Atelier d’urgence sur les candidatures pour l’Irak
26/28-12-2015Amman, Jordan (Iraq)
Atelier d’urgence sur les inventaires avec la participation des communautés en Irak
19/24-12-2015Amman, Jordan (Iraq)
Séances d’information Programme de renforcement des capacités
01/04-12-2015Windhoek (Namibie)
Atelier final à Sao Tomé-et-Principe: inventaires avec la participation des communautés pour une stratégie nationale de sauvegarde du patrimoine culturel immatériel
23/27-11-2015Sao Tomé (Sao Tomé-et-Principe)
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Après sept mois de travail sur le terrain dans les communautés de Boa Morte et San Antonio, la Direction nationale de la culture de Sao Tomé-et-Principe procède à l’évaluation des résultats de l’exercice d’inventaire qui a démarré cette année en avril. Du 23 au 27 novembre, près de 25 acteurs impliqués dans le recueil d’informations vont se rencontrer afin de dégager les enseignements et de constituer un plan d’action pour les efforts à fournir à l’avenir dans le domaine de la sauvegarde du patrimoine dans l’archipel. Afin d’assurer la continuité de l’atelier d’avril, les experts-facilitateurs de l’UNESCO donneront des conseils en dressant un bilan des résultats et en développant une stratégie nationale. Dans ce même esprit de continuité, un responsable culturel de Cabo Verde sera présent à Sao Tomé afin de partager l’expérience acquise lors du processus avec ses collègues à Cabo Verde qui développent leur propre inventaire avec la participation des communautés.
Formation à l’utilisation des mécanismes de la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel
16/20-11-2015Apia (Samoa)
Atelier de formation sur la mise en œuvre de la Convention de 2003 de l’UNESCO en Angola
09/13-11-2015Luanda (Angola)
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L’Institut national du patrimoine culturel d’Angola et l’UNESCO ont organisé un atelier sur la mise en œuvre de la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel à l’échelle nationale. Il aura lieu du 9 au 13 novembre 2015 à Luanda et concernera la portée et les objectifs de cet instrument juridique international ainsi que les obligations qu’il implique pour les États parties.
Cet atelier s’inscrit dans la stratégie globale de l’UNESCO visant à renforcer les capacités nationales des pays lusophones d’Afrique (PALOP) afin de sauvegarder leur héritage vivant. Il rassemblera une vingtaine de participants angolais, parmi lesquels se trouveront des acteurs locaux aussi bien que nationaux. Dans le but de renforcer la coopération régionale entre le pays PALOP, la formation sera entièrement facilitée par deux experts mozambicains qui ont suivi le même programme.
Cet atelier est rendu possible grâce à la généreuse contribution du gouvernement de Norvège au Fonds du patrimoine culturel immatériel.
Atelier de recyclage sur les inventaires du patrimoine culturel immatériel avec la participation des communautés
08/15-11-2015Luang Prabang (République démocratique populaire lao)
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Cet atelier ne faisait pas partie du plan de travail de la phase II du projet du Fonds en dépôt japonais. En 2013, au cours de la phase, un atelier sur les inventaires avec la participation des communautés avait déjà eu lieu en RDP Lao grâce au financement du Fonds en dépôt japonais. Toutefois, l’équipe du département du Patrimoine a exprimé le besoin d’organiser une formation de recyclage avant de commencer l’inventaire pilote sur le terrain destiné à ce projet. Des fonds extérieurs ont été alloués à cet atelier. Il s’est tenu dans la ville de Luang Prabang, située dans la province où l’inventaire pilote devait avoir lieu ; des membres des communautés et du Département provincial ainsi que 5 praticiens y ont pris part. Les participants ont eu l’occasion d’approfondir leurs connaissances des techniques d’inventaires avec la participation des communautés et de participer aux activités de terrain mentionnées ci – dessous. Ils étaient répartis en 4 équipes pour un stage pratique destiné à documenter le théâtre de marionnettes « epok » au village de Xieng Thong, le chant « khap » au village de Phone Phaeng ainsi que l’orfèvrerie et les textiles artisanaux du village du Pha Nom. Deux des équipes étaient dirigées par des praticiens qui avaient participé à l’atelier.
Symposium régional sur le développement d’études supérieures spécialisées dans le patrimoine culturel immatériel dans la région Asie-Pacifique
02/03-11-2015Bangkok (Thaïlande)
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Les efforts en matière de sauvegarde du patrimoine culturel immatériel (PCI) gagnent en importance dans l’ensemble de la région Asie-Pacifique conduisant à un besoin de plus de professionnels hautement qualifiés dans la région. Les universités ont un rôle important à jouer en ce sens. C’est pourquoi, l’UNESCO organise un symposium régional qui se tiendra du 2 au 3 novembre à Bangkok dans le but de promouvoir l’intégration du PCI dans l’enseignement supérieur au niveau du troisième cycle dans l’Asie-Pacifique. Cet évènement bénéficie de l’aide financière provenant du Fonds pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel.
Lors de ces dix dernières années, il y a eu augmentation du nombre de programmes d’éducation de troisième cycle sur le patrimoine dans son ensemble, mais peu d’entre eux sont centrés spécifiquement sur le patrimoine culturel immatériel. Les professionnels du secteur du patrimoine culturel ont une formation axée sur la gestion du patrimoine matériel (conservation des monuments et sites archéologiques par exemple).
Le symposium organisé par l’UNESCO vise à encourager les universités de l’Asie-Pacifique à développer des programmes de troisième cycle dans le domaine du patrimoine culturel immatériel.
22 cadres, professeurs et chargés d’enseignement de 20 universités participeront à ce symposium de deux jours. Ils prendront part aux discussions et partageront leurs connaissances et ressources sur le sujet. Les établissements sont situés dans 13 pays de la région : l’Australie, la Chine, le Kazakhstan, l’Inde, l’Indonésie, l’Iran, le Japon, la Nouvelle-Zélande, le Pakistan, les Philippines, la République de Corée, le Sri Lanka et la Thaïlande.
Les discussions comprendront l’identification des principes clés de la sauvegarde du PCI pour les études de troisième cycle, l’exploration de disciplines et de structures pour des programmes sur le PCI et l’intégration de la sauvegarde du PCI dans le développement d’études du PCI pour le troisième cycle.
Le symposium contribuera aussi à approfondir la base de connaissances des participants en matière de méthodologie et de ressources pertinentes pour le PCI. Il devrait aussi permettre l’établissement d’un réseau entre les universités de même qu’avec l’UNESCO en vue de futures collaborations sur le thème des programmes d’éducation sur le PCI pour le troisième cycle.
Documents
Atelier de formation sur la préparation des dossiers de de candidatures pour inscription sur les Listes de la Convention et les demandes d’assistances internationales
02/06-11-2015Hammamet, Nabeul (Tunisie)
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L’atelier sur l’élaboration des dossiers de candidature en vue de l’inscription sur les listes de la Convention de 2003 (la Liste représentative et la liste de sauvegarde urgente) et la préparation des demandes d’assistances internationales se tient dans le cadre de la mise en œuvre des activités du projet « Sauvegarde du patrimoine culturel immatériel à travers le renforcement des capacités nationales au Maghreb » suite à la tenue des ateliers sur la mise en œuvre de la Convention et sur les inventaires participatifs.
Cet atelier organisé dans la ville de Nabeul du 02 au 06 novembre 2015 a pour objectif de développer et renforcer les capacités des représentants de fonctionnaires de différents ministères, d’acteurs de la société civiles, de membres de communautés et autres spécialistes du patrimoine culturel immatériel en matière d’élaboration des requêtes d’inscription des éléments du PCI sur les Listes de la Convention et la préparation des demandes d’assistance internationale. La réalisation et le suivi de cet atelier permettra à la Tunisie de disposer de cadres ayant une pleine connaissance des mécanismes de la Convention ce qui contribuera à la mise en œuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO ratifiée par la Tunisie qui pourra ainsi élaborer des dossiers de qualité.
