Atelier sur l’élaboration de plans de sauvegarde
05/09-12-2016Vientiane (République démocratique populaire lao)
Atelier de renforcement des capacités sur l’élaboration des dossiers de candidature à la liste du patrimoine culturel immatériel de l’humanité
30-11-2016/02-12-2016Libreville (Gabon)
Un atelier de renforcement des capacités sur l’élaboration des dossiers de candidature à la liste représentative du patrimoine culturel immatériel et à la Liste du patrimoine culturel immatériel nécessitant une sauvegarde urgente a eu lieu du 30 novembre au 2 décembre 2016. Il avait notamment pour objectifs d’outiller les participants sur les grandes articulations de la Convention, expliquer et présenter le processus et les modalités d’inscription sur les listes, d’outiller les participants dans la maîtrise des critères de nomination aux Listes et de les sensibiliser sur les bonnes pratiques de sauvegarde.
Apprendre avec le patrimoine culturel immatériel dans le domaine de l’éducation
29-11-2016Addis Abeba (Éthiopie)
Intégrer le patrimoine immatériel dans l’éducation : « une situation gagnant-gagnant »
Co-organisée par la Section du patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO et l’Institut international pour le renforcement des capacités en Afrique, une table ronde intitulée « Apprendre avec le patrimoine culturel immatériel dans le domaine de l’éducation » s’est tenue dans le cadre de la onzième session du Comité intergouvernemental de sauvegarde du patrimoine culturel immatériel à Addis-Abeba, en Éthiopie.
Enregistrement vidéo de la table ronde : original
Dans son discours d’ouverture, la modératrice Jyoti Hosagrahar, Directrice de la Division pour la créativité du Secteur de la culture de l’UNESCO, a relevé que « l’éducation et la culture ont tout à gagner à intégrer le patrimoine culturel immatériel dans l’éducation. Cette intégration peut contribuer de manière significative à atteindre l’objectif 4 de développement durable et ses cibles, telles que l’éducation à la paix et la citoyenneté mondiale ».
La Directrice a souligné que la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel met l’accent sur la transmission du patrimoine culturel immatériel par l’éducation formelle et non formelle dans le cadre des mesures de sauvegarde proposées.
Yumiko Yokozeki, Directrice de l’Institut international pour le renforcement des capacités en Afrique a observé qu’« apprendre avec le patrimoine culturel immatériel conduit à se respecter mutuellement et aide à ‘apprendre à vivre ensemble’ – ce qui constitue l’un des quatre piliers de l’apprentissage ».
Après quelques remarques de la part des co-organisateurs, Mahama Ouedraogo, de la Commission de l’Union africaine, a souligné les liens évidents qui unissent la culture et l’éducation ainsi que leur importance pour l’Agenda 2063 : l’Afrique que nous voulons dans le futur. Les intervenants ont ensuite discuté d’une palette d’expériences menées sur le terrain au Belize, en Ouganda et au Pakistan.
Apprendre avec le patrimoine immatériel
La facilitatrice de l’UNESCO Sajida Vandal a présenté un projet innovant de l’UNESCO portant sur l’apprentissage avec le patrimoine immatériel pour un avenir durable dans quatre pays d’Asie. Mme Vandal a relaté son expérience en tant que coordinatrice du projet au Pakistan. Ce projet soulignait que pour favoriser la transmission, ce n’est pas seulement l’apprentissage du patrimoine culturel immatériel qu’il nous faut promouvoir, mais aussi l’apprentissage avec le patrimoine culturel immatériel. Mme Vandal a porté le message selon lequel « l’apport du patrimoine culturel immatériel dans les matières existantes était bien accepté des enseignants, qui percevaient cette approche comme étant la meilleure ».
Susanne Schnuttgen, chef de l’Unité de renforcement des capacités et politique du patrimoine de la Section du patrimoine culturel immatériel, a fait remarquer que « ce qu’il y a de novateur dans les propos des intervenants, c’est la possibilité d’intégrer le patrimoine culturel immatériel sans avoir à refondre le système scolaire ». L’intégration du patrimoine immatériel dans l’éducation peut se faire au niveau de l’école pour améliorer les processus d’apprentissage et d’enseignement au sein des programmes scolaires existants.
Rétablir les liens entre les écoles et les communautés
Tous les orateurs ont montré comment l’intégration du patrimoine culturel immatériel dans les écoles rétablit les liens entre ces dernières et les communautés et renforce le sentiment d’appartenance entre apprenants et enseignants.
Au Belize, les matériels éducatifs ont été développés sur la base d’inventaires réalisés en tandem entre les écoles et les communautés. Nigel Encalada, Directeur de l’Institut de la recherche sociale et culturelle de l’Institut national de culture et d’histoire du Belize, a raconté que « lorsque vous produisez les matériels pédagogiques avec les communautés, le côté positif c’est que les enfants se reconnaissent, eux et leurs grands-parents, dans ces éléments. C’est une source de satisfaction. Cela permet au patrimoine de survivre et de s’inscrire dans l’avenir ».
D’après John De Coninck, de la Fondation interculturelle d’Ouganda: l’expérience ougandaise s’est également révélée très positive : « Les jeunes aspirent à renouer avec leurs traditions. Ils ne savent pas nécessairement comment s’y prendre et les écoles constituent un instrument utile pour y parvenir ».
