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La fin du régime fiscal le plus généreux du monde ?

Lorsqu’en avril 2010, l’Inde a introduit une importante déduction fiscale de 200% sur les dépenses de recherche-développement (R&D) des entreprises, elle est devenue l’un des 16 pays au monde à proposer ce type de « super-déduction », à savoir un avantage fiscal dépassant le montant total des dépenses d’une entreprise en matière de R&D. Cette année, une nouvelle règlementation fiscale est entrée en vigueur, avec pour objectif de réduire drastiquement l’importance de cet avantage fiscal.

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L’Iran poursuit sa transition vers l’économie du savoir

Le 19 mai 2017, Hassan Rohani a été réélu Président de l’Iran. Parmi les défis qu’il aura à relever pendant son deuxième mandat, la poursuite de la transition engagée par le pays vers une économie du savoir, alors que l’afflux d’investissements étrangers se fait attendre. L’économie iranienne a renoué avec la croissance en 2016 (environ 6,4%), mais ce rebond doit beaucoup à la reprise des exportations massives de pétrole depuis que l’accord final sur le nucléaire a été avalisé par le Conseil de sécurité des Nations Unies, ouvrant la voie à la levée des sanctions.

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L’Inde, ce pionnier de l’innovation au service des plus pauvres

En Inde, « faire de son mieux avec moins est depuis longtemps une réalité assumée et inévitable dans les secteurs des services et de la fabrication de biens », fait remarquer le Rapport de l’UNESCO sur la science (2015). « Si le taux de pauvreté a diminué, un habitant sur cinq (270 millions) vivait encore sous le seuil de pauvreté en 2012. Les biens et les services de qualité doivent donc être abordables pour être utilisés par la masse des consommateurs qui se trouvent au bas de la pyramide ». Cette réalité a favorisé l’essor de ce qu’on appelle l’innovation frugale, ou l’ingénierie frugale.

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Les États insulaires du Pacifique s’appuient sur le régionalisme pour accompagner des mutations rapides

© Kanefusa Masuda /ICOMOS,
Le toit en chaume de cette fale (maison) samoane traditionnelle a resisté aux vents violents du Cyclone Evan en décembre 2012, contrairement à des maisons modernes au toit d’aluminium.

Du 26 mars au 11 avril 2017, la Sous Directrice générale pour les sciences exactes et naturelles de l’UNESCO, Flavia Schlegel, se rend à Samoa, aux Îles Cook, en Nouvelle Zélande et, pour terminer, aux Fidji. Un point fort du voyage sera la réunion ministérielle qui se tiendra les 29 et 30 mars à Apia, Samoa, avec des représentants de 13 États insulaires du Pacifique en développement.

Lors de cette réunion, Mme Schlegel présidera le Dialogue entre l’UNESCO et le Réseau international pour le conseil scientifique aux gouvernements (INGSA) sur le thème de Sciences et politiques scientifiques. L’INGSA est présidé par Sir Peter Gluckman, Principal conseiller scientifique scientifique auprès du premier ministre néozélandais.

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Les communautés économiques régionales servent de canal pour la coopération Sud-Sud en sciences

De plus en plus, les communautés économiques régionales servent de canal pour la coopération Sud-Sud en sciences, selon le Rapport de l’UNESCO sur la science : vers 2030. Beaucoup d’entre elles auraient puisé leur inspiration dans le modèle européen.

Le plus souvent, la planification à long terme des communautés régionales dans le Sud s’accompagne de l’adoption de politiques ou de stratégies scientifiques. Ainsi, la Politique en matière de science et de technologie adoptée par la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) en 2011 « fait partie intégrante de Vision 2020 », la feuille de route de la sous-région à l’horizon 2020.

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Lancement de la version française du Rapport de l’UNESCO sur la science

Un an après le lancement de l’édition anglaise en novembre 2015, la version française du Rapport de l’UNESCO sur la science sera présentée le 4 décembre à Djibouti. Tous les cinq ans, ce rapport dresse un bilan de l’état de la science, de la technologie et de l’innovation dans le monde.