Atelier sur la mise en œuvre de la Convention à l’échelle nationale
25/29-10-2015Dubai (Émirats arabes unis)
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Le premier d’une série de trois ateliers de formation sur le renforcement des capacités se tiendra cette semaine, du 25 au 29 octobre 2015, au Centre du patrimoine Hamdan bin Mohammed aux Émirats arabes unis à Dubaï.
Le premier atelier de formation sur le renforcement des capacités aura pour objet principal les concepts clés de la Convention de 2003 et leur mise en œuvre par le biais de l’inventaire avec la participation des communautés, de mesures de sauvegarde et de stratégies de développement de politiques. Cet atelier sera aussi une bonne occasion de livrer aux participants des illustrations de bonnes pratiques en matière de sauvegarde du PCI et d’autres projets au sein du monde arabe.
Cet atelier, qui réunira 25 membres du personnel du Centre de même que de nombreux acteurs travaillant dans le domaine du patrimoine culturel. Mené par l’UNESCO et deux de ses experts facilitateurs, cet atelier est un exemple de formation demandée et financée par une institution ayant pour volonté de renforcer ses capacités afin d’intégrer au mieux les dispositions de la Convention à ses activités.
Atelier de formation sur l’élaboration d’inventaires avec la participation des communautés à Monaco
22-10-2015Monaco (Monaco)
Atelier de formation sur l’élaboration d’inventaires avec la participation des communautés en Norvège
19/23-10-2015Trondheim (Norvège)
Atelier de transmission de personnes âgées aux plus jeunes dans les communautés Kallawayas
17/22-10-2015Curva (Bolivie (État plurinational de))
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Une deuxième série d’ateliers sur la transmission des connaissances et des pratiques Kallawaya de guérisseurs expérimentés aux jeunes apprentis a eu lieu du 17 au 22 octobre 2015 à Curva, l’un des berceaux de guérisseurs Kallawaya, dans la province de Bautista Saavedra.
Les sujets abordés allaient des pratiques d’accouchement et les maladies des femmes et des enfants à la prévention et la guérison de maladies respiratoires, de maladies digestives et de maladies de personnes âgées. Plus de 30 participants Kallawaya ont pu améliorer leur connaissances sur les inventaires avec la participation des communautés et ont reçu une formation sur les techniques audiovisuelles de collecte de l’information.
A la suite des ateliers, les participants ont partagé les résultats du projet avec d’autres communautés de la province qui ont assisté à la session finale. Ce dernier atelier a souligné l’importance non seulement des connaissances et des pratiques Kallawaya mais du patrimoine culturel immatériel en général pour trouver des réponses aux défis rencontrés dans la construction de la paix et le développement durable.
Ces ateliers mettent fin aux activités menées dans le cadre du projet «La sauvegarde du patrimoine culturel immatériel des communautés Kallawaya» qui a été possible grâce aux efforts des autorités Kallawaya, du Ministère des cultures et du tourisme, de l’Université catholique bolivienne “San Pablo” et du l’UNESCO ainsi qu’au soutien généreux et continu du gouvernement du Japon.
Documents
Deuxième réunion du Bureau 10.COM
06-10-2015Siège de l’UNESCO (France)
Formation à l’utilisation des mécanismes de la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel
05/09-10-2015Oulan-Bator (Mongolie)
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La Mongolie était très enthousiasmée par l’idée d’entreprendre cet atelier qui comprenait des visites aux communautés locales pour étudier les éléments du PCI et s’entraîner à préparer des dossiers de candidature. Deux groupes ont rendu visite aux praticiens du camp et les ont interviewés tandis que trois autres groupes ont rendu visite aux praticiens du PCI dans leur communauté.
Les cinq groupes ont étudié :
1. L’art traditionnel de la sculpture de l’acier – technique de double sculpture de Suriya ;
2. La culture autour du cheval : technique traditionnelle pour préparer l’aïrag à Khokhuur et les coutumes liées ;
3. Les connaissances chamaniques traditionnelles et les pratiques liées à la nature et à l’univers ;
4. Technique traditionnelle de broderie ;
5. La culture autour du cheval : connaissances et techniques traditionnelles pour fabriquer les accessoires pour chevaux comme les brides, les licous, les entraves et les couteaux de chaleur.
Exercices d’inventaire sur le terrain pour le projet «Renforcement des capacités d’Aruba, de Bonaire, de Curaçao, de Saba, de Sint Eustatius, de Sint Maarten et du Suriname en vue de l’application de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel».
01-10-2015/31-12-2015Willemstad (Curaçao)
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Curaçao focused its field exercise on the elements of kachu, the harvest festival and playing the benta. Ten participants (5 females and5 males) were selected from different NGOs and were trained by a local anthropologist and the director of the focal institution for the implementation of the Convention (who also participated in all training workshops). The training utilized the UNESCO training materials for Field Inventory, which were translated into Papiamento). Participants were able to undertake secondary documentation on the elements as primary documentation was not possible due to the seasonal nature of kachu use and because no performances were planned during this period where the benta would have been played. Arrangements were made for primary documentation during the harvest season, so the team could document the use of kachu during harvest (seú) as well as during the elaborate harvest parade. Documentation consisted of interviews and demonstrations. Playing the benta was shown along with the interview. Instructions on how it was made were given during the beginning of the two‐day training by a benta maker and player. The kachu session also included more elaborate demonstrations of construction of this instrument.
Inventaires communautaires: Boubon, Agadez et pratique de l’Habbanaé
01-10-2015/31-12-2015Boubon, Agadez (Niger)
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Le Niger, conscient du rôle primordial que le PCI joue dans l’identité des différentes communautés, a exprimé à plusieurs reprises, et notamment lors de son mandat comme membre du Comité intergouvernemental de 2008 à 2012, sa nécessité de renforcer les capacités au niveau nationale pour la sauvegarde de son PCI grâce à la mise en œuvre efficace de la Convention et son souhait d’être accompagnés dans son appropriation des concepts et outils offerts par la Convention. Dans ce sens, le Niger a réalisé des efforts considérables ces dernières années. En effet, sur le plan national, en 1997, la Loi 97-022 relative à la « Préservation et à la mise en valeur du patrimoine culturel national » a été adoptée et les premières initiatives d’inventaire ont été menées à la fin des années 80. De plus, le Niger a ratifié la Convention 2003 le 27 avril 2007. Cependant, cette ratification n’avait pas encore donné lieu à un travail méthodologique et systématique d’inventaire, en ligne avec l’esprit de la Convention et avec la participation des communautés détentrices et des organisations non gouvernementales pertinentes Ce projet, qui s’insère dans la stratégie globale de l’UNESCO pour renforcer et consolider les capacités humaines et institutionnelles pour la sauvegarde du PCI et la mise en œuvre de la Convention 2003 sur le long terme, a reçu le soutien du Royaume d’Espagne qui par une généreuse contribution volontaire supplémentaire au Fonds du PCI a permis la réalisation de ce projet.
Soutenir le développement de politiques dans le domaine du patrimoine culturel immatériel en Afrique : Atelier pour les experts-facilitateurs de la région
28-09-2015/02-10-2015Constantine (Algérie)
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Grâce au généreux soutien du Centre national algérien de recherches préhistoriques, anthropologiques et historiques (CNRPAH) et de la Manifestation Constantine, capitale de la culture arabe 2015, l’UNESCO organise un atelier d’experts de l’UNESCO portant sur le soutien au développement de politiques dans le domaine du patrimoine culturel immatériel, qui se tiendra à Constantine en Algérie, du 28 septembre au 2 octobre 2015.
L’objectif principal de l’atelier est d’améliorer l’impact de l’UNESCO dans ses services de soutien aux politiques auprès des autorités nationales en Afrique pour la mise en œuvre effective de la Convention de 2003.
Les trois premiers jours de l’atelier sont dédiés au thème principal du développement des politiques (28 au 30 septembre) et les deux derniers jours (1er et 2 octobre) sont consacrés à la revue de la mise en œuvre du programme mondial de renforcement des capacités en Afrique à ce jour.