Travailler ensemble pour une éducation de qualité
L’un des principaux messages à retenir de cet événement est que le patrimoine culturel immatériel fournit de la matière et des méthodes tout en favorisant la pertinence et la qualité de l’éducation, qui offre quant à elle de larges espaces propices à la transmission. Les co-organisateurs ont tous deux exprimé leur intention de continuer à travailler sur le sujet : « Nous savons qu’il nous faut œuvrer ensemble dans le domaine de l’éducation et de la culture pour vraiment rendre cette relation mutuellement bénéfique ».
11e session du Comité intergouvernemental
28-11-2016/02-12-2016Addis Abeba (Éthiopie)
Atelier sur l’élaboration des plans de sauvegarde pour le patrimoine culturel immatériel au Népal
21/25-11-2016Katmandou (Népal)
Le Népal compte plus de 100 groupes ethniques/castes et chacun d’eux possède une culture unique qui leur est propre. En 2011 par exemple, 123 langues parlées ont été identifiées au cours d’un recensement. Le riche patrimoine culturel du pays, qui n’a cessé d’évoluer au fil du temps, se manifeste principalement au travers de la musique et de la danse, de l’art et de l’artisanat traditionnel, des traditions orales, du folklore et des contes populaires, des croyances spirituelles et des religions, des festivals et des célébrations ainsi que des rituels et des pratiques sociales.
Conscient de l’importance du patrimoine culturel immatériel (PCI), le Népal a ratifié la convention de 2003, appréciant ainsi la place centrale des traditions vivantes dans son patrimoine collectif, et a adopté une « politique nationale 2067 » dans laquelle on retrouve, entre autres, une référence à l’identification, la recherche, la promotion, la protection et la gestion du patrimoine culturel immatériel. Cette politique reconnait aussi le rôle fédérateur que le PCI joue parmi les nombreuses ethnies et groupes indigènes. Néanmoins, le Népal peine à identifier et à reconnaître les éléments qui enrichissent son patrimoine comme les traditions, les coutumes, les pratiques religieuses ou les festivités. Aucun ministère indépendant n’a d’ailleurs été créé pour développer et gérer le secteur de la culture.
Au cours des dernières années, le ministère de la Culture du Népal et le bureau de l’UNESCO à Katmandou ont travaillé en étroite collaboration pour organiser trois ateliers de formation standard sur la mise en œuvre de la Convention de 2003 (en avril 2012), sur l’identification et l’inventaire du PCI avec la participation des communautés (en janvier 2013) et la préparation de dossier de candidatures pour les Listes du PCI (en septembre 2013). Ces ateliers étaient organisés dans le cadre du projet régional de l’UNESCO pour le renforcement des capacités qui a été rendu possible par le soutien généreux du gouvernement du Japon.
Par conséquent, au vu des activités qui ont déjà eu lieu, le bureau de l’UNESCO à Katmandou a décidé, en accord avec le ministère de la Culture, du Tourisme et de l’Aviation civile du Népal, que le pays pourrait grandement bénéficier d’un atelier de renforcement des capacités sur l’élaboration de plans de sauvegarde du patrimoine culturel immatériel (que l’on appellera ici atelier SAFE).
Cet atelier SAFE sera le quatrième d’une série de formation spécialisée en matière de renforcement des capacités qui a eu lieu au Népal. Ces ateliers ont été conçus dans le cadre de la stratégie mondiale de l’UNESCO pour le renforcement des capacités dont l’objectif est la création d’environnements institutionnels et professionnels propices au renforcement des capacités pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel à l’échelle mondiale.
L’atelier SAFE aura lieu du 21 au 25 novembre 2016 et suivra les nouvelles méthodes de formation, alliant scénarios interactifs et jeux de rôles et puisant le réseau dynamique de facilitateurs formés par l’UNESCO. Deux facilitateurs qui ont délivré les trois formations de renforcement des capacités au Népal animeront l’atelier SAFE en raison de leur niveau de familiarité avec le contexte local. Cela leur permettra non seulement d’adapter les matériels de formation, mais aussi de mieux comprendre le rôle des participants dans les discussions et donc de mieux les aider.
Le ministère de la Culture a accepté de coorganiser l’événement en tant que partenaire principal pour la mise en œuvre de la Convention. L’organisation de l’atelier est soutenue par le Centre international de formation sur le patrimoine culturel immatériel dans la région Asie-Pacifique (CRIHAP) sous l’égide de l’UNESCO.
Cet atelier fournira aux participants les connaissances nécessaires pour l’élaboration de plans de sauvegarde grâce au passage en revue des concepts-clés de la Convention, à l’organisation de jeux de rôles interactifs avec les participants, à des études de cas, à des discussions et des exercices sur le terrain. Ces derniers permettront d’ailleurs d’améliorer les compétences nécessaires à l’élaboration de plans de sauvegarde. L’atelier devrait aussi aborder de nombreuses questions et permettre aux participants de partager leurs propres expériences du PCI. Parmi les participants, on retrouvera à la fois un nouveau groupe de représentants des communautés ainsi que des organisations gouvernementales et non gouvernementales impliquées dans la sauvegarde du patrimoine immatériel et des représentants des communautés Tharu, Jirel, Pahari, Dhimal, etc. qui ont participé aux autres ateliers. Les représentants de ces ethnies pourront aider les facilitateurs grâce à leur expérience, leurs connaissances et leur engagement.
