Mener un dialogue inclusif est l’une des conditions préalables si l’on souhaite parvenir à un consensus en ce qui concerne le rôle du curriculum dans le cadre des efforts en matière d’éducation et de développement dans le monde. Le BIE favorise les possibilités de débat intellectuel visant à mettre en avant le potentiel encore sous-estimé du curriculum afin de démocratiser l’apprentissage et de créer des possibilités d’apprentissage tout au long de la vie pour tous.
Les investissements importants en faveur du curriculum doivent générer des résultats positifs et durables. Cela signifie qu’au fil du temps, les pays doivent être capables de renforcer leurs capacités respectives en matière de développement du curriculum. Le BIE offre ainsi un soutien de base en partageant des connaissances, en transférant des compétences, en fournissant des conseils généraux et techniques et en proposant des formations de perfectionnement professionnel, entre autres stratégies.
Les parties prenantes de l’éducation se fondent sur les données de recherche croissantes sur l’enseignement et l’apprentissage. Toutefois, ces données croissantes sont, paradoxalement, difficiles à obtenir et souvent rédigées dans un langage scientifique qu’il n’est pas aisé de traduire en langage courant. Le BIE identifie, sélectionne et interprète les conclusions des recherches en vue d’élaborer des politiques et de mettre ces conclusions en pratique dans le curriculum et l’apprentissage.