L’atelier vise plus spécifiquement à :
- Enrichir le contenu et les formats du programme de renforcement des capacités pour fournir des services de conseil en politique efficaces ;
- Proposer des méthodologies et des outils appropriés pour accompagner les experts dans leurs missions ;
- Faire le point sur les enseignements tirés de la mise en œuvre du programme de renforcement des capacités dans les pays africains.
L’atelier s’adresse en premier lieu aux facilitateurs certifiés de l’UNESCO de la région Afrique, qui ont une expérience substantielle en matière de formation et conseils dans le contexte du programme de renforcement des capacités pour la mise en œuvre effective de la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel. L’atelier accueille de plus quelques experts ayant déjà acquis une expertise spécialisée dans le conseil en politiques culturelles, qu’ils ont notamment développée dans le cadre de la Convention de 2005 pour la protection et la promotion de la diversité des expressions culturelles. Concernant le personnel UNESCO, des spécialistes de programme responsables pour la culture dans les bureaux hors siège de l’UNESCO en Afrique ainsi que de la Section du patrimoine culturel immatériel participent également. Le CNRPAH a désigné les experts algériens pouvant également assister à l’atelier en tant qu’observateur. Au total, l’atelier réunit quelques 45 participants.
Documents
Formation sur la mise en œuvre de la Convention de 2003 au niveau national aux Fidji
24/29-09-2015Suva (Fidji)
Atelier de formation préparant à l’élaboration d’inventaires avec la participation des communautés
23-09-2015/03-10-2015Ribeira Grande de Santiago (Cabo Verde)
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L’Institut du Patrimoine Culturel de Cabo Verde, en coopération avec le siège de l’UNESCO et le Bureau Régional de Dakar, organise un atelier de formation préparant à l’élaboration d’inventaires avec la participation des communautés à Cabo Verde. L’atelier, qui aura lieu du 23 septembre au 3 octobre 2015 à Ribeira Grande de Santiago, introduira les concepts, objectifs et méthodes d’inventaire, dans le cadre notamment d’un travail pratique de terrain au sein des communautés de Centro histórico, Salineiro et Calabaceira.
Dans le cadre de la stratégie globale de l’UNESCO visant à renforcer les capacités nationales pour la sauvegarde du patrimoine vivant dans les pays africains de langue portugaise (PALOP), l’atelier rassemblera 30 participants cabo-verdiens, y compris les parties prenantes locales et nationales. Dans le but de renforcer la coopération régionale parmi les pays PALOP, la formation sera co-facilitée par un expert brésilien et mozambicain, préalablement formés à ce même programme. En outre, des représentants des autorités culturelles de l’Angola et de Guinée-Bissau prendront aussi part à cet atelier.
Cet atelier est possible grâce à la généreuse contribution du gouvernement de la Norvège au Fonds du patrimoine culturel immatériel.
DOCUMENTS:
LIST_DOCUMENTS:00498-0
Formation à l’utilisation des mécanismes de la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel
14/18-09-2015Taunggyi (Myanmar)
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La ville de Taunggyi, capitale de l’État de Shan, au Myanmar a accueilli du 14 au 18 septembre 2015 un atelier sur la manière d’élaborer des dossiers de candidature pour les Listes du patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO. Il s’agissait du dernier volet du projet de renforcement des capacités généreusement soutenu par le gouvernement norvégien, grâce à une contribution au Fonds du patrimoine culturel immatériel. Le projet national de deux ans a été mis en œuvre en 2013 dans le but de renforcer les compétences des ressources humaines au Myanmar pour l’inventaire et la sauvegarde de son patrimoine.
Les 24 participants, dont des agents culturels, des universitaires et des praticiens du PCI, ont pu acquérir des compétences pratiques dans l’élaboration des dossiers de candidature, et apprendre à utiliser les Listes de la Convention de 2003 comme outil efficace pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel. Tout en combinant une formation théorique, sur la manière de concevoir des mesures de sauvegarde avec la participation des communautés, et des exercices pratiques d’évaluation de fausses candidatures, l’atelier a été l’occasion de clarifier les différents objectifs de chacun des mécanismes internationaux établis par la Convention, de manière à ce que les décideurs puissent les utiliser de la manière la plus appropriée et efficace possible.
L’atelier de formation de cinq jours qui était facilité par deux experts formés, membres du réseau d’experts de l’UNESCO, comprenait un exercice pratique sur le terrain avec les communautés locales de Inle Lake.
Mise en œuvre de la Convention de l’UNESCO pour la sauvegarde du PCI au niveau national en Albanie
14/18-09-2015Tirana (Albanie)
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The organization of the workshop was timely in the context of the efforts that are paid by cultural institutions in Albania in the last two years to enhance the national capacity for ICH safeguarding, as well as in light of the needs assessment report of 2014. The latter made specific recommendations on organizing workshops and training activities on ICH related activities with the widest possible participation of people with different backgrounds and coming from different towns and institutions in Albania. This has been the first workshop of its kind in the country and the expectations invested in it were great. The workshop was supposed to fill a void in focused presentations and discussions on the major themes related to the implementation of 2003 Convention on a national level, and to facilitate the undertaking of organized activities in this regard. Despite the high sensitivity and interest in cultural heritage issues in the country, so far no special workshop has been held on these topics in the country and this explains the enthusiasm that it produced among the colleagues working in the sphere of culture. The call for participation that colleagues from the Ministry of Culture at the Republic of Albania distributed attracted more that 40 participants and at some point there were several late applications which had to be declined in order to maintain at least some interactivity during the sessions.
Atelier de transmission de personnes âgées aux plus jeunes dans les communautés Kallawayas
13/18-09-2015Charazani (Bolivie (État plurinational de))
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Guérisseurs et apprentis Kallawaya se sont réunis à Charazani, la capitale de la province bolivienne de Bautista Saavedra, du 13 au 18 septembre pour participer à un atelier sur la façon dont les aînés peuvent transmettre leurs connaissances et leurs pratiques médicales aux jeunes générations pour leur bien-être futur. Les autorités des différentes organisations Kallawaya ont choisi environ 20 apprentis parmi des hommes et des femmes Kallawaya, qui étaient déjà déterminés à se consacrer à cette pratique, pour qu’elles en apprennent davantage. L’atelier a également offert l’occasion à un facilitateur formé par l’UNESCO d’introduire les concepts de base de la Convention de 2003 en tant que cadre approprié pour les communautés Kallawaya, et les communautés autochtones en général, pour sauvegarder leur patrimoine culturel immatériel. Des exercices pratiques d’inventaire ont été organisés en abordant la question fondamentale du consentement libre, préalable et éclairé des communautés concernées.
Cette activité fait partie d’une initiative plus large de sauvegarde du patrimoine culturel immatériel des communautés Kallawaya, menée par le Ministère des cultures et du tourisme, le Service de formation de radio et télévision pour le développement de l’Université catholique bolivienne « San Pablo » et l’UNESCO, grâce au généreux soutien du gouvernement du Japon.
Documents
Inventaire du patrimoine culturel immatériel en Equateur
02/07-09-2015Loja (Équateur)
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Du 2 au 7 Septembre 2015, le processus de l’inventaire s’est déplacé dans la ville de Loja, province de Loja, où les membres de Saraguro, Shuar et les communautés métisses ont été formés à l’élaboration d’inventaires avec la participation des communautés dans la commune de Malacatos, ainsi que des représentants des gouvernements locaux (CALVAS, Catamayo, Chaguarpamba, Gonzanamá, Loja, Olmedo, paltas , Puyango, Quilanga et Zapotillo) et des Ministères de la culture. Cette étape a été suivie par un exercice d’inventaire où les participants enregistreront les traditions orales et les systèmes de connaissances.
Organisé par l’UNESCO et l’INPC, l’atelier a été possible grâce à la généreuse contribution du gouvernement du Japon.
