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Organisé du 3 au 4 juin au siège de l’UNESCO, le Forum UNESCO-Afrique-Chine vise à renforcer la coopération entre l’Afrique et la Chine concernant la préservation du patrimoine mondial. Il sera aussi l’occasion d’aborder les défis liés au développement durable dans les sites inscrits sur la Liste en Afrique et en Chine et d’encourager le partage d’expériences.

Ouvert par la Directrice générale de l’UNESCO, Audrey Azoulay, en présence du Vice-Président du Burundi, Joseph Butore, de la Présidente de la Conférence générale de l'UNESCO, Zohour Alaoui, du Président du Conseil exécutif de l’UNESCO, Byong-Hyun Lee, de la Commissaire aux affaires sociales de l’Union africaine, Amira Elfadil, du Vice-président de la Banque africaine de développement, Khaled F. Sherif, et du Président de la Commission nationale chinoise pour l’UNESCO, Tian Xuejun, le Forum accueillera pendant deux jours plus de 150 participants : ministres, décideurs travaillant dans les secteurs de la culture, de l’environnement et du développement, universitaires, gestionnaires de sites du patrimoine mondial  et experts en patrimoine venus d’Afrique,  de Chine et d’Europe.

La première journée, pendant laquelle se tiendront des séances plénières, s’intéressera à la sauvegarde du patrimoine mondial, à la législation, la création d’emploi et la responsabilisation des jeunes dans les sites du patrimoine mondial. Elle sera suivie le lendemain par des sessions techniques consacrées notamment aux mécanismes de protection du patrimoine mondial et aux efforts communs pour la conservation du patrimoine en Afrique et en Chine.

Ces discussions ont pour objectif de promouvoir une meilleure représentativité des sites africains sur la Liste du patrimoine mondial, une meilleure gestion des biens inscrits sur la Liste du patrimoine mondial en péril, et des programmes d’échanges entre l’Afrique et la Chine. Il s’agit aussi de développer des projets pilotes et de recherche communs.

A ce jour, on recense 95 biens africains sur la Liste du patrimoine mondial, soient moins de 9% des biens inscrits. Les sites africains représentent un tiers des biens inscrits sur la Liste du patrimoine en péril. La Chine quant à elle compte 53 biens inscrits sur la Liste du patrimoine mondial.

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mardi 28 mai 2019
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