<
 
 
 
 
×
>
You are viewing an archived web page, collected at the request of United Nations Educational, Scientific and Cultural Organization (UNESCO) using Archive-It. This page was captured on 11:27:34 Sep 14, 2019, and is part of the UNESCO collection. The information on this web page may be out of date. See All versions of this archived page.
Loading media information hide

Construire la paix dans l’esprit
des hommes et des femmes

La Directrice générale condamne le meurtre du journaliste Arkan Sharifi en Iraq

03 Novembre 2017

La Directrice générale de l’UNESCO, Irina Bokova, a demandé l’ouverture d’une enquête après le meurtre du caméraman de télévision Arkan Sharifi dans la ville de Daquq, dans le gouvernorat de Kirkuk (Iraq), le 30 octobre.

 « Je condamne le meurtre d’Arkan Sharifi », a déclaré la Directrice générale. « Dans l’intérêt de la défense à la fois de la liberté d’expression et de la liberté d’information, j’exhorte les autorités à ouvrir une enquête sur ce crime et à prendre toutes les mesures légales nécessaires pour mettre un terme à la violence contre les médias ».

Au petit matin du 30 octobre, des inconnus ont fait irruption au domicile du caméraman de la Kurdistan Television, Arkan Sharifi, et l’ont abattu.

La Directrice générale publie des communiqués sur le meurtre des professionnels des médias conformément à la résolution 29 adoptée par les Etats membres de l’UNESCO au cours de la Conférence générale de 1997 intitulée « Condamnation de la violence contre les journalistes ». Une liste complète des journalistes assassinés ayant fait l’objet d’une condamnation par l’UNESCO est disponible en ligne.

***

Contact médias: Sylvie Coudray, s.coudray(at)unesco.org, +33 (0)1 45 68 42 12

L’UNESCO est l’agence des Nations Unies dont la mission consiste à défendre la liberté d’expression et la liberté de la presse. En vertu de l’Article premier de son Acte constitutif, l’Organisation est tenue « d’assurer le respect universel de la justice, de la loi, des droits de l’homme et des libertés fondamentales pour tous, sans distinction de race, de sexe, de langue, ou de religion, que la Charte des Nations Unies reconnaît à tous les peuples ». À cette fin, elle « favorise la connaissance et la compréhension mutuelle des nations en prêtant son concours aux organes d’information des masses ; elle recommande, à cet effet, tels accords internationaux qu’elle juge utiles pour faciliter la libre circulation des idées, par le mot et par l’image ».