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Inventaire du patrimoine vivant en Equateur
24/29-08-2015Riobamba (Équateur)
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Le processus d’inventaire continue maintenant à Riobamba, province de Chimborazo, à travers un atelier du 24 au 29 août 2015, qui a réuni les tailleurs de pierre, les porteurs de traditions orales de la Culture Zapara et les communautés Qhapaq Ñan, des fonctionnaires publiques de plusieurs municipalités (Alausí, Chambo, Chunchi, Colta, Cumanda, Guamote, Guano, Pallatanga, Penipe et Riobamba), et des représentants du Ministère de la culture et du patrimoine et de l’Institut national du patrimoine culturel (INPC). Le point central de l’atelier s’est concentré sur la participation des communauté dans l’identification et la définition du patrimoine culturel immatériel, la collecte de données, l’organisation et la gestion, en tant qu’étape clé dans la sauvegarde du patrimoine immatériel. Un exercice de terrain relatif à l’inventaire a été réalisé avec les populations de Guano et Calpi, mettant l’accent sur le patrimoine vivant des tailleurs de pierre et comprenant la cartographie des carrières sur les pentes du Chimborazo.
Organisés par l’UNESCO et l’INPC, l’atelier est rendu possibles grâce à la généreuse contribution du gouvernement du Japon.
Documents
Evaluation des besoins pour renforcer les capacités nationales dans la mise en œuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel en Égypte
09/15-08-2015Caire (Égypte)
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L’évaluation des principaux besoins pour la mise en œuvre de la Convention de 2003 pour la sauvegarde du PCI en Egypte s’intègre dans un projet régional pour le renforcement des capacités de sauvegarde du PCI dans huit pays d’Afrique et de la région arabe. Ce projet exécuté par la Section du Patrimoine Culturel Immatériel de l’UNESCO, est financé par l’Abu Dhabi Tourism and Culture Authority (ADTCA)
Ce rapport rend compte des activités menées dans le cadre d’une mission de 10 jours effectuée en avril puis en août au Caire (Egypte) avec le concours du Bureau régional de l’UNESCO en Egypte. La mission a consisté à rencontrer les principaux acteurs des institutions publiques et des associations impliquées dans le processus de sauvegarde du PCI dans le but d’identifier les besoins et proposer un projet pour le renforcement des capacités en Egypte.
Atelier de formation sur la mise en œuvre de la Convention de 2003 de l’UNESCO
27/31-07-2015Praia (Cabo Verde)
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L’Institut du Patrimoine Culturel de Cabo Verde organise, en coopération avec le siège de l’UNESCO et le Bureau Régional de Dakar, un atelier sur la mise en œuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel au niveau national. L’atelier, qui aura lieu du 27 au 31 juillet 2015 dans la capitale de Cabo Verde, permettra de discuter la portée et les objectifs ainsi que les obligations des Etats parties dans le cadre de cet instrument juridique international.
Dans le cadre de la stratégie globale de l’UNESCO visant à renforcer les capacités nationales pour la sauvegarde du patrimoine vivant dans les pays africains de langue portugaise (PALOP), l’atelier rassemblera 30 participants cabo-verdiens, y compris les parties prenantes locales et nationales. Dans le but de renforcer la coopération régionale parmi les pays PALOP, la formation sera co-facilitée par un expert brésilien et mozambicain, préalablement formés à ce même programme. En outre, des représentants des autorités culturelles de l’Angola et de Guinée-Bissau prendront aussi part à cet atelier.
Cet atelier est possible grâce à la généreuse contribution du gouvernement de la Norvège au Fonds du patrimoine culturel immatériel.
Documents
Le Suriname sur la voie de progrès importants pour la sauvegarde de son patrimoine vivant
27/31-07-2015Paramaribo (Suriname)
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Alors que le Suriname se rapproche de la ratification de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, il est opportun pour les membres des communautés, les décideurs politiques et les représentants gouvernementaux et non-gouvernementaux de se réunir afin de tracer la voie à suivre dans la sauvegarde de leur patrimoine vivant.
Du 27 au 31 juillet 2015, un atelier de cinq jours aura lieu à Paramaribo visant à clarifier le processus et les mécanismes pour la ratification et la mise en œuvre réussie de la Convention de 2003, y compris un aperçu de ses objectifs, de ses concepts et de ses principes clés. L’atelier offrira également une plate-forme aux participants pour réfléchir collectivement sur les expériences et les défis dans la sauvegarde de leur patrimoine culturel immatériel.
Organisé par le Bureau multipays de l’UNESCO à Kingston pour les Caraïbes en étroite collaboration avec la Direction de la culture du Suriname et la Commission nationale du Suriname pour l’UNESCO, cet atelier s’inscrit dans le cadre d’un projet de renforcement des capacités pour améliorer la sauvegarde du patrimoine vivant dans les Caraïbes néerlandaises et au Suriname. Ce projet est rendu possible grâce à la généreuse contribution du gouvernement des Pays-Bas au Fonds du patrimoine culturel immatériel.
Atelier sur la mise à disposition d’une assistance technique aux Etats parties demandant une assistance internationale
20/22-07-2015Paris (France)
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L’assistance internationale est au cœur même de la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel. Malheureusement, cependant, son utilisation n’a pas atteint le niveau espéré lors de la rédaction de la Convention. En effet, peu de demandes ont été présentées par les États parties jusqu’à présent et encore moins étaient d’une qualité suffisante pour justifier l’approbation par le Comité intergouvernemental pour la sauvegarde du le patrimoine culturel immatériel. Pour faire face à ce défi, depuis un an, une assistance technique a été fournie à un certain nombre d’États parties par des experts sur une base expérimentale.
Dans un effort de galvaniser l’option d’assistance internationale auprès des États parties, un noyau d’experts, qui ont mené une assistance technique ou peuvent être invités à le faire à l’avenir, se réunira avec le personnel de l’UNESCO pour un atelier de 3 jours à Paris du 20 au 22 Juillet 2015 afin d’évaluer les expériences de mise en œuvre de l’assistance technique à ce jour. Cet atelier sera l’occasion d’examiner les derniers avis du Comité concernant l’assistance internationale, d’examiner d’autres documents d’information élaborés par le Secrétariat pour aider les États parties et les experts techniques, et de fournir des orientations concernant le développement de futurs matériel pédagogique de renforcement des capacités sur l’assistance internationale.
Documents
Enquête sur le terrain et inventaire dans les communautés pilotes du Samoa
20-07-2015/21-08-2015Upolu, Savail (Samoa)
Troisième réunion des centres de catégorie 2 pour le patrimoine culturel immatériel
06/08-07-2015Guiyang (Chine)
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The 3rd annual meeting of the category 2 centres active in the field of intangible cultural heritage will be held from 6 to 8 July in Guiyang, China. Hosted by the Chinese centre, the International Training Centre for Intangible Cultural Heritage in the Asia-Pacific Region (CRIHAP), the meeting will follow up on the two previous annual meetings.
Working documents
- Concept note: anglais
- List of participants: anglais
- Ordre du jour: anglais
- Report of the UNESCO Section for Intangible Cultural Heritage - Third annual meeting of category 2 centres: anglais
- Résultat escompté 6 du 37 C/5 GP IV : Renforcement et utilisation des capacités nationales en vue de la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, y compris les langues autochtones et en péril, par la mise en œuvre effective de la Convention de 2003: anglais|français
- Stratégie à moyen terme pour la coopération de l’UNESCO avec les centres de catégorie 2 dans le domaine du patrimoine culturel immatériel 2014-2021: anglais|français
Presentations
- Recent developments in the life of the Convention and objectives of the meeting (UNESCO - Cécile Duvelle): anglais
- Information and networking, including through the web (ICHCAP): anglais
- Collaboration with UNESCO in the global capacity-building programme (CRIHAP): anglais
- Approaches to programme planning and budgeting (Sofia Centre): anglais
- Approaches to governance and getting the most from your governing body(ies) (CRESPIAL): anglais
- Cooperation with Member States in planning and implementing programmes (Tehran Centre): anglais
- Evaluation and renewal (IRCI): anglais
Reference documents
For further information:
Exercices d’inventaire sur le terrain pour le projet «Renforcement des capacités d’Aruba, de Bonaire, de Curaçao, de Saba, de Sint Eustatius, de Sint Maarten et du Suriname en vue de l’application de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel».