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Appel à candidatures : Prix international UNESCO–Guinée Équatoriale pour la recherche en sciences de la vie

L’UNESCO invite les Etats membres, en consultation avec leurs Commissions nationales, ainsi que les organisations non gouvernementales entretenant des relations officielles avec l’UNESCO, et active dans un domaine visé par le Prix, à proposer des candidatures au Prix International UNESCO–Guinée équatoriale pour la recherche en science de la vie. Date limite de soumission des candidatures : le 31 décembre 2016

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Le Rwanda marie protection environnementale et stratégie de croissance

Le 2 septembre 2016, le Président Kagame a assisté à la cérémonie annuelle d’attribution de noms aux nouveaux-nés parmi les gorilles de la Réserve de biosphère des volcans, un événement connu sous le nom de Kwita Izina. « Aujourd’hui, il ne s’agit pas uniquement de Kwita Izina », a-t-il dit aux participants, « c’est aussi l’occasion de se remémorer que le développement doit être fondé sur la protection de notre environnement. Il ne peut y avoir de marchandage entre croissance économique et protection de l’environnement, puisque les deux vont de pair ».

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Quel pourrait être l’impact du Brexit sur la science au Royaume-Uni et dans l’Union européenne ?

Le 23 juin 2016, les Britanniques ont voté en faveur du départ de l’Union européenne (UE), lors d’un référendum populaire. Le Rapport de l’UNESCO sur la science : vers 2030 avait analysé les conséquences potentielles d’une telle hypothèse et avait conclu qu’un Brexit aurait de très vastes répercussions sur la science au Royaume-Uni et en Europe.

Le Royaume-Uni est un pôle d’attraction pour les étudiants des universités et les chercheurs. En 2013, la valeur des exportations de services éducatifs a été estimée à 17 milliards de livres, et le Royaume-Uni a accueilli plus de boursiers du Conseil européen de la recherche, ainsi que plus de chercheurs étrangers travaillant sur des projets financés par cet organisme que ses partenaires de l’Union européenne. En dépit d’une faible intensité de recherche persistante, au regard des normes européennes – 1,63 % du PIB en 2013, par rapport à une moyenne européenne de 2,02 % –, le Royaume-Uni jouit d’une réputation d’excellence scientifique : le pays produit 15 % des articles les plus cités au monde, alors qu’il représente à peine 4 % des effectifs mondiaux de recherche.

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L’influence grandissante des milliardaires sur les priorités de recherche aux États-Unis

Photo ©: Jim West/Science Photo Library. Une infirmière se sert d’un appareil de luminothérapie pour traiter les effets secondaires de la chimiothérapie et de la radiothérapie chez un patient atteint de cancer, lors d’un essai organisé en 2011 à l’hôpital Birmingham par l’Université d’Alabama. Cette thérapie a été développée à partir d’expériences conduites dans la Station spatiale internationale.

Quel est le point commun entre le cosmologiste britannique Stephen Hawking, le philanthrope russe Yuri Milner et le fondateur de Facebook Marc Zuckerberg ? La réponse : tous trois sont membres du conseil d’administration de Breakthrough Starshot (Percée vers les étoiles), un projet ambitieux annoncé en avril dernier (1) qui projette de propulser une flotte de robots de la taille d’un téléphone portable vers le système stellaire le plus proche, Alpha Centauri, d’ici à une vingtaine d’années. Le projet est geré par Pete Worden, ancien directeur du Centre de recherche Ames de l’Administration nationale de l’aéronautique et de l’espace (NASA).

Milner estime que le voyage vers Alpha Centauri durerait une vingtaine d’années au bas mot et consommerait des milliards de dollars. Il fait partie d’une nouvelle generation de philanthropes qui exercent une influence majeure sur les priorités de recherche aux États-Unis, d’après le Rapport de l’UNESCO sur la science : vers 2030, publié en novembre dernier et qui sortira en français fin 2016. Qu’ils soient motivés par le profit ou par la philanthropie, les milliardaires s’impliquent de plus en plus dans la recherche développement (R&D).