Atelier d’inventaire avec la participation de la communauté Oyo
14/18-11-2016Etat d’Oyo (Nigéria)
Cet atelier a eu lieu dans le cadre d’un projet de deux ans (2014-2016) financé par l’UNESCO/Fonds-en-dépôt japonais et destiné à soutenir la mise en œuvre efficace de la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel au Nigéria. L’objectif de cet atelier est de développer les capacités des membres des communautés locales au travers de formations sur l’inventaire avec la participation des communautés.
L’atelier était animé par Silverse Anami, facilitateur formé par l’UNESCO.
L’atelier a rassemblé 15 praticiens dont 10 ont été sélectionnés pour conduire un inventaire pilote du patrimoine culturel immatériel de 6 mois dans l’État d’Oyo.
Atelier d’élaboration d’instruments de politiques publiques pour le plan national de sauvegarde du patrimoine culturel immatériel de l’Equateur
09/11-11-2016Quito (Équateur)
Atelier de renforcement des capacités institutionnelles pour la mise en œuvre de la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel
31-10-2016/02-11-2016Ndjamena (Tchad)
Un Atelier de renforcement des capacités institutionnelles pour la mise en œuvre de la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel a été organisé du 31 octobre au 2 novembre 2016 à Ndjamena au Tchad par la Commission nationale, le ministère du Développement touristique, de la Culture et de l’Artisanat et le Bureau régional de l’UNESCO et animé par le Spécialiste Culture du Bureau de l’UNESCO à Yaoundé et l’expert régional M. Jean-Omer NTADY.
Une cinquantaine de personnes ont pris part, au sein du Musée national à Ndjamena, aux travaux (cadres des ministères du Développement touristique, de la Culture et de l’Artisanat, de l’Environnement, de l’Université de Ndjamena, de l’Office National de Radio et Télévision, des jeunes ayant pris part à la Conférence régionale de Brazzaville sur le PCI, Conseil national consultatif des Jeunes (CNCJ), la Commission nationale, les Délégations du Ministère de la Culture en province).
Cet atelier a été un cadre d’échange interculturel entre les institutions en charge de la Culture au TCHAD et les formateurs. La visite de terrain sur le site de Gaoui et plus précisément dans la chefferie Kotoko le site de poterie pratiquée par les femmes de cette communauté a permis de repréciser l’importance de la transmission, le rôle des communautés et que conformément aux articles 11 et 12 et de la Convention de 2003, le but de l’inventaire est de contribué à la sauvegarde et la mise à jour des éléments du PCI.
Parmi les résultats, on peut noter qu’une cinquantaine de personnes ont pris part à l’Atelier dont 27 cadres des ministères de la Culture, du Tourisme et de l’Environnement ont une meilleure connaissance de la Convention de 2003 et peuvent désormais faire la différence entre Bien et Elément et ont conscience du rôle et de l’importance des inventaires.
Des recommandations ont été adressées à l’Etat du TCHAD et à l’UNESCO :
A l’Etat tchadien :
• Mettre à la disposition de la direction en charge de la protection, de la conservation, de la sauvegarde du patrimoine national des moyens conséquents afin de faire l’inventaire des éléments représentatifs du patrimoine culturel immatériel dans l’ensemble du territoire national ;
• Former les professionnels de la culture dans le domaine du patrimoine culturel
immatériel ;
• S’engager à payer ses cotisations vis-à-vis de l’organisation internationale.
A l’UNESCO :
• De continuer d’appuyer l’Etat tchadien dans le renforcement des capacités
des professionnels du patrimoine culturel immatériel afin de sauvegarder et
valoriser le patrimoine tchadien ;
• Former la direction du patrimoine culturel dans l’élaboration des projets ;
• Apporter l’expertise à l’Etat pour l’aider à faire l’inventaire du patrimoine culturel immatériel ;
• Continuer à accompagner le TCHAD dans la promotion du patrimoine culturel immatériel.
Formation des facilitateurs sur la digitalisation du patrimoine culturel immatériel : premiers pas vers l’élaboration d’un inventaire national et d’une base de données numérique du patrimoine culturel immatériel mongol
24/27-10-2016Oulan-Bator (Mongolie)
Le Centre du patrimoine culturel de Mongolie organise un atelier du 24 au 27 octobre 2016 à Oulan-Bator, en Mongolie. Il aura pour but de former les responsables des politiques culturelles à la numérisation de l’inventaire du patrimoine culturel immatériel. En effet, la digitalisation de l’inventaire fait partie de la directive sur la mise en œuvre de la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine immatériel.
Près de 50 représentants des 21 provinces du pays ont assisté à cette formation assurée par un expert chinois sur les techniques et les méthodes pour numériser la base de données actuelle du patrimoine culturel immatériel.
L’atelier est organisé en partenariat avec la Commission nationale mongole pour l’UNESCO et huit autres facilitateurs nationaux. Le programme de cette formation est basé sur les besoins actuels de l’inventaire national et des ressources humaines en Mongolie.
L’objectif est de permettre la sauvegarde efficace du patrimoine vivant de Mongolie grâce à la numérisation de l’inventaire. Cette mesure a été recommandée pour se mettre en conformité avec les règles de l’UNESCO en matière d’inventaire, et, en outre, former un parterre d’experts prêts à être mobilisés dans le futur pour répondre au besoin de formations supplémentaires et pour délivrer des conseils à l’échelle provinciale et locale en matière de numérisation des inventaires.