01-07-2015/31-10-2015Philipsburg (Saint-Martin (partie néerlandaise))
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Sint Maarten focused its field exercise on their national dance, the Ponum dance which dates to the 19th century from the days of slavery and emancipation. This element was chosen because only a few practitioners and or performers are directly involved in the enactment or practice of the element. There were also recognizable threats to its continued enactment and transmission, hence its safeguarding was considered extremely important. Two training sessions were held with youth from various youth organizations and discussions were held on the purpose of the inventorying exercise. A total of 17 youth (9 females and 8 males) were trained in the inventorying activity, and worked along with the ICH Committee and 9 practitioners.
Évaluation des besoins dans le domaine du patrimoine culturel immatériel en Gambie
01/06-07-2015Banjul (Gambie)
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A needs assessment activity has been carried out in the Gambia in 2015 during which national stakeholders addressed the importance of promoting local cultures and the safeguarding of intangible cultural heritage. These activities allowed to point out the need to raise awareness and support national institutions to reinforce their knowledge of the 2003 Convention and its implementation mechanisms. The importance of building a national strategy to safeguard intangible heritage and to review current strategy documents on culture in general was also underlined. This activity aimed also do develop a project proposal based on the identified needs.
Des mesures collectives pour l’inventaire et la sauvegarde du patrimoine vivant en Equateur
24/29-06-2015Portoviejo (Équateur)
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Suite à la signature du Plan d’opérations entre l’UNESCO et l’Institut national du patrimoine culturel de l’Équateur (INPC) il y a quelques mois, des représentants des communautés de détenteurs de patrimoine, des municipalités, ainsi que des experts gouvernementaux et non-gouvernementaux, se sont pleinement mobilisés pour lancer une autre étape importante dans la sauvegarde de leur patrimoine vivant.
Visant à établir un inventaire du patrimoine immatériel dans la province équatorienne de Manabi, les représentants se sont réunis pour un atelier sur l’élaboration d’inventaires du patrimoine culturel immatériel avec la participation des communautés dans la ville de Portoviejo du 24 au 29 juin 2015.
Le premier d’une série de mesures entreprises dans le cadre d’un projet de renforcement des capacités pour améliorer la sauvegarde du patrimoine vivant en Equateur, l’atelier a mis l’accent sur l’identification et la définition du patrimoine culturel immatériel, la collecte des données, le consentement libre, préalable et éclairé, ainsi que sur l’organisation de données. Il a été suivi par un exercice pratique d’inventaire à Machalilla, lors de la fête de Saint Pierre et Saint Paul et la réunion des chefs de gouvernement de la Castille et de la Guinée.
Organisé par le Bureau de l’UNESCO à Quito et l’INPC, cet atelier a été possible grâce à la généreuse contribution du gouvernement du Japon.
Documents
Atelier de formation sur la mise en oeuvre de la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel
08/12-06-2015Valposchiavo (Suisse), Tirano (Italie) (Italie)
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La région de Lombardie (Italie) et le canton des Grisons (Suisse) ont accueilli du 8 au 12 juin à Tirano (province de Sondrio, Italie) et Valposchiavo (Suisse) un atelier de formation portant sur la mise en œuvre de la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, démontrant ainsi la prise de conscience croissante en Europe du besoin de renforcement des capacités pour mieux sauvegarder le patrimoine vivant.
Rassemblant 25 participants, dont des représentants des administrations locales et de la société civile, porteurs de traditions, chercheurs et professionnels des secteurs du tourisme et de l’environnement, l’atelier a introduit les objectifs et concepts fondamentaux de la Convention de 2003 et a amélioré la compréhension des participants quant aux obligations et activités de sauvegarde inhérentes à la mise en œuvre de la Convention aux niveaux national et local. Associant quatre jours de présentations, discussions et exercices, ainsi qu’une journée de travail sur le terrain dans les vignobles en terrasses de Valteline, l’atelier a également abordé la question des liens entre la Convention de 2003, la Convention concernant la protection du patrimoine mondial, culturel et naturel (1972) et la Convention sur la protection et la promotion de la diversité des expressions culturelles (2005).
L’atelier a particulièrement souligné l’importance de la coopération transfrontalière dans la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel et le besoin de faciliter la coopération entre les secteurs influant directement ou indirectement la viabilité du patrimoine vivant.
Financé par le fonds européen de développement régional (FEDER) et son mécanisme de coopération INTERREG promouvant la coopération entre régions européennes et le développement durable régional à travers l’Europe, l’atelier s’est tenu dans le cadre du projet ‘Ethnographie italo-suisse pour la promotion du patrimoine immatériel’ initié par la région de Lombardie. Menée en italien par une experte facilitatrice formée par l’UNESCO avec la collaboration d’une spécialiste en droit international, et basée sur le programme global et les matériels de formation de l’UNESCO pour le renforcement des capacités, cette activité a été organisée par l’agence régionale pour le service à l’agriculture et aux forêts (Italie) et l’association pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel (Italie).
Documents
- Generic references for facilitators - Capacity-building resources: Cession of rights: anglais
- Generic references for facilitators - Capacity-building resources: Workshop report: anglais
- Liste des participants: anglais
- Presentation - Meeting: Poster: italien
- Programme: italien
Développement d’un mécanisme de suivi et d’évaluation pour les activités de renforcement des capacités
01/03-06-2015Paris (France)
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L’UNESCO a mis en place en 2009 un programme mondial de renforcement des capacités pour aider les pays à créer les environnements institutionnels et professionnels nécessaires pour sauvegarder efficacement le patrimoine culturel immatériel . Ce programme fait partie des efforts mondiaux et nationaux pour atteindre les objectifs de développement à long terme. Il a pour objet d’aider les pays bénéficiaires à rendre le développement plus pérenne, en garantissant la viabilité du patrimoine culturel immatériel présent sur leur territoire et en renforçant les relations à l’intérieur des communautés et entre elles grâce à une mise en œuvre efficace de la Convention. Cependant, les parties prenantes interrogées ont insisté sur l’importance du renforcement des capacités pour une mise en œuvre efficace de la Convention et beaucoup considèrent que, de tous les mécanismes mis en place jusque-là, le programme de renforcement des capacités est le plus important. Un mécanisme de suivi systématique permettrait à l’UNESCO de suivre, plusieurs mois et plusieurs années après, les résultats et l’impact dans les pays de ces actions de renforcement des capacités. Certes, quelques informations sur les résultats des projets, leurs points forts et leurs points faibles sont données dans les rapports sur la mise en œuvre des projets présentés lors des réunions d’évaluation ainsi que dans les évaluations des facilitateurs à l’issue des formations, mais il n’existe pas encore d’analyse à plus long terme de comportements durables ou de changements structurels (différentes approches ou pratiques appliquées) et de l’impact ultime de l’intervention de l’UNESCO dans le cadre des activités de renforcement des capacités : inventaires de meilleure qualité, amélioration de la politique et de l’environnement législatif, participation accrue de la communauté, participation efficace aux mécanismes internationaux, etc.
Avec le soutien du Comité intergouvernemental pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel , l’UNESCO a entrepris de mettre en place un mécanisme de suivi et d’évaluation des activités engagées dans le cadre de la stratégie globale de renforcement des capacités.
L’établissement et la mise en œuvre de ce mécanisme posent un certain nombre de défis et exigera une réflexion créative ainsi que l’engagement des principaux groupes concernés. La participation de toutes les intervenants — homologues nationaux, notamment les commissions nationales, les bureaux hors siège de l’UNESCO, la Section du Patrimoine culturel immatériel au siège, mais aussi tous les acteurs concernés — est indispensable.