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La République de Corée : championne de la croissance verte

Source : Rapport de l’UNESCO sur la science, vers 2030

Au cours de sa visite au Siège de l’UNESCO le 1er décembre 2015, la Présidente Park Geun-hye a annoncé que la République de Corée allait travailler avec l’UNESCO pour mettre en œuvre le nouvel Agenda 2030 pour le développement durable. Le pays championne la croissance verte depuis des années. Dans le cadre de sa politique de croissance verte, à faible taux d’émission de carbone (adoptée en 2008), le gouvernement a doublé son investissement en technologies vertes entre 2008 et 2012, selon le Rapport de l’UNESCO sur la science : vers 2030, paru en novembre 2015. S’est ensuivi un institut de réflexion financé par le gouvernement, le Centre coréen de technologies vertes, créé en 2013. Le gouvernement a pour ambition de rendre la technologie de séquestration du carbone commercialisable d’ici à 2020.

Par ailleurs, il a identifié cinq domaines stratégiques pour le développement de technologies de pointe entre 2013 et 2017 (voir figure, en anglais). Pour leur part, les 30 plus grandes entreprises privées ont investi KRW 22.4 mille milliards (US$26.2 billion) entre 2011 et 2013 dans les technologies vertes. Sur le plan international, le pays accueille le Fonds vert pour le climat depuis 2012 à Incheon; ce fonds a été créé par la conférence des Nations unies sur le climat qui s’est tenue à Copenhague à 2009. La République de Corée a également créé l’Institut mondial en faveur de la croissance verte à Incheon, en 2010; cet institut travaille avec des partenaires publics et privés dans des pays en développement et émergents afin de mettre la croissance verte au coeur de la planification économique.

Appel à contributions : Révision de la Recommandation de l’UNESCO concernant la condition des chercheurs scientifiques

© Flickr / Alain Bachellier

L’UNESCO lance un appel à contributions concernant la révision de la Recommandation de l’UNESCO concernant la condition des chercheurs scientifiques. La Recommandation est mondialement reconnue par les 195 États membres de l'UNESCO depuis son adoption en 1974. Elle a été créé afin d'aider les États membres à formuler et exécuter des cadres politiques appropriés pour les productions scientifiques et technologiques, visant, entre autres, à soutenir les chercheurs et à encourager les nouveaux arrivants. Son éventuelle révision permettra de mieux refléter les changements et défis contemporains.

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Le Forum mondial de la science se penchera sur le rôle moteur de la science

© Ascom ABC, 2013 - Rio de Janeiro Opening Ceremony

Cette année, le thème du Forum mondial de la science est : Le rôle moteur de la science. Un large éventail de scientifiques et de représentants de gouvernements, de l’industrie et de la société civile se réuniront à Budapest, en Hongrie, du 4 au 7 novembre 2015, afin d’analyser et de mettre en avant comment la science améliore la qualité de vie en favorisant le développement et l’innovation.

Les dates et les thèmes du septième Forum mondial de la science ont été arrêtés par le Comité de pilotage du forum, qui s’est réuni au siège de l'UNESCO à Paris le 4 novembre 2014.

Le Forum mondial de la science se tient tous les deux ans. Cette année, il est organisé par l’UNESCO, l’Académie des sciences de la Hongrie, le Conseil international pour la science (ICSU), l’Association américaine pour le progrès de la science (AAAS), l’Académie mondiale des sciences (TWAS) et le Conseil consultatif des académies des sciences européennes (EASAC). L’édition précédente s’est tenue à Rio de Janeiro en novembre 2013.

La République du Congo et l’UNESCO unissent leurs forces pour renforcer la recherche et l’innovation

© UNESCO. L'accord a été signé par la Directrice générale de l'UNESCO, Irina Bokova, et le ministre de la recherche scientifique et de l'innovation technologique de la République du Congo, Bruno Jean Richard Itoua.

Le 17 décembre, la Directrice générale, Irina Bokova et le ministre de la recherche scientifique et de l’innovation technologique de la République du Congo, Bruno Jean Richard Itoua ont signé un accord financé par le Congo à hauteur de 400 000 dollars, qui couvrira une période de trois ans, pour renforcer les capacités dans le domaine scientifique, technologique et de l’innovation (STI) du Congo.

