Pour soutenir son industrialisation, le Ghana veut se constituer une main d’œuvre compétente. Pour cela le pays a entrepris une opération de restructuration du secteur de la formation professionnelle dont l’une des résolutions est la création d’un service de gestion des programmes de formation.
Le Sénégal connaît un déficit en compétences numériques. Il se creuse avec la mise en œuvre de l’objectif d’émergence à l’horizon 2035. Pour couvrir ce manque, l’UVS a lancé en partenariat avec la Fondation MasterCard une formation pour accroître l’employabilité des jeunes via le numérique.
La sauvegarde des forêts est nécessaire pour ralentir les effets du réchauffement climatique. Le Forum forestier africain veut à cet effet renforcer les capacités des acteurs de la gestion forestière.
Le gouvernement mauritanien veut lutter contre le phénomène du chômage des jeunes avec l'appui de partenaires, notamment l'Union européenne (UE). Ainsi, dans le cadre du projet Archipelago, une formation professionnelle dans les méties des BTP a été lancée au bénéfice de 300 jeunes.
Afin de se constituer une main-d’œuvre abondante et compétente, le gouvernement ivoirien veut réguler l’EFPT. Le financement, le partenariat école-entreprise, les évaluations et les certifications sont les points qui seront encadrés par une loi dans le pays.
Diffa : Journée d’information et de validation des acquis de l’expérience au profit des cadres de l’enseignement technique et professionnel le 24 novembre 2021
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