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Exercices d’inventaire sur le terrain pour le projet «Renforcement des capacités d’Aruba, de Bonaire, de Curaçao, de Saba, de Sint Eustatius, de Sint Maarten et du Suriname en vue de l’application de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel».
27-05-2015/06-06-2015Kralendijk, Bonaire (Pays-Bas)
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This activity took place in May and June 2015 with a total of 22 participants (14 females and 8 males). The exercise was organised by the Bonaire UNESCO Work group in collaboration with the NGO Fundashon Historiko Kultural di Boneiru (FuHiKuBO) which has been documenting the intangible heritage of Bonaire and the Dutch Caribbean. Additional expertise was provided by the Bonaire UNESCO Work group (ICH Committee) who had all attended previous workshops (IMP and INV), and Rose Mary Allen, an anthropologist from Curaçao. Bonaire focussed its inventorying exercise on practitioners of traditional Bonaire music, haladó (traditional healing) and maskarada. Participants represented cultural foundations, the Ministry of Culture and migrant communities in Bonaire (Venezuelan and Colombian).
A stakeholder’s workshop on Eritrean Cultural and Natural Heritage Legislation
26/27-05-2015Asmara (Érythrée)
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A stakeholder’s workshop on Eritrean Cultural and Natural Heritage Legislation took place on 26 and 27 May 2015 in Asmara organized by the Cultural Affairs Bureau and the Asmara Heritage Project in coordination with UNESCO Nairobi Office. Workshop participants were Eritrean experts who represented stakeholder institutions such as the National Museum of Eritrea, National Commission of Eritrea for UNESCO, Research and Documentation Centre, Ministry of Tourism, Ministry of Public Works, Ministry of Energy and Mines, Department of Religious Affairs, Eritrean Institute of Technology, College of Arts and Social Sciences, Eritrean Police and the School of Law.
Prior to the workshop, a local expert was contracted to collect information on existing legal, policy and institutional frameworks. The workshop was facilitated by Mr Silverse Anami, a UNESCO trained facilitator.
The workshop was supported by the Kingdom of Norway voluntary supplementary contribution to the UNESCO’s Intangible Cultural Heritage Fund.
Atelier Élaboration de candidatures pour inscription sur les Listes de la Convention
25/29-05-2015Casablanca (Maroc)
Loi palestinienne sur la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel
18/19-05-2015Ramallah (Palestine)
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L’atelier, qui est organisé par le ministère palestinien de la Culture et le Bureau de l’UNESCO à Ramallah, inclut des participants de divers ministères, la Commission nationale palestinienne pour l’éducation, la culture et les sciences ratifiée par la Palestine en 2011. Une fois finalisé, le projet de loi sera soumis aux autorités palestiniennes compétentes pour approbation.
L’atelier est le prolongement d’un processus qui a débuté en 2012 lorsque le ministère de la Culture a préparé un projet initial avec le soutien technique de l’UNESCO en menant une large consultation avec les institutions de la société civile. La loi sera une mesure de sauvegarde importante, et grâce au processus participatif duquel elle a émané, elle démontre le fort engagement des autorités nationales à assurer la viabilité du patrimoine vivant en Palestine.
Atelier sur le renforcement des cadres juridiques et politiques pour la sauvegarde du PCI au Nigéria.
14-05-2015Abuja, Nigéria (Nigéria)
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Des fonctionnaires nigérians, des responsables politiques, des représentants de la société civile et des membres de l’équipe de pays des Nations Unies se sont rencontrés à Abuja pour discuter de la révision de la politique culturelle de 1988 et d’autres législations nationales.
Cet atelier d’un jour, qui comprenait des participants de divers horizons, dont certains venant d’autres secteurs que celui de la culture, tels que l’agriculture, l’éducation et la santé, se sont penchés sur les besoins actuels des politiques de sauvegarde du patrimoine vivant au Nigéria et sur les modifications à apporter aux cadres juridiques correspondants.
Cette initiative fait partie du projet Fonds-en-dépôt japonais/UNESCO intitulé « Soutien à une mise en œuvre effective de la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel au Nigéria ».
Un expert national a été engagé pour conduire une évaluation détaillée de la situation et proposer des recommandations qui sont attendues pour la fin du mois d’août 2015.
Document
Exercices d’inventaire sur le terrain pour le projet «Renforcement des capacités d’Aruba, de Bonaire, de Curaçao, de Saba, de Sint Eustatius, de Sint Maarten et du Suriname en vue de l’application de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel».
01-05-2015/30-06-2015Saba (Pays-Bas)
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The field exercise in Saba was organized by the ICH Committee and started with a meeting to inform all practitioners that attended the consultation in January about the community-based inventory training in Curaçao, as well as the organisation of the field exercise. Additionally, participants identified different forms of ICH to focus on in the field exercise, among which the Maypole dance, the preparation of traditional dishes within families and ICH related to agriculture and the production of food were highlighted. In the end, the Maypole dance was considered to be the most suitable as it was well known, had not been documented thus far and had few practitioners remaining.
Participants (7 females and 3 males) were trained to work with the UNESCO sample framework by members of the ICH Committee. A short documentary was produced about the Maypole dance that focused on the inventorying process. Practitioners were also trained in the various methodologies from the inventory workshop and in the use of the audio-visual equipment. Saba benefited from the participation of a maypole practitioner from St Maarten who conducted workshops with the children of Saba as well as worked with local practitioners. These children also formed part of the team trained to document this element.
Exercices d’inventaire sur le terrain pour le projet «Renforcement des capacités d’Aruba, de Bonaire, de Curaçao, de Saba, de Sint Eustatius, de Sint Maarten et du Suriname en vue de l’application de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel».
01-05-2015/30-06-2015Saint-Eustache (Pays-Bas)
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The ICH Committee focused its field exercise on Sint Eustatius (Statia) string band music due to its important role in social life and the urgency to safeguard the related knowledge and skills, as practitioners were getting older. Community members involved, as well as active practitioners, formerly active senior practitioners and people who identify with band music but aren’t active practitioners. The key persons from within the string band music community were approached by the ICH Committee to ask for their willingness to participate and their consent to be interviewed and provide information about this element. This was received with enthusiasm. There was great effort to involve youth in the field exercise, with two participants coming from the Simon Doncker Club, the youth organization of the St. Eustatius Historical Foundation. The involvement of this youth organization also provided a basis for future involvement in the inventorying of ICH. To involve more youth outside the cultural field, the ICH Committee organized a specific activity for youth focused on the transfer of knowledge and skills related to playing string band music and the manufacturing of the instruments. The footage of the field exercise will be used to produce a documentary on the Killi Killi band music to further raise awareness.
Atelier de formation sur la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel – l’État de Goa progresse vers un inventaire du PCI
27/28-04-2015Goa, Inde (Inde)
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La direction de l’Art et de la Culture du gouvernement de Goa a invité le bureau de l’UNESCO à New Delhi à organiser du 27 au 28 avril un atelier de formation sur la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel. Cet atelier mettra particulièrement l’accent sur l’établissement d’inventaires.
Quelque 27 professionnels de Goa ont pris part à cette conférence suivie de sessions pratiques pour discuter de la forme que prendrait un inventaire du PCI à Goa des méthodes de travail à adopter. Cet atelier était animé par trois personnes ressources de l’UNESCO, le Dr Shubba Chaudhuri (directrice des Archives et du Centre de recherche d’Ethnomusicologie), Mme Ananya Bhattacharya (directrice et contact de liaison chez Banglanatak dot com) et Mme Moe Chiba (directrice du secteur de la culture, bureau de l’UNESCO à New Delhi).
