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Construire la paix dans l’esprit
des hommes et des femmes

La Directrice générale condamne les meurtres des journalistes Akhilesh Pratap Singh et Rajdev Ranjan en Inde

La Directrice générale de l’UNESCO, Irina Bokova a demandé aujourd’hui l’ouverture d’une enquête sur la mort des journalistes Akhilesh Pratap Singh et Rajdev Ranjan tués lors d’attaques dans le nord-est et le centre de l’Inde.

« Je condamne les meurtres de Akhilesh Pratap Singh et de Rajdev Ranjan » a déclaré la Directrice générale. « J’appelle les autorités à enquêter sur ces assassinats pour empêcher l’impunité des crimes commis contre la liberté d’expression et la liberté d’information de s’enraciner ».

Le 12 mai dernier, Akhilesh Pratap Singh, également connu sous le nom Indradev Yadav, a été abattu par un inconnu. Il était correspondant pour la chaîne de télévision hindi Taaza TV, dans le district de Chatra situé dans l’état de Jharkhand dans le nord- est de l’Inde.

Rajdev Ranjan, grand reporter, a été tué le vendredi 13 mai à Siwan dans l’état de Bihar, situé au centre de l’Inde. Il dirigeait le bureau du quotidien national hindi Hindustan.

La Directrice générale publie des communiqués sur le meurtre des professionnels des médias conformément à la résolution 29 adoptée par les Etats membres de l’UNESCO au cours de la Conférence générale de 1997 intitulée « Condamnation de la violence contre les journalistes ». Une liste complète des journalistes assassinés ayant fait l’objet d’une condamnation par l’UNESCO est disponible en ligne.

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Contact médias : Sylvie Coudray, s.coudray(at)unesco.org, +33 (0) 1 45 68 42 12 

L’UNESCO est l’agence des Nations Unies dont la mission consiste à défendre la liberté d’expression et la liberté de la presse. En vertu de l’Article premier de son Acte constitutif, l’Organisation est tenue « d’assurer le respect universel de la justice, de la loi, des droits de l’homme et des libertés fondamentales pour tous, sans distinction de race, de sexe, de langue, ou de religion, que la Charte des Nations Unies reconnaît à tous les peuples ». À cette fin, elle « favorise la connaissance et la compréhension mutuelle des nations en prêtant son concours aux organes d’information des masses ; elle recommande, à cet effet, tels accords internationaux qu’elle juge utiles pour faciliter la libre circulation des idées, par le mot et par l’image ».