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Le 2eme Forum ministériel sur les STI en Afrique s’est achevé par la Déclaration de Rabat

Signature des ministres de la Déclaration de Rabat, © UNESCO/Sarah Colautti

Le deuxième Forum ministériel sur la science, la technologie et l’innovation en Afrique s’est achevé le 17 octobre par la signature de la Déclaration de Rabat. Signée par plus de 20 ministres en charge des sciences et technologie et/ou leurs représentants, la Déclaration de Rabat renforce l’engagement politique pour promouvoir et développer les STI en Afrique. Cette nouvelle Déclaration, faisant suite à la Déclaration de Nairobi, signée en 2012, place les STI au cœur des dynamiques du développement en Afrique et des plans d’action nationaux et régionaux.

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La Directrice générale de l’UNESCO évoque le Prix L'ORÉAL-UNESCO pour les femmes et la science

© L'Oréal Foundation

En avril 2014, Irina Bokova, la Directrice générale de l’UNESCO, a retracé l'histoire du programme L'Oréal-UNESCO pour les femmes et la science, dans une interview qu’elle a donnée à la chaîne de télévision Ubrain TV. Au cours des 16 dernières années, le programme a reconnu plus de 2.000 femmes chercheurs dans le monde: 1920 boursières et 82 lauréates, dont deux ont remporté par la suite le prix Nobel. Dans la soirée du 19 mars 2014, les cinq lauréates et 15 boursières internationales de cette année ont été honorées lors d'une cérémonie qui s'est tenue à l'Université de la Sorbonne à Paris.

Le Burundi avance à grands pas dans la réforme de sa politique STI

© Belle Image Pro., Left to right : Dr Janvière Ndirahisha, Directrice Générale de l’Ecole Normale Supérieure, qui a accueilli le forum; Dr Tatien Masharabu, Directeur Général de la Science, la Technologie et la Recherche; et Madame Joséphine Ntahobari, Représentante ai de la Maison de l’UNESCO pour la Culture de la Paix au Bureau de Bujumbura

Depuis 2008, l’UNESCO accompagne le Burundi dans la réforme de sa politique de la science, la technologie et l’innovation (STI). Cette collaboration culminera, en mars ou avril 2014 prochain, lors d’un atelier national, de validation de trois documents clé pour la relance de la recherche au Burundi, à savoir : le Plan stratégique pour la science, la technologie et la recherche pour le développement durable, le Plan d’actions de mise en œuvre de la Politique Nationale de la Recherche Scientifique et de l’Innovation Technologique et le projet de loi sur la STI. Ces documents encadreront la mise en ouvre de la Politique nationale de la recherche scientifique et de l’ innovation technologique. .

 

C’est en 2008 que le Gouvernement du Burundi a demandé à l’UNESCO de contribuer à la relance de la recherche au Burundi. Depuis, l’UNESCO collabore avec le Burundi dans le cadre du projet de Renforcement des capacités en politiques STI en Afrique (2008−2014), financé par le Gouvernement espagnol. (Continuer)

Universités : un rôle clé au service des besoins industriels et socio-économiques de l’Afrique

© ANSTI, La conférence est organisée par l'Université du Botswana.

Selon la Banque mondiale, les économies d’Afrique subsaharienne progresseront de 6% en moyenne en 2013. Et pourtant, le changement climatique et une croissance démographique rapide menacent la capacité de résilience de l’économie africaine. Si on n’y prend garde, ces tendances pourraient menacer les services de santé, la sécurité alimentaire, l’accès à l’énergie, la durabilité environnementale, les emplois de la jeunesse et le développement rationnel des centres urbains.