Cette activité a lieu dans la foulée des progrès en matière de renforcement des capacités réalisés dans le cadre du projet UNESCO/Fond-en-en-dépôt japonais pour la « sauvegarde du patrimoine grâce au renforcement des capacités dans la région Asie-Pacifique » et les activités spécifiques de ce projet en Mongolie pour la mise en œuvre de la Convention de 2003 (en 2012), pour l’inventaire avec la participation des communautés (en 2013), pour l’élaboration de dossiers de candidatures et plus récemment, pour la préparation de plans de sauvegarde (en 2016).
Les leçons retenues au cours des ateliers précédents délivrés par des facilitateurs de l’UNESCO seront mises en pratique au travers de matériaux de l’UNESCO contextualisés et en mettant l’accent sur la fonction sociale, la signification culturelle et la viabilité des éléments de patrimoine immatériel, puisque le registre existant se concentre plutôt sur les praticiens individuels. L’objectif de cette approche est de faciliter la consolidation des inventaires, la documentation du PCI à l’échelle provinciale et l’accès pour les communautés locales et les autorités nationales.
Atelier sur l’élaboration de plans de sauvegarde
17/21-10-2016Lautoka (Fidji)
Atelier sur l’élaboration d’inventaire avec la participation de la communauté Calabar
10/15-10-2016Etat de Cross River (Nigéria)
Cet atelier a eu lieu dans le cadre d’un projet de deux ans (2014-2016) financé par l’UNESCO/Fonds-en-dépôt japonais et destiné à soutenir la mise en œuvre efficace de la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel au Nigéria. L’objectif de cet atelier est de développer les capacités des membres des communautés locales au travers de formations sur l’inventaire avec la participation des communautés. L’atelier a rassemblé du personnel de l’UNESCO et des représentants du ministère du Tourisme, de la Culture et de l’Orientation nationale et les organismes parastataux concernés. Cet atelier était animé par M. Silverse Anami, facilitateur formé par l’UNESCO et le professeur G.G. Darah, facilitateur national.
L’atelier a rassemblé 15 praticiens dont 10 ont été sélectionnés pour conduire un inventaire pilote du patrimoine culturel immatériel de 6 mois.
Soutien au développement de politiques dans le domaine du patrimoine culturel immatériel dans la région Amérique latine et Caraïbes
03/07-10-2016Lima (Pérou)
Que signifie l’élaboration de politiques pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel? Quels sont les besoins dans ce domaine en Amérique latine et dans les Caraïbes? Comment cette thématique s’inscrit dans le programme global de l’UNESCO de renforcement des capacités pour la mise en œuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel ? Ces questions seront abordées dans le cadre d’un atelier de formation, qui se tiendra à Lima, au Pérou, du 3 au 7 octobre 2016, sur le soutien au développement de politiques dans le domaine du patrimoine culturel immatériel dans la région Amérique latine et Caraïbes. Plus de 35 participants y prendront part, dont 12 membres du réseau d’experts facilitateurs de l’UNESCO ayant de l’expérience dans la formation et le conseil dans le cadre du programme global de renforcement des capacités, ainsi que 12 fonctionnaires des bureaux hors-Siège de l’UNESCO chargés de la coordination du programme dans la région.
Organisé par l’UNESCO en collaboration avec le Centre régional pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel de l’Amérique Latine (CRESPIAL), cet atelier sera le troisième dans la région consacré au renforcement du réseau d’experts facilitateurs. L’objectif est de fournir aux participants les connaissances et les outils requis pour apporter un soutien aux politiques et faire l’état des lieux de la mise en œuvre du programme de renforcement des capacités dans la région depuis 2013.
Documents
Formation des formateurs sur le renforcement des capacités nationales pour la mise en œuvre de la convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel
19/23-09-2016Mariental (Namibie)
Cette activité s’inscrit dans la deuxième phase d’un projet de sauvegarde du PCI financé par le gouvernement flamand et mis en œuvre par le bureau de l’UNESCO à Harare au Zimbabwe. La section du patrimoine culturel immatériel du siège de l’UNESCO a fourni un soutien technique tout au long de l’activité.
La formation était animée par M. Sam Ishmeal, ethnomusicologue, M. Cornelius Engelbrecht et M. Helon Muhaindjumba. 37 personnes originaires de 14 régions de Namibie, parmi lesquelles 23 hommes et 14 femmes, ont participé à cette formation de 3 jours.
Atelier sur l’élaboration des plans de sauvegarde à Samoa
12/16-09-2016Apia (Samoa)
Réunion d’expert sur le développement d’un cadre global de résultats pour la Convention de 2003
07/09-09-2016Pékin (Chine)
À la demande du Comité intergouvernemental de sauvegarde du patrimoine culturel immatériel (décision9.COM 13.e et décision10.COM 9), l’UNESCO organise une réunion d’experts, du 7 au 9 septembre à Beijing, en Chine, visant à poser les bases de l’élaboration d’un cadre global de résultats pour la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel. Cette réunion d’experts est généreusement financée et accueillie par la Commission nationale chinoise pour l’UNESCO.
La réunion de trois jours à Beijing rassemblera quelque 35 participants venus du monde entier. Le rapport de la réunion sera présenté à la onzième session du Comité à Addis-Abeba, en Éthiopie, en novembre/décembre 2016. Sur la base des discussions ayant eu lieu à ces occasions, un cadre préliminaire de résultats pour la Convention (avec la proposition d’objectifs, de calendriers, d’indicateurs quantitatifs et qualitatifs et de points de référence) sera élaboré pour examen par le groupe de travail ouvert intergouvernemental qui pourrait être organisé en 2017, sous réserve d’un financement extrabudgétaire.
