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La clause sur le « Traitement préférentiel pour les pays en développement » (article 16) est considérée comme la plus forte et la plus contraignante de la Convention de l’UNESCO sur la protection et la promotion de la diversité des expressions culturelles (2005). Les politiques et mesures de traitement préférentiel s’entendent comme celles qui favorisent la mobilité des artistes et des autres professionnels et praticiens de la culture des pays en développement, ou améliorent l’accès aux marchés pour les biens et les services culturels de ces pays.
La série des Rapports mondiaux a été conçue pour assurer le suivi de la mise en oeuvre de la Convention de 2005 et offre un ensemble de données et d’informations pour éclairer l'élaboration des politiques culturelles qui placent la créativité au cœur du développement. L’édition de 2018 examine comment la Convention de 2005 a inspiré des changements politiques aux niveaux mondial et propose un ensemble de recommandations politiques pour le futur.
Les industries culturelles et créatives génèrent à l’heure actuelle 2 250 milliards dollars USD de revenus annuels au niveau mondial et le montant de leurs exportations s’élève à plus de 250 milliards de dollars. Source de près de 30 millions d’emplois à l’échelle de la planète, ces secteurs emploient plus de personnes âgées de 15 à 29 ans que n’importe quel autre. Ils représentent jusqu’à 10% du PIB de certains pays.
Through the Korea Funds-In-Trust (K-Fit) for the Development of Creative Industries, many developing countries have been supported in their efforts to invest in new contemporary creative areas, such as film and visual arts. It has also brought a new impetus to networking and regional cooperation opportunities, marked by the organization, in June 2018, of a landmark meeting of professionals and public officials to discuss the future of cultural policy in the Asia‑Pacific region.
Cette publication contient les textes fondamentaux de la Convention 2005, incluant les Directives opérationnelles, le Règlement intérieur de la Conférence des Parties, le Règlement intérieur du Comité intergouvernemental ainsi que Règlement financier applicable au Compte spécial du Fonds international pour la diversité culturelle
Le Cadre de suivi de la Convention de 2005 est un outil dynamique qui éclaire l’élaboration des politiques sur la créativité au service du développement. Il définit un ensemble de résultats attendus, d’indicateurs et de moyens de vérification permettant d’évaluer au cours du temps les progrès et les défis rencontrés. En orientant la collecte de données et d’information, il fournit également des éléments tangibles pour la réalisation des Objectifs de développement durable des Nations Unies à l’horizon 2030.
La liberté artistique est la liberté d’imaginer, de créer et de distribuer des expressions culturelles diverses sans censure gouvernementale, interférence politique ou pressions exercées par des acteurs non étatiques. Elle comprend le droit de chaque citoyen d’accéder à ces œuvres et est essentielle au bien-être des sociétés.
Les organisations de la société civile (OSC) jouent un rôle central dans la mise en œuvre de la Convention de 2005. La Convention exige que les Parties impliquent la société civile dans sa ratification, sa mise en œuvre et son suivi.
L’économie créative est de plus en plus numérique. Les industries culturelles et créatives sont aujourd’hui un moteur essentiel de l’économie numérique : les ventes numériques mondiales représentent plus de 200 milliards d’USD.
L’égalité des genres est atteinte lorsque les femmes et les hommes jouissent des mêmes droits et opportunités dans tous les secteurs de la société, y compris dans les industries culturelles et créatives.