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Construire la paix dans l’esprit
des hommes et des femmes

Aquifères transfrontaliers: célébration des succès dans la coopération (projet GGRETA du PHI de l’UNESCO)

Quand, heure locale: 
Jeudi, 28 Mars 2019 - 9:30am - Vendredi, 29 Mars 2019 - 3:30pm
Où: 
France, Paris
Type d’événement: 
Catégorie 7-Séminaire et atelier
Contact: 
m.rubio@unesco.org

La réunion finale de la deuxième phase du projet « Gouvernance des eaux souterraines dans les aquifères transfrontaliers (GGRETA) » se tiendra les 28 et 29 mars 2019 au siège de l'UNESCO à Paris, France. La réunion présentera les principales réalisations du projet telles que la mise en place d'un mécanisme conjoint de gouvernance pour l'aquifère de Stampriet (partagé par le Botswana, la Namibie et l'Afrique du Sud) en Afrique australe, la signature d'une lettre d'intention établissant la base pour l'institutionnalisation de la coopération sur l'aquifère Ocotepeque-Citala (El Salvador et Honduras) en Amérique centrale, et l'adoption d'un plan de travail pour le développement d'un modèle numérique de l'aquifère de Pretashkent (Kazakhstan, Ouzbékistan) en Asie centrale.

La Direction du développement et de la coopération (DDC) de la Suisse a confié au Programme hydrologique international (PHI) de l'UNESCO l'exécution de la deuxième phase du projet "Gouvernance des ressources en eaux souterraines dans les aquifères transfrontières (GGRETA)" (2016-2019), qui porte sur trois aquifères transfrontières: l'aquifère Stampriet ( Botswana, Namibie et Afrique du Sud) en Afrique australe, aquifère Ocotepeque-Citala (El Salvador et Honduras) en Amérique centrale et aquifère transfrontalier de Pretashkent (Kazakhstan et Ouzbékistan) en Asie centrale.

Les principaux objectifs de la phase 2 du projet GGRETA étaient de renforcer la coopération en matière de sécurité de l’eau, de prévenir les conflits transfrontaliers et sur les usages de l’eau, et d’améliorer la durabilité de l’environnement dans son ensemble. Le projet visait à répondre au besoin pressant d'accroître les connaissances sur les caractéristiques physiques et socio-économiques des trois aquifères transfrontières par: 1) le renforcement de la capacité des États Membres à gérer les ressources en eaux souterraines au moyen d'activités adaptées de renforcement des capacités; 2) la promotion de la coopération entre les pays partageant les aquifères; et 3) l’élaboration de stratégies à long terme pour la surveillance et la gouvernance des ressources en eaux souterraines.

À la suite des efforts conjoints de l'UNESCO et des États membres, le projet a conduit à la création d'un mécanisme de coopération pour l’Aquifère Stampriet en août 2017, la signature d'une lettre d'intention par les parties prenantes locales, régionales et nationales établissant la base de la future coopération sur l'aquifère Ocotepeque-Citala (El Salvador et Honduras) en Amérique centrale, et l’adoption d'un plan de travail pour le développement d'un modèle numérique de l'aquifère de Pretashkent (Kazakhstan, Ouzbékistan) en Asie centrale. En outre, plus de 300 experts ont été formés sur plusieurs éléments clés de la gouvernance des eaux souterraines (par exemple, la modélisation des eaux souterraines, le droit international de l'eau, l'eau et l'égalité des sexes) tout au long du projet.

La réunion finale du projet sera l’occasion de partager les expériences des trois aquifères transfrontaliers et de discuter d’un plan d’activités et de la voie à suivre pour la troisième phase du projet GGRETA.