Plus que jamais, les universités joueront un rôle clé dans la création du savoir en vue du développement durable. Hébergé par le Bureau de l’UNESCO à Nairobi, le Réseau africain des institutions scientifiques et technologiques (ANSTI) organise, du 5 au 7 novembre 2013, une conférence sur ce même thème, à l’Université du Botswana (Continuer en anglais)

Appel à candidatures pour le Prix UNESCO Kalinga de vulgarisation scientifique

Albert Einstein, © UNESCO

Financé conjointement par la Fondation Kalinga, le gouvernement de l’État d’Orissa (Inde) et le gouvernement indien, ce Prix est une distinction internationale qui récompense la brillante carrière d’une personnalité ayant contribué à la vulgarisation de la science et de la technologie, au cours de laquelle il/elle aura œuvré, dans le domaine de l’écriture, de la direction de publications, de l’enseignement, de la production d’émissions radiophoniques ou télévisées, ou de films, à mettre la science et la recherche à la portée du grand public.

Les candidatures sont proposées à la Directrice générale par les gouvernements des États membres, en consultation avec leurs Commissions nationales, et par des Organisations non gouvernementales entretenant un partenariat officiel avec l'UNESCO. Une auto-désignation ne peut être envisagée. Chaque État membre et les Organisations non gouvernementales peuvent désigner un(e) candidat(e). Les candidatures devront parvenir à l’UNESCO le 15 juin 2013 au plus tard. (Continuer)

« Si les femmes étaient plus nombreuses à posséder un téléphone mobile, le développement serait plus large »

© Barbara Birungi, fondateur de Women in Technology en Ouganda (WITU)

En 2010, Barbara Birungi a fondé Women in Technology Uganda. Cette ONG s’efforce d’accroître la présence des femmes dans le domaine des technologies en mettant à leur disposition des réseaux, des formations, des programmes de tutorat ainsi que des partenariats. Madame Birungi est par ailleurs la directrice exécutive de Hive Colab, une pépinière d’entreprises basée à Kampala, dont la création remonte également à 2010. Cette dernière collabore avec des start-ups d’Afrique de l’Est travaillant dans le domaine des technologies. Le 26 février 2013, Madame Birungi comptait parmi plusieurs intervenants invités par l’UNESCO pour décrire comment l’e-science était exploitée dans leur pays pour renforcer les liens entre les sciences, les politiques et la société. (Continuer)

15ème édition du Prix L’Oréal-UNESCO pour les Femmes et la Science

Le programme L’Oréal-UNESCO pour les femmes et la science fête son 15ème anniversaire à Paris (France), lors d’un programme de trois jours qui débute le 26 mars. Le programme consiste en une rétrospective photographique sur l’avenue des Champs Elysées, puis un forum scientifique à l’Observatoire de Paris qui sera clôturé par un dîner-débat. Le programme se terminera par une cérémonie de remise de prix, qui se tiendra à l’Université de la Sorbonne.

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L’e-science comme moyen de renforcer les liens entre sciences et société

Du 25 au 27 février 2013, le Siège de l’UNESCO à Paris (France) accueille la réunion d’évaluation décennale du Sommet mondial sur la société de l’information. Une séance organisée par l’UNESCO le mardi 26 février seraient susceptibles d’intéresser décideurs, scientifiques et observateurs de la science :

L’e-science comme moyen de renforcer les liens entre sciences et politiques (Salle II)
Cette séance se compose de deux parties : un groupe de travail technique (9h30 à 11h00) et une table ronde de haut niveau (11h05 à 12h30).

L’Afrique se tourne vers l’innovation

le « southern african large Telescope » (SALT) a été inauguré en 2005. il est le plus grand télescope terrestre de l’hémisphère sud, © Wikipedia Commons

Les pays africains commencent à se rendre à l’évidence que, sans des investissements considérables dans les domaines des sciences et technologies, le continent restera en marge de l’économie mondiale du savoir. Selon le Rapport de l’UNESCO sur la science 2010, certains pays prennent d’ores et déjà des mesures pour instaurer un système national d’innovation qui s’inspire du modèle de l’Organisation de coopération et de développement économique (OCDE). Le niveau des investissements en S&T reste néanmoins faible dans la plupart des pays.

Lire le chapitre sur l’Afrique (FR, EN), qui vient d’être traduit en français et reproduit sous forme de livret par le Réseau d’études des politiques africaines de technologie (ATPS), en collaboration avec l’UNESCO, en vue de sa distribution à travers le continent africain.