En Inde, la protection du patrimoine ressort à la fois de la compétence du Gouvernement de l’union et de celle du gouvernement des États. Toutefois, dans un pays aussi vaste, il serait sans doute plus efficace que le gouvernement de chaque État assume la responsabilité de dresser l’inventaire de son patrimoine et de mettre en œuvre les plans de sauvegarde plutôt que d’attendre que le gouvernement central n’en prenne l’initiative. Par conséquent, le bureau de l’UNESCO à New Delhi a entamé l’année dernière, en partenariat avec la Sangeet Natak Academi, une campagne de sensibilisation des membres des gouvernements des États à la Convention de l’UNESCO. Dans la foulée de l’atelier qui avait eu lieu à Delhi en décembre 2014, Goa est le premier État à avoir exprimé sa volonté d’aller plus loin dans l’établissement d’inventaires du PCI à l’échelle des États. Cet atelier de deux jours n’avait pas pour objectif de fournir des conseils clairs et précis sur la façon d’établir un inventaire du PCI à Goa, mais plutôt d’attirer l’attention des participants sur les éléments qui doivent être examinés et prévus avant d’entamer les recherches et le recueil des données pour l’inventaire. Parmi ces éléments on retrouve la taille de l’inventaire et le type de PCI qui s’y retrouvera, les données qu’il faudra recueillir pour chaque élément de PCI, la méthode d’organisation des données, les modalités pour recueillir les données, le suivi prévu de chaque élément du PCI de l’inventaire, etc.
Evaluation des besoins pour le renforcement des capacités nationales dans la mise en œuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel à Madagascar
24-04-2015/23-05-2015Antananarivo (Madagascar)
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Madagascar est l’un des pays francophones choisi pour bénéficier de l’appui financier de l’autorité d’Abu Dhabi pour la culture et le tourisme (ADTCA) dans le domaine de la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel. La mission à laquelle nous avons pris part a été préparée par le bureau UNESCO multi-Pays de Nairobi en relation étroite avec le ministère de la culture de Madagascar. Elle s’est déroulée du 24 avril au 03 Mai 2015. La mission a été aussi l’occasion de visiter un PCI local à savoir le savoir-faire traditionnel lié à la production et à l’artisanat de la soie dans le village d’Ambohitrabiby, à une cinquantaine de kilomètre de Tananarive. Madagascar est une grande île qui compte 18 groupes socioculturelle et une très forte communauté comorienne pour une population d’environ 23 millions d’habitants. Le pays est divisé en 22 régions administratives, mais le Ministère de la culture n’est déconcentre que dans 11 régions actuellement.
Atelier de formation au travail d’inventaire participatif du patrimoine culturel immatériel
21/30-04-2015Niamey (Niger)
Atelier sur l’évalaution des besoins à Djibouti
16-04-2015Djibouti (Djibouti)
ADTCA évaluation des besoins au Soudan
03/10-04-2015Khartoum (Soudan)
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L’objectif principal de la mission est de travailler en relation avec l’institution culturelle nationale responsable pour identifier les capacités institutionnelles, les perspectives et besoins en ressources humaines des personnes qui travaillent dans le secteur du patrimoine culturel immatériel. La mission vise, à terme, à développer une proposition réaliste pour un projet local dans le domaine de la sauvegarde du PCI. Cette proposition de projet sera par la suite financée par l’Autorité d’Abu Dhabi pour le Tourisme et la Culture. Cette mission de consultance était organisée en collaboration avec la Section du patrimoine culturel immatériel située au siège de l’UNESCO, le bureau de l’UNESCO à Khartoum et le ministère fédéral de la Culture du Soudan et elle était menée par la spécialiste, Mme Marina Calvo.
Réunion d’experts sur un modèle de code d’éthique pour le patrimoine culturel immatériel
30-03-2015/01-04-2015Valence (Espagne)
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En 2012, à sa septième session, le Comité intergouvernemental de sauvegarde du patrimoine culturel immatériel a invité le Secrétariat de l’UNESCO à « engager des travaux sur un modèle de code d’éthique et d’en faire rapport à une prochaine session du Comité » (décision 7.COM 6 : anglais|français). Afin de lancer cet important travail, le Secrétariat organise la présente réunion, généreusement accueilli par le Royaume d’Espagne, co-financée par l’Espagne et le Fonds du patrimoine culturel immatériel.
L’objectif de la réunion est de discuter les grandes lignes qui devraient figurer dans des codes d’éthique pour le patrimoine culturel immatériel. Cette réunion de trois jours rassemblera douze experts de différents États membres de l’UNESCO ainsi que quatre membres du Secrétariat. Les résultats de la réunion seront présentés à la Directrice générale de l’UNESCO et par la suite examinés par le Comité lors de sa dixième session en Namibie, du 30 novembre to 4 décembre 2015.
Les débats du réunion porteront sur :
- Les valeurs fondamentales de la Convention qui devraient être intégrées dans des codes d’éthique pour le patrimoine culturel immatériel (par exemple des valeurs telles que la primauté des communautés, le respect des droits de l’homme et de la diversité culturelle, des limites à l’accès au patrimoine et la possession du patrimoine) ;
- Portée générale de codes d’éthique pour le patrimoine culturel immatériel. Les avantages comparatifs d’être plus complet ou plus ciblé sur des secteurs spécifiques. Les multiples destinataires possibles (par exemple agents de l’État, société civile, secteur privé, médias, opérateurs de tourisme, touristes, etc.) ;
- Les principes éthiques spécifiques qui devraient être inclus dans les codes d’éthique du patrimoine culturel immatériel (par exemple principes spécifiques à un secteur et/ou spécifique à un auditoire, résultant de renvois aux valeurs fondamentales de la Convention pour des secteurs ou destinataires spécifiques) ;
- Les processus qui pourraient être utilisés pour élaborer un ou plusieurs modèles de codes d’éthique pour le patrimoine culturel immatériel et pour passer d’un modèle à des codes spécifiques adaptés à différents contextes aux niveaux régional, national et infranational (comme des exemples d’autres modèles de codes et la manière dont ils ont été développés, et dont ils ont été appliqués et/ou transformés en codes spécifiques).
Documents
Atelier sur le développement d’inventaires du patrimoine vivant avec la participation des communautés
30-03-2015/10-04-2015Sao Tome-et-Principe (Sao Tomé-et-Principe)
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La Direction nationale de la culture de Sao Tomé-et-Principe organise, en coopération avec l’UNESCO, un atelier sur le développement d’inventaires du patrimoine vivant avec la participation des communautés, dans l’esprit de la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel. L’atelier qui aura lieu du 30 mars au 10 avril dans la capitale de Sao Tomé introduira les concepts, objectifs et méthodes d’inventaires ainsi qu’un travail pratique de terrain au sein de la communauté de Boa Morte.
Dans le cadre du projet de renforcement des capacités pour la sauvegarde du patrimoine vivant dans les pays africains de langue portugaise (PALOP), l’atelier rassemblera 25 participants santoméens y compris les parties prenantes locales et nationales. Dans le but de renforcer la coopération régionale parmi les pays PALOP, la formation sera co-facilitée par un expert brésilien et mozambicain, préalablement formés à ce même programme. En outre, un technicien de Cabo Verde assistera à l’atelier en vue d’activités similaires prévues dans l’archipel au large des côtes de l’Afrique de l’Ouest.
Cet atelier est possible grâce à la généreuse contribution du gouvernement de la Norvège au Fonds du patrimoine culturel immatériel.
Documents
Evaluation des besoins pour le renforcement des capacités nationales dans la mise en œuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel à Djibouti
09-03-2015/17-04-2015Djibouti (Djibouti)
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Dans le cadre de l’activité « Renforcement des capacités nationales pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel à Djibouti : évaluation des besoins et élaboration d’une proposition de projet » menée par l’UNESCO et financée par l’Autorité d’Abou Dhabi pour le tourisme et la culture (ADTCA), une expertise a été fournie entre mars et mai 2015 afin d’évaluer les besoins du Djibouti en matière de renforcement des capacités pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, dans l’objectif de proposer un projet futur.