Documents
Policy development workshop for Southern African countries in safeguarding intangible cultural heritage
05/16-09-2016Lusaka (Zambie)
Atelier de formation sur l’inventaire avec la participation des communautés en République populaire démocratique de Corée
28-08-2016/01-09-2016Pyongyang (République populaire démocratique de Corée)
Cet atelier de formation était organisé par le bureau de l’UNESCO à Pékin en collaboration avec l’Autorité nationale pour la protection du patrimoine culturel et la Commission nationale de la République populaire démocratique de Corée avec la contribution financière du Centre international de formation sur le patrimoine culturel immatériel dans la région Asie-Pacifique (CRIHAP), un centre de catégorie 2 de l’UNESCO. L’atelier faisait partie du plan de travail du CRIHAP pour l’exercice 2016 et était organisé dans le cadre du programme mondial de l’UNESCO pour le renforcement des capacités afin de mettre en œuvre efficacement la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel.
Depuis 2008, date à laquelle la République populaire de Corée a ratifié la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, un certain nombre d’ateliers sur le renforcement des capacités ont eu lieu à Pyongyang par le bureau de l’UNESCO à Pékin en 2010, 2011 (Atelier national de sensibilisation à la sauvegarde du PCI) et 2013 (atelier de formation sur la mise en œuvre de la Convention de 2003). Cette formation assurait le suivi des ateliers qui ont déjà eu lieu et mettait l’accent sur l’inventaire avec la participation des communautés.
6 ateliers sur la mise en œuvre de la Convention organisés au niveau régional
01/31-08-2016Cote d’Ivoire (Côte d’Ivoire)
Atelier sur l’inventaire, l’assistance internationale et les candidatures en Zambie
25/29-07-2016Kabwe (Zambie)
La Zambie a organisé un atelier sur l’élaboration d’inventaire du PCI avec la participation des communautés et a inventorié trois éléments. Il a eu lieu du 25 au 29 juillet à Kwabe, dans la Province centrale, et a rassemblé 18 participants dont 5, tous des membres des communautés, ont reçu un certificat attestant l’accomplissement de la formation avec succès. L’objectif de l’atelier était de réaffirmer la capacité de certains experts formés à Kwabe en 2014 en leur permettant d’animer différentes sessions des unités de formation sur l’inventaire communautaire. Au terme du programme d’animation, 5 participants qui avaient particulièrement excellé se sont vus remettre un certificat pour exercer en tant qu’experts du PCI.
Cette activité fait partie de la seconde phase du projet PCI financé par le gouvernement flamand et mis en œuvre par le Bureau de l’UNESCO à Harare au Zimbabwe. La section du patrimoine culturel immatériel du siège de l’UNESCO a fourni un soutien technique tout au long de l’activité.
Policy Advisory Mission Lao PDR
20/22-06-2016Vientiane (République démocratique populaire lao)
Atelier sur l’élaboration d’outils de politique publique et de reconstruction après désastre pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel
13/16-06-2016Puerto López (Équateur)
Le Ministère de la culture et du patrimoine et l’Institut National du Patrimoine Culturel de l’Equateur (INPC) organisent avec le Bureau de l’UNESCO à Quito le dernier d’une série de trois ateliers sur l’élaboration d’outils de politique publique pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, du 13 au 16 juin 2016 à Puerto López (province de Manabí).
Initialement prévu à Portoviejo, également dans la province de Manabí qui a été considérablement affectée par le séisme du 16 avril, cet atelier s’appuiera sur la méthodologie du PNUD d’évaluation des besoins post-Catastrophes en relation avec la révision des plans de développement à partir d’une perspective de sauvegarde du patrimoine culturel immatériel dans un contexte de post-catastrophe.
Les environ 25 participants des bureaux régionaux du Ministère de la culture et du patrimoine ainsi que de l’INPC, des représentants du Secrétariat national de la planification et du développement et des membres de communautés participant à cet atelier proviennent de régions sérieusement touchées par ce séisme.
Cet atelier fait partie d’un projet de deux ans, soutenu par le Gouvernement du Japon, conçu pour renforcer les capacités humaines et institutionnelles en matière de sauvegarde du patrimoine culturel immatériel en Équateur.
L’année dernière, des activités d’élaboration d’inventaires avec la participation des communautés ont été organisées dans la localité de Portoviejo pour sensibiliser et renforcer les synergies.
Cette nouvelle étape du processus va permettre aux participants de réfléchir sur l’impact des politiques publiques sur la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, à partir d’une perspective sensible aux questions de genre et de droits de l’homme dans le contexte du plan de développement équatorien du “Bien-Vivre”.
Quatrième réunion des centres de catégorie 2 pour le patrimoine culturel immatériel
03-06-2016Paris (France)
La 4ème réunion annuelle des centres de catégorie 2 actifs dans le domaine du patrimoine culturel immatériel aura lieu le 3 Juin 2016 au Siège de l’UNESCO à Paris (France). La réunion assurera le suivi des trois réunions annuelles précédentes.