Rapport de l’UNESCO sur la science 2010

Premier forum africain sur les STI pour l’emploi des jeunes, le développement du capital humain et la croissance inclusive

La politique des sciences, technologies et innovations (STI) est un élément clé de la croissance et du développement durable de tout pays. Les investissements dans les STI et leur intégration dans l'éducation, les politiques économiques et industrielles sont à même de créer des emplois et accroître la productivité et la compétitivité des pays africains sur le marché mondial.

La mission du Forum aura lieu du 1er au 3 avril à Nairobi est de faciliter le partage d'expériences et d'analyses des meilleures pratiques dans le renforcement des mécanismes de STI, l'élaboration des mesures politiques pour encourager l'innovation, l'entrepreneuriat et l'emploi des jeunes, tout en exploitant le rôle de l'innovation dans le secteur informel et en augmentant la participation des femmes et des jeunes dans le domaine des STI. (Continuer)

Cinq lauréates jettent un regard neuf sur des problématiques anciennes

Lors d’une cérémonie qui se tiendra au siège de l’UNESCO à Paris le 29 mars, cinq lauréates recevront le prix l’Oréal−UNESCO Pour les femmes et la science, assorti d’une récompense de 100 000 dollars. Elles seront rejointes par les 15 boursières internationales de cette année et la boursière spéciale en sciences de la vie. A l’exception de l’une d’entre d’elles dont les travaux portent sur « la résurrection des plantes », les lauréates se sont illustrées par leurs travaux dans le domaine de la médecine. Selon Günter Blobel, président du jury et lauréat du prix Nobel de médecine (1999), « chacune est parvenue à aborder des problématiques anciennes sous un angle différent ». (Continuer)

«En Israël, la qualité de la recherche fondamentale et de l’innovation alimente des industries à fort coefficient scientifique»

Professeur Ruth Arnon, Présidente de l’Académie israélienne des sciences et des humanités

L’économie d’Israël est sortie relativement indemne de la récession mondiale. La dépense intérieure brute en recherche et développement (DIRD) n’a perdu qu’à peine 0,4 point du PIB entre 2008 et 2010 pour se situer à 4,4 %, ce qui a maintenu l’avance mondiale du pays quant au niveau de l’engagement en R&D. Extrêmement exposé aux turbulences financières a été le secteur des affaires (qui effectue 80 % de toute la R&D) en raison de son degré de dépendance par rapport au marché mondial pour ses exportations high-tech et son capital-risque. Un événement qui devrait avoir de grandes répercussions sur l’économie du pays est l’entrée d’Israël en 2010 dans l’Organisation de coopération et de développement économiques. (Continuer)

Développer l’entrepreneuriat dans les universités arabes

La Pr Mona Bakr fut nommée, en 2011, scientifique TWAS de l'Année pour ses recherches en nanosciences, © unesco

En développant un partenariat entre les universités et l'industrie, le Réseau de l’UNESCO pour l'expansion des technologies convergentes dans la région arabe (NECTAR) prévoit de réorienter les universités vers la résolution de problèmes concrètes et de supprimer les barrières existant entre les disciplines qui entravent actuellement l'innovation dans le monde arabe. À peine sept mois après que le lancement du réseau, trois centres d'innovation au sein des universités arabes ont déjà ouvert leurs portes et un diplôme d'études supérieures en nanosciences développé par NECTAR devra être proposé aux étudiants dès la rentrée universitaire. (Continuer)

Le document de planification de l’UNESCO pour la Tanzanie à l'horizon 2015

© Jasmina Sopova/UNESCO
Street in Stone Town on the island of Zanzibar in the United Republic of Tanzania

Depuis 2008, l'UNESCO pilote la réforme du système scientifique de la République Unie de Tanzanie au sein du programme « Un seul ONU » des Nations Unies, aujourd'hui transformé en Plan-cadre des Nations Unies pour l’aide au développement 2011-2015. Cette année, l'UNESCO a publié un document de planification pour le pays couvrant la période 2011-2015, ainsi que diverses évaluations sur des sujets tels que les liens entre recherche et politiques scientifiques des ministères, biotechnologie et bioentreprenariat en Tanzanie, le rôle des femmes scientifiques dans l'industrie, la situation dans l'enseignement supérieur et les besoins en matière d’éducation scientifique (Plus).