Evaluation des besoins pour le renforcement des capacités nationales dans la mise en œuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel au Soudan
09-03-2015/10-04-2015Khartoum (Soudan)
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Dans le cadre de l’activité de « Renforcement des capacités nationales pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel au Soudan: l’évaluation des besoins et l’élaboration d’une proposition de projet » financé par l’Office du tourisme et de la culture Abu Dhabi (ADTCA), un service de consultation a été délivré de Mars à Mai ici à 2015 , y compris une mission au Soudan qui s’est déroulée du 3 au 10 avril 2015. Cette mission visait à identifier, en collaboration avec les institutions responsables de la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel au Soudan, les besoins et les objectifs clés pouvant être traités dans le contexte de la stratégie de renforcement des capacités de l’UNESCO en matière de sauvegarde du patrimoine culturel immatériel.
L’activité a été coordonnée par la section du patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO et le bureau de l’UNESCO à Khartoum (Soudan), en coopération avec la Commission nationale soudanaise pour l’UNESCO (NATCOM) et le ministère de la Culture du Soudan.
Evaluation des besoins pour l’amélioration des capacités nationales dans la mise en œuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel aux Comores
28-02-2015/07-03-2015Moroni (Comores)
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Cette mission rentre dans le cadre du projet de Renforcement des capacités nationales pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel dans huit pays en Afrique et dans la région arabe(les Comores, Djibouti, l’Egypte, Madagascar, la Palestine, le Soudan du Sud, le Soudan et le Yémen): évaluation des besoins et élaboration de propositions de projet financé par l’Autorité d’Abu Dhabi pour le Tourisme et pour la Culture (ADTCA). Dans ce cadre cette mission de 7 jours s’est déroulée du 28 février au 7 mars 2015 aux Comores pourétablir une base solide afin de soutenirce paysdanssesefforts pour sauvegardersonpatrimoine vivant, en conformité avec la Convention de 2003 de l’UNESCO.
Formation conjointe sur l’inventaire du patrimoine culturel immatériel avec la participation des communautés
22/28-02-2015Willemstad (Curaçao)
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Après une première formation conjointe sur la mise en œuvre de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, des représentants des îles néerlandaises des Caraïbes (Aruba, Bonaire, Curaçao, Saba, Saint-Eustache et Saint-Martin) franchissent une étape significative dans la mise en œuvre d’une stratégie coordonnée pour sauvegarder leur patrimoine vivant.*
Du 22 au 28 février 2015, des membres des communautés, des experts gouvernementaux et des experts issus de la société civile se rencontrent à Curaçao pour un atelier sur l’inventaire du patrimoine culturel immatériel par les communautés dont l’objectif principal est de développer un cadre de travail pour l’inventaire de leur patrimoine. L’atelier mettra l’accent sur la participation des communautés à l’identification et la définition du patrimoine culturel immatériel, le recueil de données, l’organisation et la gestion, jetant les bases d’un exercice d’inventaire de 5 jours sur le terrain dans chacune des six îles, ainsi que des futurs travaux d’inventaire et de sauvegarde.
Organisé par le bureau de l’UNESCO à Kingston en étroite collaboration avec les partenaires nationaux des îles concernées, cet atelier est réalisé dans le cadre d’un projet de renforcement des capacités pour renforcer le patrimoine vivant dans les îles néerlandaises des Caraïbes et du Suriname. Ce projet a été rendu possible grâce à la généreuse contribution du gouvernement des Pays-Bas au Fonds du patrimoine culturel immatériel.
Atelier de formation sur la mise en œuvre de la Convention de 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel
17/19-02-2015Goma Nord-KIVU (République démocratique du Congo)
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Cet atelier avait pour objectif global d’accroître la prise de conscience et d’améliorer la compréhension de la Convention de 2003 pour sa mise en œuvre efficace et pour la mise en place d’une bonne politique de sauvegarde du patrimoine culturel immatériel des communautés du Nord-Kivu.
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LIST_DOC:00494
Atelier de formation sur la Convention de 2003
09/13-02-2015Beyrouth, Liban (République arabe syrienne)
A 2 day Capacity Building and Consultative Conference for parliamentary Select Committee on Culture, Youths and Sports and Key Stakeholders on the Seven(7) UNESCO Conventions Ghana has tabled for Ratification(for the protection and preservation of cultural Heritage)through the 2003 UNESCO Convention(for the safeguarding of Intangible Cultural Heritage).
09/10-02-2015Accra (Ghana)
Formation des facilitateurs de la région Asie-Pacifique sur les plans de sauvegarde et le soutien des politiques en matière de patrimoine culturel immatériel
19/23-01-2015Shenzhen (Chine)
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Atelier de formation des formateurs à la sauvegarde en Asie et Pacifique
Quelles sont les connaissances et compétences requises pour élaborer avec efficacité des plans de sauvegarde du patrimoine culturel ? Comment réussir à acquérir ces compétences ? Ces questions sont au centre d’un atelier de formation qui réunit onze experts-facilitateurs et dix spécialistes de la culture de l’UNESCO engagés dans la mise en œuvre d’une stratégie globale de renforcement des capacités dans la région de l’Asie et Pacifique. Les participants expérimenteront une nouvelle méthodologie interactive élaborée à cet effet par l’UNESCO. Ils discuteront également des nouvelles approches de formation dans deux autres domaines thématiques : développement de politiques et égalité des genres.
Le Centre international de formation sur le patrimoine culturel immatériel dans la région Asie-Pacifique (CRIHAP) accueille et soutient généreusement cet atelier de formation des formateurs à l’élaboration de plans de sauvegarde et au conseil en politiques qui aura lieu à Shenzhen (Chine) du 19 au 23 janvier 2015. Cinq spécialistes chinois proposés par le CRIHAP participeront en tant qu’observateurs dans cet atelier coorganisé par l’UNESCO ainsi que M. Rieks Smeets et Mme Janet Blake, tous deux spécialistes de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel.
L’atelier de formation de Shenzhen porte sur les plans de sauvegarde et les politiques de soutien du patrimoine culturel immatériel. Il s’adresse aux facilitateurs de l’UNESCO de la région Asie-Pacifique spécialistes dans le domaine de la formation et du conseil en matière de stratégie globale de l’UNESCO pour le renforcement des capacités afin de mettre en œuvre efficacement la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel (2003). L’atelier accueillera en outre d’autres experts sélectionnés pour devenir facilitateurs, des collègues des bureaux hors siège de la région et cinq experts chinois. Les participants seront 26 au total.
L’atelier mettra l’accent sur l’élaboration sur les plans de sauvegarde puisque les experts et les membres des bureaux hors siège de plusieurs régions ont décidé d’en faire une priorité au cours de la réunion pour examiner le programme qui s’est tenue récemment. En effet, sans la maîtrise des compétences et des connaissances requises pour l’élaboration de plans solides pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, cette dernière ne peut être durable. De plus, des programmes de sauvegarde bien conçus, assortis de délais et de budgets sont une condition pour l’obtention de l’assistance internationale venant du fonds pour le patrimoine culturel immatériel pour les projets de sauvegarde et la préparation de dossiers de candidatures pour la liste de sauvegarde urgente.
Pour cette raison, la Section du patrimoine culturel immatériel a mis en place une méthodologie pertinente et invitera les experts participants à faire parvenir leurs commentaires pour finaliser les documents. De même, l’UNESCO partagera les progrès réalisés en matière de développement d’approches de formations et de documents sur deux autres thèmes, le développement de politiques et l’égalité des genres, avec les participants pour recevoir leurs retours et conseils. Ces deux sujets occupaient une position dominante dans la récente évaluation de l’activité normative du secteur de la culture de l’UNESCO. Ce bilan à a donc amené la conclusion que le programme de renforcement des capacités devait leur accorder plus d’importance. Le Comité intergouvernemental pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel consacre d’ailleurs cette recommandation dans une décision sur le suivi de l’Évaluation (DÉCISION 8.COM 5.c.1).
L’atelier de formation a donc deux objectifs : améliorer les compétences en matière de sauvegarde, de développement de politiques et d’égalité de genres tout en utilisant les connaissances et l’expérience des spécialistes pour recevoir des conseils.
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