For further information:
6e session de l’Assemblée générale
30-05-2016/01-06-2016Paris (France)
Mise en œuvre de la convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel
29-05-2016/01-06-2016Amman (Jordanie)
En partenariat avec le ministère de la Culture de Jordanie, le bureau de l’UNESCO à Amman a tenu un atelier sur la « Mise en œuvre de la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel » du 29 mai au 1er juin 2016 à Amman. Cet atelier s’inscrit dans la stratégie mondiale de l’UNESCO pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel au travers d’une mise en œuvre efficace de la Convention de 2003. L’organisation de cet atelier fut un succès à bien des égards.
Cet atelier était une première étape pour améliorer la compréhension de la Convention de 2003 et de la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel des acteurs gouvernementaux et communautaires. L’atelier a permis aux participants de recevoir plus d’information sur l’importance du PCI, sur la Convention de 2003 de l’UNESCO, sur la façon d’introduire une demande de financement et des idées maîtresses pour enseigner et promouvoir le PCI par le biais des médias.
Un large éventail de parties prenantes a participé à cet événement. Parmi eux, on retrouvait des ONG représentant des communautés jordaniennes, de ministères et des autorités nationales impliqués dans la conservation du patrimoine culturel à différents niveaux.
Pour accroître la durabilité de l’activité, l’atelier a permis la mise en place d’un groupe de travail dédié à la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel en Jordanie, ce qui devrait contribuer à la sauvegarde du patrimoine immatériel du pays dans le futur.
L’atelier a contribué grandement à renforcer les capacités des parties prenantes du pays (gouvernementales ou non) pour entamer des actions de sauvegarde plus efficaces, en accord avec le RE 5 : « Renforcement et utilisation des capacités nationales en vue de la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, y compris les langues autochtones et en péril, par la mise en œuvre effective de la Convention de 2003 ».
Atelier sur l’élaboration des plans de sauvegarde en Mongolie
23/27-05-2016Oulan-Bator (Mongolie)
Formation conjointe sur l’élaboration de plans de sauvegarde dans îles néerlandaises des Caraïbes
16/20-05-2016Willemstad (Curaçao)
Du 17 au 20 mai 2016, plus de vingt participants originaires de sept pays (Aruba, Bonaire, Curaçao, Saba, Saint-Eustache, Saint-Martin et le Surinam) se rencontreront à Curaçao pour assister à un atelier sur l’élaboration de plans en vue de sauvegarder leur patrimoine culturel immatériel.
Les participants, qui représentent diverses communautés et praticiens, mais également des organisations gouvernementales et non gouvernementales impliquées dans la sauvegarde du patrimoine vivant de la sous-région, seront parmi les premiers à bénéficier d’une formation récemment mise au point, alliant scénarios interactifs et jeux de rôle. Cette formation sera donnée par des experts formés par l’UNESCO.
Cette activité s’appuie à la fois sur le travail d’inventaire avec la participation des communautés et des exercices de terrain entrepris dernièrement dans les Antilles néerlandaises. Organisée par le bureau multipays de Kingston pour les Caraïbes en étroite collaboration avec des partenaires nationaux à travers les îles, cet atelier fait partie d’un projet de renforcement des capacités dont l’objectif est de sauvegarder le patrimoine culturel immatériel dans les Antilles néerlandaises et au Surinam. Il a pu être concrétisé grâce à la généreuse contribution du gouvernement des Pays-Bas au fonds du patrimoine culturel immatériel.
Atelier sur l’élaboration d’outils de politiques publiques pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel
16/19-05-2016Riobamba (Équateur)
À la suite de l’atelier de Loja, Le Ministère de la Culture et du Patrimoine, l’Institut National du Patrimoine Culturel de l’Equateur (INPC) et le Bureau de l’UNESCO à Quito organisent à Riobamba le second d’une série de trois ateliers sur l’élaboration d’outils de politique publique pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel. L’atelier, qui aura lieu du 16 au 19 mai 2016, rassemblera environ 25 participants, notamment des bureaux régionaux du Ministère de la Culture et du Patrimoine ainsi que de l’INPC, des représentants du Secrétariat National de la Planification et du Développement et des membres de communautés. Face aux défis posés par la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, les participants travailleront sur des mécanismes de révision et adéquation des plans de développement, dont la mise en œuvre incombe aux gouvernements locaux en Equateur.
Cet atelier fait partie d’un projet de deux ans, soutenu par le Gouvernement du Japon, conçu pour renforcer les capacités humaines et institutionnelles en Equateur en matière de sauvegarde du patrimoine culturel immatériel. Il s’inscrit dans la continuité des activités d’élaboration d’inventaires avec la participation des communautés organisées en 2015 dans cette localité. La sensibilisation et les synergies qui y ont été générées procureront à ce nouvel espace participatif une base pour discuter de l’impact et opportunités des politiques publiques pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, tout en adoptant une perspective sensible aux questions de genres et droits de l’homme et dans le contexte du plan de développement équatorien du “Bien-Vivre”.
First Aid Support Meeting on Syrian Traditional Music
13-05-2016Room VIII UNESCO Headquarter (France)
The one day meeting will take place in Paris as three of the six Syrian participants are currently located there and because it would be a good opportunity to present the Syrian participants to the concerned staff members of the Sections for Intangible Heritage (2003 Convention).
Syrian musicians and/or singers will be invited to take part in this meeting, together with an expert on Syrian traditional music, who will coordinate the présentations concerning the current status of Syrian traditional music, the threats they face in safeguarding this ICH and what support UNESCO can provide in this context.