Le Forum mondial sur la science

l'Académie hongroise des sciences, © Zoltán Bese

Le prestigieux Forum mondial sur la science s'est tenu du 17 au 19 Novembre à Budapest (Hongrie). Organisé tous les deux ans, le Forum explorera, cette année, le paysage changeant de la science : défis et opportunités. (Continuer)

Déclaration adoptée au Forum, le 19 novembre 2011 (en anglais).

Journée mondiale de la science au service de la paix et du développement

World Science Day for Peace and Development 2011

La Journée mondiale de la science au service de la paix et du développement est célébrée le 10 novembre de chaque année. L'UNESCO est heureuse d'annoncer que le thème de cette année est « Vers des sociétés vertes : équité, inclusion et participation ». (Continuer)

Programme des activités au siège de l'UNESCO, à Paris

 

Lire le message de la Directrice générale

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Stimuler l’innovation dans les entreprises brésiliennes

Interview of Hernan Chaimovich on the UNESCO Science Report 2010

Le Brésil a connu un essor économique important au cours des années qui ont précédé la récession mondiale en 2008. Une économie aussi saine devrait en principe favoriser l’investissement des entreprises. Mais le secteur des affaires abandonne au secteur public la majorité des efforts de financement de la recherche (55 %) et la plupart des chercheurs sont des universitaires (63 %).

L’un des principaux objectifs du Plan d’action en science, technologie et innovation pour le développement du Brésil (2007-2010) est la création d’un environnement plus favorable à l’innovation dans les entreprises.

Pour en savoir plus, lire le chapitre sur le Brésil en anglais ou en portuguais dans le Rapport de l’UNESCO sur la science 2010.

Regarder (en anglais) un entretien avec Herman Chaimovich, l’un des auteur sdu chapitre sur le Brésil

Sur la Rapport de l ‘UNESCO sur la Science 2010

Lire le rapport en entier (en anglais)

Lire le Résumé du rapport en allemand, anglais, arabe, chinois, français, portugais, russe ou espagnol

Répondre à un questionnaire sur l’impact du Rapport de l’UNESCO sur la science 2010

Il y a tout juste un an, le Rapport de l’UNESCO sur la science 2010 fut publié. Tous les cinq ans, cette collection présente un état des lieux de la science dans le monde. Quel fut l’impact de ce rapport dans les Etats membres de l’UNESCO ? Nous invitons les gouvernements à partager leurs impressions en répondant au sondage ci-après comportant 10 questions. (Continuer)

En Russie, des mesures anti-crise destinées à favoriser l’innovation

Observatoire de Radioastronomie de Puschino en Russie

Aujourd'hui, la Fédération de Russie reste dépendante des matières premières, une situation qui va de pair avec des obstacles récurrents à l'entrepreneuriat et un véritable fossé technologique face aux principaux pays industrialisés. Pris dans la récession économique mondiale, le pays a adopté des mesures anti-crise conçues, à l'évidence, pour réduire ce frein à l'innovation et favoriser ainsi compétitivité et croissance économique. Plus de détails dans le Rapport 2010 de l’UNESCO sur la science.

Lire le chapitre sur la Fédération de Russie dans le Rapport de l'UNESCO sur la science 2010 (en anglais)

Pour en savoir plus sur le Rapport de l'UNESCO sur la science 2010 (en anglais)

Lire le rapport entier (en anglais)

Résumé du rapport : en allemand, anglais, arabe, chinois, espagnol, français, portugais, russe

La Chine ambitionne de développer une économie basée sur l'innovation d'ici à 2020

Shanghai Synchrotron Radiation Facility, © Shanghai Institute of Applied Physics

De nos jours, les industries à haute technologie restent bien moins importantes en Chine que dans les pays développés, même si l'investissement en recherche et développement s'est largement accru. La Chine projette de réduire cet écart de manière déterminée d'ici à 2020, par le biais d'un ambitieux plan qui place le renforcement des capacités au premier plan, dans un ajustement radical de sa politique.

