats membres de l’UNESCO au cours de la Conférence générale de 1997 intitulée « Condamnation de la violence contre les journalistes ». Une liste complète des journalistes assassinés ayant fait l’objet d’une condamnation par l’UNESCO est disponible en ligne.

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Contact médias: Sylvie Coudray, s.coudray(at)unesco.org, +33 (0)1 45 68 42 12

L’UNESCO est l’agence des Nations Unies dont la mission consiste à défendre la liberté d’expression et la liberté de la presse. En vertu de l’Article premier de son Acte constitutif, l’Organisation est tenue « d’assurer le respect universel de la justice, de la loi, des droits de l’homme et des libertés fondamentales pour tous, sans distinction de race, de sexe, de langue, ou de religion, que la Charte des Nations Unies reconnaît à tous les peuples ». À cette fin, elle « favorise la connaissance et la compréhension mutuelle des nations en prêtant son concours aux organes d’information des masses ; elle recommande, à cet effet, tels accords internationaux qu’elle juge utiles pour faciliter la libre circulation des idées, par le mot et par l’image ».