The expert will provide an overview on the Syrian traditional music as an introduction to the meeting. This overview will take the form of a report, which will include the situation of the Syrian traditional music before the crisis, the different typologies of Syrian traditional music, its function in the society and in the current situation.
Atelier final régional du projet de renforcement de capacités dans les pays africains de langue officielle portugaise (PALOP)
09/13-05-2016Maputo (Mozambique)
Cet atelier régional clôture le projet de renforcement des capacités pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel dans les pays africains lusophones. Ce projet était financé par une contribution destinée à ce projet de la Norvège au Fond pour le PCI. Des professionnels originaires des cinq pays PALOP se sont rassemblés pour une formation sur les demandes d’assistance internationale et pour examiner les résultats du projet dans le but d’élaborer une stratégie pour la sauvegarde du PCI dans leur région. La réunion a eu lieu à l’Institut mozambicain d’études socioculturelles, Arquivo do Património Cultural (ARPAC), une institution à la pointe de la sauvegarde du PCI. Cet atelier était animé par Lucas Roque.
Formation des formateurs pour l’élaboration d’inventaires du patrimoine culturel immatériel avec la participation des communautés
09/15-05-2016Hanoi (Viet Nam)
En collaboration avec le département du Patrimoine culturel et dans le but de soutenir les efforts du Viet Nam en matière d’inventaire du PCI, l’UNESCO organisera du 9 au 15 mai une formation des formateurs. Les participants deviendront par la suite des personnes ressource en matière d’inventaire du PCI dans le pays.
Le programme de cette formation utilisera principalement l’ensemble des matériaux préparés par l’UNESCO en matière d’inventaire du PCI dans le cadre de la stratégie globale de renforcement des capacités. De plus, la formation poursuivra trois objectifs principaux :
- Sensibiliser les populations à l’objectif de sauvegarde de l’élaboration d’inventaire du PCI, en accord avec la Convention de 2003 et la législation en matière de patrimoine culturel.
- Promouvoir la connaissance et les pratiques des approches impliquant les communautés en matière d’inventaire du PCI
- Renforcer les capacités du pays et établir un réseau d’experts et de formateurs nationaux pour l’inventaire du PCI au Viet Nam
Les objectifs principaux de l’inventaire du PCI sont les suivants : identifier la valeur des différents éléments, évaluer leur viabilité et proposer des mesures de sauvegarde avec le consentement éclairé des communautés locales.
A la suite de cette formation de sept jours, les participants prépareront des matériaux de formation pour les localités cibles. Selon les besoins de chacune de ces localités, ils interviendront en qualité de formateurs nationaux lors des futures formations et lors de l’élaboration d’inventaires dans les provinces ou dans les villes.
Policy Advisory mission in Samoa
02/06-05-2016Apia (Samoa)
Atelier sur la documentation et l’inventaire du patrimoine culturel immatériel de la communauté pastorale Samburu
13-04-2016/31-05-2016Arapal, Baragoi, Maralal (Kenya)
L’objectif principal de cet atelier est de sensibiliser la communauté Samburu à la signification de leur patrimoine culturel immatériel et à la manière dont ils peuvent prendre part à la sauvegarde de celui-ci. La formation fournira au participant des compétences nécessaires à la documentation et à l’inventaire de leur patrimoine. La session sera animée par M. Julious Mwaunga, un facilitateur formé par l’UNESCO.
Inventaire de l’héritage vivant du Suriname
11/15-04-2016Paramaribo (Suriname)
Les participants représentant les communautés afro-surinamiennes, javanaises, marronnes, chinoises, juives, hindoustanis et autochtones, unissent leurs forces pour développer un cadre pour l’inventaire de leur patrimoine vivant lors d’un atelier de cinq jours portant sur les inventaires du patrimoine culturel immatériel avec participation des communautés, qui se tient à la Maison surinamienne du rhum du 11 au 15 avril 2016.
A l’initiative de la Direction de la culture du Suriname et la Commission nationale du Suriname pour l’UNESCO et en coordination avec les organisations et les communautés qui se sont engagées dans la sauvegarde du patrimoine vivant du Suriname, cet atelier fait suite à la formation organisée l’année dernière sur la mise en œuvre de la Convention de 2003 et une consultation nationale avec les parties prenantes.
Cet atelier porte sur la participation des communautés dans l’identification et la définition du patrimoine culturel immatériel, la collecte, l’organisation et la gestion des données, et pose les bases pour un exercice sur le terrain sur les inventaires dans les prochains mois, ainsi que le futur travail de sauvegarde.
Organisé par le Bureau multipays de l’UNESCO pour les Caraïbes à Kingston en étroite collaboration avec les partenaires nationaux dans les îles, cet atelier s’inscrit dans le cadre d’un projet de renforcement des capacités pour améliorer la sauvegarde du patrimoine vivant dans les Caraïbes néerlandaises et au Suriname. Ce projet est rendu possible grâce à la généreuse contribution du gouvernement des Pays-Bas au Fonds du patrimoine culturel immatériel.
