180 États parties à la Convention anti-dopage
La Convention internationale contre le dopage dans le sport atteint le plafond de 180 États parties.
Quelques jours après l’adhésion du Madagascar, des Kiribati et du Honduras, la Convention internationale contre le dopage dans le sport se félicite d’accueillir son 180e État partie, à la suite de la ratification de la Palestine.
Cette nouvelle ratification permet d’atteindre un seuil important puisqu’il ne manque plus à la Convention qu’une quinzaine d’États membres pour lui conférer une dimension pleinement universelle, et ainsi de porter à cette échelle les valeurs défendues et promues dans l’ensemble des pays représentés à l’UNESCO.
La ratification de la Convention par la Palestine représente un pas en avant dans la lutte globale contre le dopage, tout en soulignant les valeurs et principes éthiques incarnées par la Convention. Dix ans après l’adoption de la Convention, 92% des États membres de l’UNESCO y ont adhéré, ce qui invite à l’optimisme à l’égard de la volonté des autorités gouvernementales à travailler ensemble pour répondre aux problématiques du dopage.
Les quinze États qui doivent encore adhérer à la Convention sont repartis comme suit :
- 7 en Afrique : Djibouti, Guinée-Bissau, République centrafricaine, Sao Tomé-et-Principe, Sierra Leone, Soudan du Sud, Tanzanie ;
- 3 des États arabes : Liban, Mauritanie, Yémen ;
- 5 en Asie et Pacifique : Afghanistan, Iles Salomon, Lao, Nioué, Timor-Leste.
L’UNESCO, seule organisation des Nations Unies à disposer d’un mandat dans le domaine de la gouvernance et des politiques du sport, se réjouit au travers de cette nouvelle adhésion de la volonté des États membres à promouvoir le sport propre.
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