Lire le chapitre sur la Chine dans le Rapport de l'UNESCO sur la science 2010 (en anglais)

Rapport de l'UNESCO sur la science 2010 (en anglais)

Résumé du Rapport de l'UNESCO sur la science 2010 (en allemand, anglais, arabe, chinois, français, portugais, russe)

« J’étais persuadé que des bouleversements étaient inéluctables »

Dr Moneef Zou-bi

Si les observateurs ont été pris de court par le moment du déclenchement et la rapidité du changement de régime en Tunisie et en Égypte, Moneef Zou’bi estime, quant à lui, que les circonstances étaient mûres pour des bouleversements. Co-auteur du chapitre dans le Rapport de l’UNESCO sur la science 2010 du chapitre sur les Etats arabes, il décrypte les implications du mouvement pro-démocratique pour la science dans le monde arabe, dans le dernier numéro du journal de l’UNESCO, Planète Science.

Lire l’entretien (page 15)

Chapitre sur les Etats arabes dans le Rapport de l’UNESCO sur la science 2010 (en anglais)

Rapport de l’UNESCO sur la science 2010 (en anglais)

Résumé du Rapport de l’UNESCO sur la science 2010 (en allemand, arabechinois, français, portugais, russe)

Science sans frontières

Image créée par ordinateur de la Station spatiale internationale en basse orbite autour de la Terre

L’une des révélations du Rapport de l’UNESCO sur la science 2010 est la tendance croissante à l’internationalisation de la science. Cela se manifeste dans les statistiques de copublication d’articles, mais aussi par la multiplication des programmes et des centres de recherches reliant deux ou plusieurs pays entre eux.

Lire Science sans frontières dans le dernier numéro de Planète Science

‘Le moment est venu pour la science de voir grand de nouveau en Inde’

©UNESCO/Pankaj Arora
Un garçon fait écouter la sonnerie d’un téléphone à sa mère

Alors que la Décennie de l’innovation débute en Inde, le premier ministre, le Dr Manmohan Singh, observa dans son allocution lors du 98ème Congrés de la science indien, à Chennai le 3 janvier, que « Le moment est venu pour la science de voir grand de nouveau en Inde, d’être créatrice et en avant sur son temps ». Il poursuivit que « si nous ne renforçons pas les fondations sur lesquelles notre système éducatif est bâti, nous n’aurons aucun espoir de relever le sommet de la pyramide d’excellence. Il nous faut également fonder un « eco-système de l’innovation » afin de faire en sorte que l’innovation devienne un mode de vie pour nos institutions créatrices de savoir. » Il expliqua que, rien que les cinq dernières années, le gouvernement avait établi huit nouveaux Instituts indiens de technologie et cinq Instituts d’éducation scientifique et de recherche capables de fournir une éducation de qualité et une recherche de pointe.

Comme le révèle le Rapport de l’UNESCO sur la science 2010, les investissements privés en recherche-développement (R&D) ont connu une hausse au cours des dernières années, la plupart des nouvelles entreprises relevant de secteurs à forte concentration de connaissances. Un nombre croissant d’entreprises étrangères implantent également des centres de R&D sur le sol indien. Toutefois, le principal défi que doit relever le pays « réside dans l’amélioration de la qualité et de la quantité de son personnel de S&T ». La décision du gouvernement de créer 30 universités dans tout le pays, dont 14 de classe mondiale consacrées à l’innovation, augure bien de l’avenir.

Journée mondiale de la science au service de la paix et du développent 2010

World Science Day 2010

©UNESCO

La journée mondiale de la science au service de la paix et du développent 2010 est célébrée sous le thème “la science pour le rapprochement des peoples et des cultures”. Elle met en valeur le rôle de la science pour la connaissance mutuel et la compréhension entre les peoples. C’est pourquoi le poster de la Journée 2010 montre la contribution des différentes civilisations à la science (plus particulièrement babylonienne, chinoise, égyptienne, grecque, romaine, indienne, civilisations maya/aztèque).

 

 

La contribution de la science à la compréhension entre les peoples est illustrée par un group de personnes unies dans un esprit de solidarité selon le mandat de l’UNESCO. Continuer

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