Renforcement des capacités dans le cadre de la Convention de 2003 en Guinée Bissau
04/09-04-2016Bissau (Guinée-Bissau)
Suite à la mission de liaison en juin 2015 l’activité vise à poursuivre et intensifier le travail de formation et sensibilisation avec les autorités, les communautés et d’autres parties prenantes pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel. Elle s’inscrit dans le cadre du projet de « Renforcement des capacités des pays lusophones d’Afrique pour la mise en œuvre de la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel » soutenu par le Fonds du patrimoine culturel immatériel grâce à une contribution du Gouvernement de la Norvège. Contribuant à la stratégie mondiale de renforcement des capacités mise en place en 2009, l’objectif est de renforcer les capacités des pays en vue d’une sauvegarde efficace du patrimoine culturel immatériel présent sur leurs territoires ainsi que d’exploiter son potentiel pour le développement durable des communautés.
Atelier sur l’élaboration d’outils de politique publique pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel
04/07-04-2016Loja (Équateur)
Le Ministère de la Culture et du Patrimoine, l’Institut National du Patrimoine Culturel de l’Equateur (INPC) et le Bureau de l’UNESCO à Quito organisent à Loja le premier d’une série de trois ateliers sur l’élaboration d’outils de politique publique pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel. L’atelier, qui aura lieu du 4 au 7 avril 2016, rassemblera environ 25 participants, notamment des bureaux régionaux du Ministère de la Culture et du Patrimoine ainsi que de l’INPC, des représentants du Secrétariat National de la Planification et du Développement et des membres de communautés. Face aux défis posés par la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, les participants travailleront sur des mécanismes de révision et adéquation des plans de développement, dont la mise en œuvre incombe aux gouvernements locaux en Equateur.
Cet atelier fait partie d’un projet de deux ans, soutenu par le Gouvernement du Japon, conçu pour renforcer les capacités humaines et institutionnelles en Equateur en matière de sauvegarde du patrimoine culturel immatériel. Il s’inscrit dans la continuité des activités d’élaboration d’inventaires avec la participation des communautés organisées en 2015 dans cette localité. La sensibilisation et les synergies qui y ont été générées procureront à ce nouvel espace participatif une base pour discuter de l’impact et opportunités des politiques publiques pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, tout en adoptant une perspective sensible aux questions de genres et droits de l’homme et dans le contexte du plan de développement équatorien du “Bien-Vivre”.
Atelier sur l’inventaire avec la participation des communautés
09/19-03-2016Luanda (Angola)
Dans la foulée d’un premier atelier qui avait eu lieu en novembre 2015, l’Institut National du Patrimoine culturel angolais (INPC) organise, en collaboration avec l’UNESCO, un atelier sur le travail d’inventaire du patrimoine culturel immatériel avec la participation des communautés. L’atelier rassemble près de 25 participants, dont du personnel technique de certaines institutions culturelles du pays et des parties prenantes, par exemple des membres des communautés et des dépositaires du patrimoine vivant. Les participants seront initiés aux méthodes de recueil et de classement adéquat des informations, de sorte qu’elles puissent servir de base au travail de sauvegarde. La formation se tiendra du 9 au 19 mars à Luanda et proposera aux habitants de l’île des exercices pratiques. Ce projet pilote devrait en principe être réitéré dans d’autres régions du pays.
Cette initiative fait partie de la stratégie globale de l’UNESCO pour le renforcement des capacités nationales pour la sauvegarde du patrimoine vivant dans les pays lusophones d’Afrique (PALOP) et vise entre autres à renforcer la coopération régionale entre les pays PALOP. Assistés par un facilitateur brésilien, deux anciens stagiaires du projet au Mozambique et à Sao Tomé et Principe co-faciliteront la formation.
Cet atelier est rendu possible grâce à la contribution généreuse du gouvernement de Norvège au Fond pour le patrimoine culturel immatériel.
Atelier sur l’élaboration d’inventaires avec la participation des communautés aux Fidji
03/11-02-2016Suva (Fidji)
Atelier sur l’inventaire avec la participation des communautés
24/31-01-2016Dubai (Émirats arabes unis)
Cet atelier est le deuxième d’une série de trois formations qui étaient prévues. Il mettra l’accent sur l’inventaire avec la participation des communautés et la formation appropriée.
Atelier final Cabo Verde
18/22-01-2016Praia (Cabo Verde)
Du 18 au 22 janvier, l’Institut du patrimoine culturel de Cabo Verde (IPC) et l’UNESCO organisent un dernier atelier pour évaluer les résultats du travail d’inventaire sur le terrain. Suite à une formation pratique organisée en juillet dernier, 17 membres de la communauté et 13 responsables de la culture ont identifié et documenté 31 éléments du patrimoine culturel immatériel dans les communautés de Centro Histórico, Salineiro et Calabaceira à Ribeira Grande de Santiago. Les parties prenantes et les responsables de la culture peuvent donc tirer des leçons de ces résultats et élaborer une stratégie nationale pour la sauvegarde du PCI fondée sur les inventaires avec la participation des communautés applicable à tout le territoire de Cabo Verde.
Pour assurer une continuité et pour renforcer la coopération entre les pays lusophones d’Afrique (PALOP), l’expert en chef de l’Institut mozambicain pour la recherche socioculturelle (ARPAC) animera cet atelier. Par ailleurs, des représentants du département de la Culture du Secrétariat d’État à la Jeunesse, la Culture et le Sport et de Guinée-Bissau et de l’Institut national pour le patrimoine culturel d’Angola participeront également afin de rapporter les connaissances à leurs institutions respectives qui suivent le même programme de renforcement des capacités de l’UNESCO.
Cet atelier a été rendu possible grâce à une généreuse contribution du Gouvernement de la Norvège au Fonds du patrimoine culturel immatériel.